Billy Boy. Le voyage de noce
Chapitre 1
Billy boy Part I
Colybaca / Shooter 3704
Il s'agissait vraisemblablement de prises de vue caméra en main, l'image
sautait un peu, mais les images étaient claires et bien lisibles.
Une jeune femme blanche était rudoyée par trois noirs qui la baisaient. La
cassette commençait par un lent strip-tease de la jeune blanche, à la fin il
ne lui restait que ses hauts talons et son sourire.
Je crois que c'est le sourire qui me choqua le plus.
Une fois qu'elle fut nue, un noir trapu est entré dans le champ, ils
s'assi-rent tous deux sur un lit. Ils s'embrassèrent et se caressèrent un
bon moment jusqu'à l'instant où il décida de se faire sucer.
Visiblement l'homme se réjouissait de se faire sucer par une jeune femme
blanche. Le son était de mauvaise qualité, cependant je l'entendis lui
dire qu'elle était vraiment une bonne suceuse. Le pénis du noir était
d'une longueur normale, bien inhabituellement épais.
Dès que la femme vit la queue du noir, elle rampa sur lui, et guida de la
main son épaisse bite dans son nid d'amour.
Elle s'empala sur la courte bite et, pendant plusieurs minutes elle se
dé-mena sur lui, se baisant elle-même, la caméra avait zoomé sur son
visage, et à l'évidence elle se préparait à jouir.
Cette image clôtura la première scène.
Puis l'image revint, la même femme se trouvait avec deux noirs nus. Ils
étaient sur un lit et tandis que l'un la baisait en levrette, elle suçait
l'autre, pendant les quinze minutes qui suivirent, ils échangèrent
plusieurs fois leurs places.
Puis ils la prirent en sandwich, l'un en con, l'autre en cul. Le visage
de la jeune femme exprimait une pure extase, elle hurlait et criait son
plaisir tandis que les deux hommes lui ravageaient ses deux trous.
Ils la prirent à trois pour la dernière scène, son visage exprimait
toujours le plaisir ressenti, mais elle affichait aussi des éclairs de
douleur lors-qu'ils la rudoyaient avec ardeur.
Un moment donné, l'un des hommes saisit une spatule en bois et la frappa
sur la chatte, l'amenant à se tortiller furieusement entre les deux hommes
qui la tenaient étroitement serrées contre eux. La spatule frappa son
clito, elle poussa un hurlement aigu tandis que son petit appendice
s'érigeait fièrement.
Il s'agissait de la seconde cassette vidéo, elle était beaucoup plus
significative que la première. Je sentais les larmes ruisseler sur mon
visage tandis que je voyais la jeune femme se faire violer.
L'actrice principale en était ma femme, nous n'étions marié que depuis
une semaine lorsqu'elle avait été enlevée.
Il n'y avait que quelques jours, bien qu'il me sembla que cela durait
de-puis une éternité.
Je m'appelle Bill Williams et nous étions en lune de miel, c'est alors
que ma jeune femme, June fut enlevée.
Nous occupions une suite dans l'hôtel local et c'était la première fois
que nous quittions l'hôtel en deux jours, jusque là nous avions dormi,
mangé et fait l'amour. Une fois notre appétit amoureux apaisé, nous avions
dé-cidé de découvrir le site.
On commença par aller à la plage, June portait un tout petit bikini
qu'elle n'avait jamais arboré chez nous.
Nous avons tous deux vingt cinq ans; elle est assez grande et bien
pro-portionnée, ses yeux vert émeraude s'harmonisent parfaitement avec sa
longue chevelure rousse, par chance elle n'a pas hérité de la peau trop
pâle des rousses.
Son nez et son front sont couverts de taches de rousseur, sa peau est
d'un brun mordoré. Elle a une belle poitrine bien ferme avec d'épais et
longs tétons très sensibles, qui s'érigent à la moindre caresse
Nous avons passé une excellente après midi sur la plage, jusqu'au moment
où il fit trop chaud, nous sommes alors retourné à l'hôtel et nous avons
joué dans la grande piscine de l'hôtel le reste de l'après-midi.
J'ai alors commandé une cruche de la boisson fruitée locale, que nous
avons vidé rapidement.
Lorsque le serveur amena un second pichet, je constatais qu'il observait
ma femme. C'était un noir assez trapu, pas gros, mais trapu.
Alors qu'elle bougeait, une bretelle de son glissa sur son épaule,
dévoilant un de ses seins jusqu'à l'aréole. Je savais qu'elle l'avait
fait exprès, elle aimait provoquer. Si j'avais été moins jaloux, je
n'aurai pas fait de commentaires et je ne l'aurai pas laissée seule, comme
je l'ai fait.
- " Sacré spectacle " dis-je alors au serveur.
J'étais si imbu de moi-même que je me laissai aller à proférer des
commentaires injurieux :
- "Je parie qu'il aimerait être à ma place ? ...n'est ce pas ? .."
Et encore si je m'en étais tenu à cette remarque ....
Il sourit à ma réplique mais se tut, je saisis alors la cruche et la
lançait rageusement au loin.
- "Quel con ..." soufflais-je alors grossièrement de façon à ce qu'il
entende mon insulte.
- "Jamais vu un tel abruti ! ..." June gloussa et se tint coite.
- Le serveur s'immobilisa et se tourna vers moi, ses yeux me
transpercèrent, il me sourit ironiquement et continua son chemin.
- "Ce n'était pas très gentil, Bill," me gronda June.
- "Qu'aurais-tu fait, s'il avait replacé ma bretelle ?"
-
- "En fait la vrai question est de savoir pourquoi tu l'as provoqué !
...."
June était une allumeuse, jusqu'ici cela m'avait amusé.
D'ailleurs c'est pourquoi je l'avais remarquée, elle accompagnait un
autre garçon dans une boom et m'avait allumé puis avait flirté avec moi.
Une semaine plus tard nous étions ensembles, et je pense que le fait que
je ne sois pas jaloux lui avait plu, bien que ce n'e soit pas la seule
chose en moi qui lui ait plu.
- "C'est une bonne question ..." me répondit June, on éclata de rire,
l'incident fut vite oublié.
C'est alors que je remarquai que deux cassettes vidéo que j'avais
tournées avec ma nouvelle caméra avaient disparues.
J'avais filmé June dansant nue, puis se masturbant. J'avais essayé de
nous prendre en train de faire l'amour, mais le résultat s'avéra plutôt
nul. Je plaignis de ce vol au gérant de l'hôtel, mais il me fit comprendre
que cela ne le concernait pas. Je reconnus qu'il était possible qu'elles
aient été jetées aux ordures, par erreur.
Puis ce fut le tour d'une paire de petites culottes de June, des micros
strings qu'elle avait spécialement acheté pour notre voyage de noce. Cette
fois encore je me plaignais au gérant de l'hôtel, mais à nouveau il me fit
comprendre que cela ne le concernait pas.
Il me sourit, me rétorqua ironiquement qu'il allait s'occuper
personnellement de l'affaire et me conseilla de dire à ma femme de
racheter deux strings à la boutique de l'hôtel, sur le compte de l'hôtel
bien sur.
Puis je constatais qu'on avait enduit le volant de notre voiture de
location d'une substance gluante, je nettoyais le volant et j'oubliais
rapidement cet incident.
Plus tard, alors que nous revenions d'avoir fait des courses, June me
confia que le fond de sa culotte de bikini était humide, elle rit et
m'accusa de l'avoir léché. Rétrospectivement je pense que ces signaux
auraient du m'alarmer, mais j'étais amoureux, je prenais des vacances avec
une ravissante femme qui n'était autre que mon épouse.
C'est pourquoi je ne m'alarmais pas pour autant.
Le quatrième jour, June disparut, nous nous étions préparés à sortir ce
soir là, impatient je lui que je l'attendais au bar de l'hôtel, elle me
répon-dit que c'était d'accord et qu'elle me rejoindrait quart d'heure
plus tard.
J'ai pris un verre, puis deux, cela faisait maintenant une demi heure, je
remontais dans la chambre voir ce qu'elle faisait.
La chambre était vide, je suis redescendu dans le restaurant, peut-être
m'avait-elle mal compris, je cherchais après elle, elle ne se trouvait ni
au restaurant, ni au bar, ni à la piscine. Je demandais au personnel s'ils
l'avaient vu, mais personne ne put me répondre. Après une heure de vai-nes
recherches, je m'affolais, je remontais dans notre suite pour appeler la
police, et vit que le répondeur clignotait.
- "Hey l'enculé ... Si tu veux revoir ta femme, n'appelles pas la
police ! ...." me dit une voix d'homme que je ne reconnus pas.
- "Poses ton cul sur une chaise ....On te rappellera à 10 heures ... Pas
de flic, trou du cul,., ou elle est morte ! ..."
Je ne savais que faire, la logique me dictait d'appeler la police, mais
j'avais peur qu'alors ils s'en prennent à June. Je me désolais, incapable
de prendre une décision, enfin, 10 heures sonnèrent, je saisis le combi-né à
la première sonnerie.
- "Bill ?...."
- "June chérie , ... Où es-tu ? ...Est ce que ça va ? ....." je
l'entendais gémir ..
- "Réponds moi ! ....."
- "Bill " reprit-elle d'une voix sourde.
- "Bill ..... Ils me ... Ohhhhhhhh .... Bill !"
- "June ... Que se passa-t-il ? ...."
- "Ils me .... Ils me violent ....Ils sont en train de me violer ......
En ce moment Bill ! ......"
- "June ... Où es-tu ?" hurlai-je dans le combiné, ses gémissements
s'amplifièrent , un homme intervint alors:
- "Hey Billy .. Tu sais c'est vraiment un bon coup .....Elle a une
adorable petite chatte .....Chacun d'entre nous l'a déjà baisé trois ou
quatre fois ...... Et la nuit ne fait que commencer ! .....Veux-tu la
revoir vivante ? .....Mon cher Billy ......"
- "Ca me parait évident ....." hurlai je à nouveau.
- "Que voulez-vous exactement ? ..."
- "Hey mon cher Billy ... J'ai ce que je voulais .....Une belle rousse
cuisses bien écartées qu'on fourre selon notre gré .....On te la ren-dra
quand on aura plus envie d'elle ....... Un coup de fil aux flics et tu la
récupères morte ..... T'as bien compris mon gars ! ...."
- "Oh, oui j'ai compris ! ...Ne lui faite pas de mal ......Je ferai ce
que vous voulez" m'époumonai-je dans le combiné.
- "Ca vaut mieux mon cher Billy ...Tu gardes ton calme et tout se passera
bien ! ....." et il raccrocha.
Je courais vomir dans la salle de bain.
Ils me rappelèrent juste avant minuit.
- " Alors mon garçon ? ...Ta salope veux te parler ....Elle a beaucoup de
choses à te dire .... mon cher Billy ....." me dit la voix la voix
d'homme.
- "Bill ? ..."
- "Je suis là chérie ...Est ce que ça va ? ...." j'entendais des hommes
parler à l'arrière plan.
- " Dis lui ce qu'on t'as dit de lui dire ! .....Juste ce que je t'ai
dit ...."
- "Ils me violent encore et encore " j'entendais le claquement des
chairs qui s'entrechoquaient.
- "Ils me baisent .... Bill .... Ils me fourrent continuellement depuis
qu'ils m'ont enlevée ....." la voix d'homme lui dit quelque chose que je
ne compris pas.....
- "Les bites noires se sont succédées dans ma petite chatte ......Je les
ai sucé et ils ont éjaculé dans ma bouche ......" j'entendis à nouveau
murmurer à l'arrière plan.
- "J'aime quand ils jutent dans ma bouche ......Je savoure chaque goutte
de sperme qu'ils m'envoient au fond de la gorge ... Je me régale .....Tout
de suite je suis à quatre pattes.. Et l'un d'entre eux va ....." elle
poussa un gémissement aigu.
- "Il me fourre Bill...."
- "Oh Mon Dieu, il me baise ....." et elle murmura "J'aime avoir une
grosse bite noire dans la foufoune ....Il est si dure ..... Si long ....."
Il y eut alors une longue pause, je n'entendais que les halètement de
June. Le son était faible mais j'entendais toujours le claquement des
chairs qui s'entrechoquaient, et le coulissement d'une grosse queue dans
une moule.
- "T'es toujours là Billy ?" reprit le ravisseur.
- "Elle se prend une très grosse queue dans la chatte ! ....Cette salope
me dit combien elle apprécie les grosses bites.. Hey mon gars, aimes-tu ses
épais mamelons ? .... Est-ce qu'elle couine quand tu les mords ? ....T'es
toujours la mon gars ? ....On va encore tirer beaucoup de plaisir de son
corps ....On te rappelle demain matin ...."
Il raccrocha alors que j'entendais nettement June pleurer.
Je me couchais, désespéré, me réfugiant dans l'alcool. C'est la sonnerie
du téléphone qui me réveilla.
- '"Bonjour mon cher Billy ...T'es encore couché ? ....."
me dit la voix du ravisseur alors que je venais à peine de porter le
récep-teur à mon oreille.
- "Ouvre ta porte de chambre ..... il y a quelque chose pour toi sur le
seuil .... On te rappelle plus tard ....."
Je courus ouvrir la porte, j'avais le secret espoir de découvrir ma femme
sur le seuil. Ce n'était pas le cas, je trouvais la première des cassettes
vidéo, elle était de mauvaise qualité, sans intensité, la seconde était bien
meilleure ! .....
On n'y voyait June se faire baiser par deux de ses ravisseurs noirs, un à
la fois ....Encore et encore la même scène ..... A certains moments elle
apparaissait droguée .....Elle avait les yeux vitreux et du milieu à la fin
de la cassette, elle n'offrait plus aucune résistance ! .....
Je m"illusionnais peut être, mais cela répondait à mes voeux, ils ne
cachaient pas leurs visages alors qu'ils violaient ma pauvre petite femme.
Je reconnus le serveur que j'avais rudoyé, je me précipitais pour le voir
dans l'hôtel, il ne se trouvait nulle part.
Bien que je ne sois pas affamé je prenais un léger déjeuner, ils me
rappelèrent vers trois heures dans l'après-midi.
- "Billy , mon cher petit gars " me dit gaiement le ravisseur, " je
sais que tu m'as cherché partout dans l'hôtel ...Mais qu'aurais tu fais
si tu m'avais trouvé ? ......As-tu apprécié la cassette ? .......Ta salope
est devenue ma pute ......Une vraie chienne ... Elle adore se faire baiser
.......Un sacré coup en réalité ......Elle m'a dit que personne ne l'avait
jamais enculée ........ T'as oublié ce pucelage ? .......
- "Je vous ai reconnu sur la cassette" dis-je grinçant des dents.
- "Je veux que vous me rameniez ma femme, ou j'amène la cassette chez
les flics, ils vous reconnaîtront à coup sur.... Et vous irez en prison !
...."
- "Raconte pas d'conneries mon p'tit Billy " répliqua-t-il éclatant de
rire :
- "Il y a deux semaines j'étais loin d'ici, et en quelques heures je
peux être loin d'ici ... IL vaudrait mieux pour toi et ta femme que je
reste ici ...... Tu vois ce que je veux dire ....
- "Pourquoi nous ...?"
- "Fallait pas m'provoquer mon p'tit gars .......Par ailleurs j'ai
aimé les couinements de June la première fois que je l'ai fourrée ....Tu
lui demanderas combien de fois on l'a fait jouir moi et mes amis
......C'est une vraie machine à orgasme ta p'tite femme ... Ah, au fait
mon garçon .....Je dois envoyer une cassette des performances de ta femme à
quelques copains, je t'en ferai une copie .....Je dois te quitter
maintenant .....Ma p'tite pute blanche se réveille ... Ta femme devrai-je
dire ......Et elle réclame une bonne grosse bite noire ! .... A bientôt mon
gars ....."
J'avais des nausées, et un instant je crus que j'allais vomir de
nouveau. Je n'avais jamais été aussi désespéré, désarmé, je me débrouillais
pour obtenir le nom du serveur qui avait kidnappé ma femme.
Il se faisait appeler Reggie Thomas, mais je doute que ce soit son vrai
nom. J'allais d'une extrémité à l'autre, que j'appelle ou non les flics,
j'étais sur d'une chose : elle était vivante et ne semblait pas blessée.
Si j'appelais la police, je sentais que Reggie mettrait ses menaces à
exécution, je devais la récupérer vivante quelque soit le prix à payer, je
m'étais demandé, lorsque nous avions échangé nos voeux ce qui adviendrait
si June continuait à allumer les hommes, j'en avais maintenant une foutue
idée.
Je reçus la seconde cassette le lendemain matin, je la regardais
attentivement, je voulais savoir si elle était droguée ou non, mais on ne
pouvait vraiment le déceler Je n'eus pas de coup de fil de la journée, il
était presque minuit lorsqu'on frappa à ma porte, je trouvais la troisième
cassette sur le seuil..
Frissonnant d'appréhension, je mis la cassette dans le magnétoscope, une
part de moi voulait regarder le film alors qu'une autre part refusait de
voir les images.
Le visage de Reggie apparut à l'écran.
- "Hello mon cher garçon .....comment ça va ? ..... Tu représentes
exactement le genre de mec que je méprise ..... Ce qui vous arrive à toi et
à ta petite chérie est loin de me désoler... en particulier depuis que je
t'ai vu jeter la cruche... j'espère que tu vas aimer cette bande .....Je
me suis montré inventif ... Ta petite salope a appris plein de choses
vicieuses ......Au fait je lui ai fait percer les mamelons ... On y attaché
une chaîne comme ça on peut la promener en laisse ... Bien que son collier
de chien aurait suffi pour ça ......A ton avis qui me fait une pipe ?
......."
-
La caméra se recula et je vis ma femme agenouillée entre ses cuisses lui
faisant une fellation, ses petites mains semblaient encore plus blanches
enserrant sa grosse bite noire. Elle tenait l'épaisse hampe à deux mains,
son visage allait et venait sur sa grosse mentule?.
- "Prends ton temps foutue salope ! ... Tu vas en sucer des dizaines
avant la fin de la nuit .... Allez continue ... Qu'en dis-tu mon gars ?
....."
L'image disparut, une autre image de June nue, tenue en laisse, un
collier de chien au coup, elle se tenait au milieu de la pièce.
Un homme que je ne reconnus pas la promena en laisse autour de la pièce,
elle le suivait sans hésiter, je pouvais entendre des rires dans l'arrière
son.
Plus tard, ils l'emmenèrent dans un lit, et là ils la baisèrent de
différentes façons l'utilisant selon différentes combinaisons.
Ils la prirent en sandwich, une bite en con une autre en cul.. puis ils
lui fourrèrent deux bites ensembles dans la chatte elle hurla pendant toute
cette séquence, Ils la travaillaient alternant les pénétrations et les
retraits, lorsqu'une bite se retirait, l'autre s'enfonçait
Il me semblait évident qu June était au delà de toute résistance, elle se
pliait à toutes leurs demandes sans aucune hésitation.
A peu près au milieu de la cassette, ils se firent encore plus inventifs :
Ils attachèrent quelques ficelles aux anneaux de ses mamelons et ils
utilisèrent ces liens comme des rênes tout en la fourrant, je vis que
certains d'entre eux tiraient vigoureusement sur ces rênes, uniquement pour
la faire souffrir, mais elle ne parut pas s'en plaindre.
Un autre fit courir une des ficelles entre ses cuisses, ainsi lorsqu'il
don-nait des coups de boutoir, la ficelle entaillait profondément sa fente,
June gémissait de douleur, ses tétons étaient anormalement enflés, ils
étaient deux fois plus gros que d'habitude.
Elle chercha à se cambrer pour atténuer la douleur de la ficelle qui lui
cisaillait le clito. Puis ils firent un concours : c'était à celui qui se
montrerait le plus inventif pour lui enfoncer des objets dans sa pauvre
moule. Ravagée.
Un de ces salauds lui enfonça un poisson cylindrique dans la chatte, peut
être bien une anguille, toujours est-il qu'il était en vie, ses
soubre-sauts provoquèrent un orgasme qui ravagea les reins de June. L'image
s'éteignit, et le film reprit dans la salle de séjour.
Une voix off ordonna :
- "Fais le spectacle pour ton petit mari ..." la caméra suivit les
déplacements de June.
Il y avait une bouteille de vin sur la table basse , June enfourcha la
table, alignant sa chatte sur la bouteille, elle s'accroupit lentement et
le goulot de la bouteille disparut dans sa fente écartelée, je remarquais
fugitive-ment que sa toison semblait bien moins fournie, on devait
d'ailleurs lui avoir rasé car en certains points il paraissait glabre.
Elle s'accroupit encore plus et le col de la bouteille disparut
lentement, absorbé par sa cramouille, Reggie la rejoignit et appuya
fortement sur ses épaules.
- "Eh, Billy, crois-tu qu'elle arrivera à tout absorber ? .... On va
tellement lui élargir le connil qu'elle ne sentira même plus ta petite
queue de blanc ! ...."
Il appuya fermement sur ses épaules, elle grogna sentant la bouteille lui
évaser impitoyablement la chatte.
- "Qu'en dis-tu June ? ..... Veux tu avaler toute la bouteille ? .....
Elle secoua la tête en signe de refus mais murmura sourdement :
- "Ca m'est égal, .... Fais ce que tu veux !......."
- "Et si on te l'enfonçait dans le cul ? ....Montre nous jusqu'où tu
peux te l'enfoncer dans le trou du cul ! ...."
June se releva, entraînant la bouteille dans son mouvement. On distingua
alors un pop sonore lorsque Reggie la lui retira.
Il dressa la bouteille, l'alignant sur son anus, et elle s'accroupit de
nou-veau, elle l'absorba le col entièrement, il appuya sur ses épaules, la
bou-teille s'enfonça encore dans son boyau, lui évasant exagérément le
gou-lot, elle poussait des cris aigus. Eclatant de rire Il la laissa se
relever.
- "Mon gars tu disposes maintenant d'une vraie salope, tu peux lui
enfoncer ce que tu veux dans la chatte et le cul, elle accepte tout
.....n'importe quand ... N'importe comment ....."
La scène prit fin, et la séance de baise reprit, je notais qu'il y avait
trois nouveaux noirs, ils vinrent vers elle, ils semblaient frais, et très
vicieux.
Ils la prirent un à la fois, puis deux et enfin tous les trois ensembles.
Cela dura environ une heure, puis une nouvelle équipe les relaya, ils
étaient quatre cette fois.
Longtemps après, la lubricité des participants apaisée, la caméra
s'attarda sur June étalée sur le lit, cuisses grandes écartées, du foutre
s'écoulant de sa chatte gonflée.
- "Hey Billy, t'aimerais bien qu'elle nettoie tout ce foutre .... Sa
petite chatte à servi de garages à bite à bien des queues noires cette nuit
... Ils se sont tous vidés les couilles dans son utérus ....Bon, c'est
d'accord les gars, vous pouvez encore en profiter si vous en avez envie
......"
La cassette était finie, elle se rembobina.
Je la visionnais pour la troisième fois, j'étais honteux de sentir mon
excitation monter en regardant la dégradation de ma femme.
Une chose me semblait flagrante, June avait largement apprécié ce qu'elle
avait subi, tout au moins la plus grande partie, elle recommencerait
rapidement à allumer les hommes !
June rentra à l'hôtel à trois heures du matin, je l'entendis frapper
timidement à la porte, j'ouvris la porte et me trouva confrontée à une
jeune femme crottée, sale, souillée, ne portant rien d'autre qu'un chiffon
drapé sur ses hanches. Sa belle chevelure rousse était toute poisseuse,
engluée de foutre sec et plus frais. Elle était couverte de foutre de la
tête aux pieds.
Je lui tendis la main, mais elle hurla :
- - "Non ... Pas avant que je prenne une longue douche .....Pendant ce
temps tu vas faire nos valises qu'on quitte ce putain de trou à rats au
plus vite .....Je veux rentrer à la maison ...."
Il me semblait que June, ma jeune femme si policée avait acquis un
lan-gage cru et populaire que je ne lui connaissais pas, je m'attendais à
ce que beaucoup de choses aient changé en elle.
Notre malheureux voyage de noce n'avait duré que trois semaines, nous
n'en parlions plus.
Je voulus aborder le problème une paire de semaines plus tard, mais June
se refusa à en parler, aussi ai-je cessé de lui proposer de voir un
psychiatre, elle ne consentit qu'à faire des tests sanguins.
Apparemment ils ne lui avaient transmis ni maladies sexuelles ni SIDA, et
à part quelques contusions, quelques muscles froissés ou élargis, elle s'en
tirait bien.
J'avais l'impression que faire l'amour la dégoûtait aussi pris-je la
décision d'attendre son bon vouloir, attendre le moment où elle penserait
avoir suffisamment récupéré.
June travaillait au domicile, elle travaillait sur des programmes
informati-ques, elle reprit son travail, mais sans beaucoup d'enthousiasme,
il semblait qu'elle le faisait uniquement parce qu'elle devait le faire,
je n'utiliserai pas le terme de zombie, bien que son comportement s'en
approcha.
En tout cas, elle se montrait particulièrement gentille avec moi, elle
était très plaisante, elle recommença à m'embrasser, mais on ne se roulait
plus de pelles lascives avec la langue.
Elle avait limité ses contacts avec ses amies, même avec sa meilleure
amie, la gentille Tammy MacCall.
Tammy me demanda ce qui n'allait pas, mais je ne lui répondis pas, ce
n'était pas à moi de lui dire quoi que ce soit.
Chaque jour j'espérais que tout redeviendrait normal, et chaque jour
j'étais désappointé.
Une nuit, alors que June s'était couchée, je mettais une des cassettes
dans le magnétoscope et je m'asseyais dans le noir pour la regarder.
C'était la seconde bande, je passais les images au ralenti, je voulais voir
le moment où ils l'avaient frappée avec la spatule en bois, je n'avais pas
mis de son, mais je l'avais assez regardée pour avoir la bande son en tête,
les claquements bruyants de la spatule heurtant son clito, et les
couinements, les plaintes de ma femme.
En passant la bande au ralenti, je distinguai clairement sa vulve enfler
sous les coups, je me branlais lentement en regardant les grosses bites
violer tous ses orifices.
- "Tu te comportes comme un fils de pute ! ..." dit la voix de June dans
mon dos.
Humilié, je rangeais ma bite dans mon caleçon, elle contourna le sofa etr
s'assit à mes cotés.
- "Je pensais que tu avais détruit ces cassettes ? .."
Cette question déguisée m'embarrassait fort, effectivement je lui avais
dit que j'allais les détruire, et j'en avais vraiment l'intention, mais
au moment crucial, je n'avais pas pu le faire.
Lorsque j'avais reçu ces cassettes, je n'acceptais pas la fatalité et je
vou-lais ne jamais oublier ce que j'avais vu, ce qu'elle avait subi.
Au moins j'avais essayé de les détruire, mais je savais maintenant que
les avoir conservée changeait tout.
La cassette se terminait.
- "Les as-tu toutes prises avec toi ? ...." je hochai la tête, incapable
d'émettre un son.
- "Je ne me rappelle plus clairement leur contenu ! ...Peux tu me les
repasser ?...."
Je me relevais et substituait la troisième cassette à celle terminée. Je
ne savais pas si c'était bien ou mal, mais je ne voyais pas
d'échappatoire. Peut-être que ce serait une bonne thérapie, peut-être que
cela l'aiderait à récupérer.
June regarda la cassette très calmement, silencieusement, puis soudain,
elle se mit à nommer les acteurs.
- "Celui là, c'est Charles "murmura-t-elle identifiant un noir qui la
prenait en levrette. Elle citait leurs noms alors qu'ils la baisaient
jusqu'à l'os : Travis, Jack, George, Thomas, Clinton et bien sûr Reggie.
Elle ne connaissait pas le nom des derniers venus.
Apparemment, Travis était un sinistre bâtard sadique, c'était lui qui
lui avait étiré si douloureusement les tétons, c'était aussi lui qui lui
avait as-séné des coups de spatule sur le clito.
- "Travis a été le premier à m'enculer " me dit-elle calmement, sans
même hausser le ton, elle retrouvait le langage coloré qu'elle employait
juste après son viol.
- "Au moins il avait consenti à me lubrifier l'anus avant de me casser
le cul ! ..."
Nous la regardâmes se faire prendre en sandwich par deux hommes, puis
embrochée par ses trois trous, et toute les vicieuses combinaisons qu'ils
avaient inventées à son intention.
Je regardais fixement June, cherchant à déterminer l'impact de ces
ima-ges qui pouvaient la perturber gravement. Elle restait très calme, même
sereine.
- "Bandes-tu ?" me demanda-t-elle soudain.
Je ne savais pas très bien comment répondre à sa question, aussi
hochai-je la tête de bas en haut.
- "Cela t'excites donc de me voir baisée par ces salauds de nègres !
..."
Honteux, Je hochais à nouveau la tête. Ma réponse muette ne sembla pas la
perturber outre mesure.
- "Alors viens coucher, et montre moi à quel point t'es excité !....."
Nous nous ruâmes dans le lit, les préliminaires étaient inutiles, nous
avions tellement envie de baiser !
Je l'avais à peine pénétrée que déjà June jouissait, elle rebondit
d'orgasme en orgasme avant que je ne me vide en elle. Je n'avais jamais
femme aussi chaude que June, je pensais que cela allait prendre la nuit pour
apaiser sa lubricité. Heureusement je bandais à nouveau, nous avons baisé
comme des bêtes.
Puis pour la dernière fois, nous avons vraiment fait l'amour, doucement,
tendrement, nous nous endormîmes enlacés dans les bras de l'autre. Je
savais maintenant que les choses se régularisaient entre June et moi.
Je savais cependant que je tuerai avec joie ce salaud qui m'avait
appelé Billy, mon p'tit gars....
- FIN DU CHAPITRE.
Coulybaca.
|