TITRE
: Bizutage
pour Angélique
Catégorie : Histoire
Sado Maso
Angélique venait de décrocher cette place comme domestique
depuis peu dans une maison bourgeoise de riches industriels,
Elle s'occupait des tâches ménagères de cette petite famille
honorable. Mais les apparences ne changeaient pas la réalité
: le couple faisait chambre à part et les disputes étaient
monnaie courante.
Ce soir-là, comme presque tous les soirs quand monsieur n'avait
pas travaillé tard dans la nuit à la direction de l'usine,
les cris sortaient du salon pour des histoires d'héritages,
madame étant propriétaire de l'usine et... Bref, des histoires
bien complexes dont Angélique se souciait bien peu. Elle nettoyait
soigneusement sa cuisine et sa vaisselle. Le repas qu'elle
avait servi venait d'être pris dans une ambiance tendue et
elle avait pu manger et s'avancer dans son travail en ignorant
la tourmente autour.
C'est alors que monsieur quitte le salon en claquant la porte
et vient la voir.
- L'uniforme de notre ancienne bonne vient de nous être rendu.
Tenez, passez-le et retrouvez-moi dans mon bureau.
Angélique est un peu surprise car la jeune fille qu'elle remplace,
bien que plus âgée qu'elle-même, était bien menue et bien
plus petite qu'Angélique. Celle-ci, à 20 ans, a déjà un corps
de femme bien pulpeux, une poitrine imposante qui remplit
bien son soutien-gorge 95D. Ses fesses sont rondes et bien
formées sans être grosses. L'uniforme est donc trop ajusté,
l'étoffe du chemisier est tendue et comprime légèrement les
seins, la jupe noire arrive juste à mi-cuisse et le tablier
à presque l'air ridicule. Elle passe cependant des escarpins
noirs pour compléter la tenue et se regarde dans la glace,
un peu étonnée de son image. Le soutien-gorge est visible
à travers le chemisier et la marque de sa culotte sous sa
jupe, au niveau des fesses.
Mais le temps file et alors qu'elle trouve cet uniforme osé
et même un peu vulgaire, l'interphone lui fait entendre la
voix de monsieur :
- Angélique, que faites-vous donc ???
- J'arrive, j'arrive, Monsieur, mais... C'est que cet uniforme
est bien trop petit pour moi, laissez-moi juste le temps de
me changer, SVP Monsieur.
- Venez comme ça, j'en jugerai, dépêchez-vous !
Angélique ajuste une dernière fois ses vêtements, s'assure
que tous les boutons sont mis et se précipite au service de
Monsieur. Après avoir frappé à la porte du bureau elle entend.
- Entrez, Angélique.
Elle pénètre dans le bureau, Monsieur est assis devant elle
et l'examine de la tête aux pieds d'un regard lourd.
- Fermez la porte... Que dites-vous ?? Mais cet uniforme vous
va à ravir et beaucoup mieux qu'à l'autre sotte. Tournez-vous
un peu.
Angélique fait un tour sur elle-même prenant soin de ses gestes.
Monsieur, tout en la fixant des yeux, quitte son bureau et
s'approche d'elle.
- Vous savez, Angélique, savoir tenir une maison c'est aussi
être séduisante.
Et tout en faisant cette affirmation, Monsieur passe sa main
sur le cou d'Angélique, dégageant ses longs cheveux. Il défait
les premiers bouton de son chemisier, le laissant s'ouvrir
sur le haut de sa poitrine. Un frisson court sur le corps
d'Angélique. Il emprisonne le bout de ses seins dans des pinces
à papier, elle hurle de douleur mais le martinet se faufile
à l'intérieur de ses cuisses...
- Écarte !
Elle écarte les jambes, la main de Monsieur vient remplacer
le martinet et une douce caresse contraste avec la douleur
précédente. Elle ne peut retenir malgré elle le plaisir qui
monte dans ses reins, un doigt s'introduit doucement entre
ses lèvres, Monsieur masse son clitoris, elle sent le désir
et ne retient plus ses larmes.
- Que voulez-vous Monsieur ?
- Vous savez, j'ai trouvé cette assiette, de grande valeur,
cassée et...
- Mais Monsieur vous n'avez pas le droit !!!
- Alors vous quitterez votre place et votre chambre demain
à la première heure.
- Monsieur, SVP, je n'ai nulle part où aller, laissez-moi
un peu de temps.
Des larmes commencent à courir le long de ses joues, son regard
baisse, il la regarde toujours fixement, lui défaisant son
tablier et continuant à déboutonner son chemisier...
- Ce n'est pas si grave ma belle enfant, ne pleurez pas.
Il vient à bout du chemisier, Angélique ne bouge plus, elle
se laisse faire, rompue. Monsieur admire sa poitrine débordant
de son soutien-gorge et abaisse le chemisier sur ses épaules.
- Vos sous-vêtements sont vraiment de mauvais goût. Levez
votre jupe que je vois si votre culotte est aussi désagréable
au regard.
Angélique est paralysée. Monsieur fouille dans une commode
et sort une cravache.
- Je te conseille un peu plus d'obéissance.
Remontant le devant da sa jupe avec la cravache, il ajoute
:
- Je te rappelle ta faute, n'aggrave pas ton cas.
Il la tutoie maintenant.
- Même si cette étourderie est pardonnable, elle mérite une
punition.
Angélique, le regard sur l'instrument de châtiment, prend
le bas de sa jupe et le remonte.
- Plus haut, jusqu'à la taille.
Angélique, sans résistance, le ventre noué par la peur, dévoile
la culotte qui cache son pubis.
-Je te conseille vraiment de mieux choisir tes vêtements,
pour le moment finis de te déshabiller et enlève-moi ses oripeaux
qui te servent de sous-vêtements...
Angélique abasourdie reste immobile, elle voit le bras de
monsieur se lever et abattre la cravache sur sa cuisse.
- OBÉIS !!!
Une douleur intense vient de traverser sa cuisse, elle fond
en larmes de nouveau et fait glisser son chemisier et sa jupe
au sol, elle hésite un instant et voyant le bras de monsieur
se lever de nouveau, elle se dépêche d'enlever son soutien-gorge,
libérant ses seins.
- La culotte aussi, donne-la moi.
Elle tend ses sous-vêtements, l'autre main cachant son sexe.
Monsieur introduit un doigt dans le sexe de la jeune femme
et la masturbe doucement.
- Monsieur SVP !
- Tu es vierge ?
- Oui Monsieur.
- Ne t'inquiète pas.
Le plaisir monte doucement car Monsieur semble expert. Alors
qu'elle sent la jouissance arriver, la caresse s'interrompt
et
il lui glisse doucement à l'oreille :
- Tu jouiras un autre jour quand tu le mériteras, aujourd'hui
tu ne mérites qu'une bonne punition. En position, baisse-toi
sur le bureau, à plat ventre, jambes tendues, fesses en l'air.
Cinq coups de martinet, je te conseille de ne pas bouger.
Elle se place, il ajuste la distance à son bras, elle sent
les lanières caresser ses fesses. Il frappe une première fois,
Angélique se redresse et pose ses mains sur ses fesses.
- En position, ne bouge pas ou je t'attache, on recommence.
Les lanières frappent une fois encore ses fesses, Angélique
ne peut se retenir de se redresser.
- Je vais t'attacher.
Il passe une cordelette dans chaque pince et les fixe de l'autre
côté du bureau...
- Pour cette fois, je ne double pas mais tu comptes à voix
haute, on recommence depuis le début.
Les larmes recommencent à couler sur les joues de la pauvre
soubrette, il lève son bras et une nouvelle fois, la douleur
traverse les fesses d'Angélique mais quand elle se redresse,
ses seins sont étirés, fixés au bureau, et la rappelle à l'ordre.
- J'écoute
- Un, deux, trois, quatre, cinq.
Monsieur caresse ses fesses brûlantes, passant son doigt sur
son anus.
- Je respecterai ta virginité mais je te prendrai bien par
ce petit trou...
Son doigt force l'entrée de son anus et fait des va-et-vient.
- Monsieur, non ! SVP, pas ça !
Il la détache.
- À genoux !
Elle s'exécute, il s'approche d'elle.
- Baisse mon pantalon et suce-moi, vide-moi dans ta bouche.
- Monsieur SVP je n'ai jamais...
- Et bien apprend vite.
Il fait glisser les lanières du martinet sur ses seins, elle
baisse le pantalon de Monsieur, dégage son sexe, le regarde
un peu, elle commence alors à le lécher doucement, un peu
dégoûtée. Elle le prend dans sa bouche, le faisant aller d'avant
en arrière, doucement, essayant d'imiter le mouvement du bassin
d'une femme.
- Fais attention, je ne veux pas sentir tes dents.
Le sexe de Monsieur durcit et grandit dans sa bouche, se gorgeant
de sang. D'un seul coup il se retire et lui fait sentir le
doigt qui, quelques instants avant, a violé son anus.
- Lèche-le, lave-le, suce-le...
Elle ne bouge plus, elle ne peut pas, les larmes reviennent
brouiller son regard. Elle ne peut pas, c'est trop sale. Il
la prend par les cheveux, la relève, prend les pinces de ses
seins, tire dessus, les arrache brutalement, lui laissant
apprécier la douleur que cela produit et fait glisser le martinet
sur ses seins.
- Mets tes mains sur ta nuque.
Elle lève les bras, fondant en larmes, elle sait déjà ce qui
va arriver. La cravache frappe ses seins, elle crie de douleur.
- Lèche !!
Elle ouvre la bouche, humiliée, et gobe le doit souillé. Il
fait des va-et-vient dans sa bouche puis introduit son doigt
dans son sexe.
- Tu coules comme une fontaine petite salope !
Il la masturbe sans douceur.
- À genoux, passe tes mains dans ton dos et finis-moi !
Elle reprend le sexe de Monsieur dans sa bouche, s'appliquant
pour son plaisir, allant d'avant an arrière. Monsieur lui
prend la tête et s'enfonce de plus en plus loin. Angélique
étouffe, cherchant l'air puis Monsieur se retire légérèment
pour inonder la bouche encore vierge de son sperme. Il essuie
les quelques gouttes restant sur son visage, étalant soigneusement
sa semence sur les lèvres de sa bonniche.
- Avale tout !
Elle déglutit péniblement, il réintroduit son sexe.
- Nettoie bien !
Elle s'applique à retirer les dernières traces de sperme du
sexe mollissant.
- Rhabille-moi !
Elle remonte le slip de Monsieur, doucement, puis le pantalon
avec soin et termine en bouclant la ceinture.
- Rhabille-toi et retourne à tes tâches.
- Mes sous-vêtements, SVP, Monsieur ?
- Je les jette à la poubelle.
- Mais Monsieur ??
- Dépêche-toi ou je te fous dehors à poil.
Elle se rhabille, nue sous ses vêtements, ses seins ballottant.
- Attends !
Il s'approche, arrache les trois premiers boutons de son chemisier.
- Aller, va !
Elle quitte le bureau et alors qu'elle traverse le couloir,
la voix de madame se fait entendre, hystérique :
- ANGÉLIQUE...
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