Au cours d'un mariage, Jean repéra une grande brune très
BCBG avec son chignon, de bonnes joues, une bouche très
ourlée avec de belles dents, assise à côté de son mari.
Elle portait une robe bustier qui moulait une poitrine impressionnante,
débordant de son décolleté au sillon profond.
Elle se leva pour danser le rock et, au gré de ses mouvements,
sa robe volait autour de ses jambes bien galbées, dévoilant
ses cuisses superbes. Il se tassa dans son siège pour mieux
savourer le spectacle. De sa position, il pouvait voir plus
haut sous sa jupe, et aperçut plusieurs fois le détail d'une
culotte blanche sous le collant noir transparent. Il put
même savourer un bref instant la vue complète de ses fesses
moulées de blanc avec leur sillon marqué par la couture
du collant du nylon. Sa croupe semblait aussi prometteuse
que ses seins.
Une fois assis, il engagea la conversation, apprenant qu'elle
était au chômage et le couple à court d'argent. Il proposa
alors à la femme de venir postuler dans son agence de casting
pour des photos ou des petits rôles. Elle rougit mais n'osa
répondre. C'est son mari qui la poussa à accepter. Quand
elle se pencha pour prendre sa carte de visite, il plongea
son regard dans son décolleté s'ouvrant sur les flancs rebondis
de ses seins jusqu'à la naissance de son soutien-gorge blanc
pigeonnant. Il se faisait fort, une fois dans son studio,
de l'amener à dévoiler un peu plus de son corps sensuel.
Deux jours après, il l'accueillit dans son bureau. Elle
portait une jupe noire étroite avec un pull tabac ras du
cou, moulant son buste opulent. Il adopta un ton froid et
professionnel pour lui parler du métier et de ses difficultés
tout en louchant sur ses jambes bien dévoilées par la courte
jupe. Quand elle croisa les jambes, il aperçut l'éclat blanc
de sa culotte entre ses cuisses nues. La bouche sèche, il
lui demanda si elle était prête à faire aussi de la lingerie.
Rougissant, elle baissa les yeux, répondant que cela serait
peut-être un peu osé. Mais, lui faisant miroiter les avantages
financiers, il finit par lui faire accepter si l'occasion
se présentait.
Il la fit mettre debout pour prendre quelques photos sous
différentes poses. Quand il la fit se cambrer en arrière
les bras levés, il mitrailla sa poitrine ainsi offerte,
moulée par la laine, devinant le relief de son soutien-gorge.
Il s'attarda de même sur sa croupe ronde tendant sa jupe.
D'une voix détachée, il lui demanda de relever son pull.
- Pardon ? dit-elle interloquée.
- Si vous voulez faire de la lingerie, il faut bien que
je voie votre corps.
Il jubila quand, après une hésitation, elle remonta le
tissu au dessus de son buste. À l'abri derrière son appareil
photo, il put tout à loisir zoomer sur ses seins bien ronds,
un peu lourds, tendant à craquer son soutien-gorge de broderie
anglaise.
- Montrez-moi vos jambes maintenant.
Se tortillant un peu, elle retroussa sa jupe sur ses cuisses
au ras de l'aine.
- Plus haut !
Elle ouvrit la bouche comme pour dire quelque chose mais,
finalement, baissant les yeux, gênée, elle remonta le tissu
au dessus de ses hanches, dévoilant sa culotte assortie.
-C'est bien, vous avez un corps superbe, tournez-vous.
Elle avait de belles hanches et un cul bien rond. Sa culotte
remontée assez haut en marquait le sillon et moulait son
entrejambe bombé.
- Bien, encore un tour.
Elle avait le ventre légèrement bombé et un mont de Vénus
proéminent dessiné par le coton. Il était toujours fasciné
par la puissance de son métier, lui permettant d'admirer
à demi-dévêtue une superbe BCBG qu'il connaissait à peine.
En plus elle était un peu empotée, ce qui était souvent
un gage de docilité. Pour la tester, il s'approcha et, d'un
geste brusque, attrapa le haut de sa culotte et l'écarta
largement, dévoilant sa toison noire abondante. Béryl, horriblement
gênée, n'osa pas réagir, mais son corps se couvrit de chair
de poule. Il justifia son geste :
- Il faudra vous raser un peu le pubis pour la lingerie
pour que cela ne dépasse pas, d'accord ?
La gorge serrée, n'osant pas le regarder, elle hocha la
tête.
- Vous pouvez vous rhabiller maintenant.
Elle se rajusta rapidement, se sentant un peu honteuse.
Il la convoqua pour la semaine suivante en vue d'une séance
de photos destinées à un catalogue de lingerie.
Il lui présenta le photographe et l'envoya se changer et
mettre la première tenue. Il les avait choisies soft au
début, et puis de plus en plus sexy, pour qu'elle soit à
l'aise.
Elle apparut d'abord en body blanc uni, mais moulant et
bien échancré sur les hanches, mettant ses longues jambes
en valeur ainsi que sa poitrine qui tendait le fin tissu,
en marquant même légèrement les pointes. Elle était très
intimidée par la présence des deux hommes et, crispée, commença
à prendre quelques poses.
La deuxième tenue était une guêpière de satin blanc avec
une culotte assortie. Il dut l'aider à la fermer, touchant
sa peau nue pour la première fois. La guêpière serrée à
la taille faisait ressortir sa poitrine qui débordait largement
du carcan de dentelle. Il réajusta également ses jarretelles,
à genoux devant elle, le visage à cinquante centimètres
de son bas-ventre moulé de dentelle. Il lui caressa discrètement
les cuisses, tout en tirant ses bas. Béryl frissonna sous
le contact des mains brûlantes. Elle était partagée entre
la gêne d'être ainsi à moitié nue devant ces hommes et le
désir de se montrer à la hauteur. Mais, quand elle enfila
la tenue suivante, elle hésita face à la glace. C'était
une fine combinaison en tulle noir très transparent, munie
de fines bretelles, qui s'enfilait comme un collant et la
moulait comme une seconde peau, se terminant en bustier
très échancré sous ses bras. N'ayant que ça sur le cintre,
elle avait dû l'enfiler à même la peau et se sentait plus
que nue. Mais, pensant à l'argent, elle ravala sa gêne et
sortit, l'air faussement décontracté. Elle les vit écarquiller
les yeux quand elle apparut. Elle était hyper sexy dans
cette tenue, ses beaux seins lourds s'épanouissant librement
sous la tulle, avec le dessin de ses larges aréoles brunes
clairement visibles. La fine tulle dévoilait jusqu'aux boucles
noires de sa toison qu'elle avait effectivement rasée en
un triangle beaucoup plus étroit.
- Quel corps superbe !
Elle rougit sous le compliment et prit docilement les poses
demandées, se laissant admirer sous toutes les coutures.
De profil, le galbe de ses seins était encore plus impressionnant,
les flancs ronds bien dégagés par l'échancrure. Sa croupe
haute tendait bien le tissu marqué par le sillon des belles
fesses pleines. Secrètement, elle était fière de leur regard
admiratif et, grisée, se laissa aller à des poses plus provocantes,
se cambrant pour mieux mettre ses courbes en valeur, souriant
bravement à l'objectif.
Jean était excité par le contraste du visage BCBG et de
ce corps qu'elle exhibait complaisamment. Il se retint pour
ne pas lui arracher sa tenue, surtout quand elle s'assit,
jambes largement écartées, coudes sur les genoux, la tête
au creux des paumes. Dans cette pose, son décolleté s'était
fait plus que plongeant sous le poids de sa lourde poitrine
qui semblait vouloir s'échapper. Et, surtout, il avait une
vue intégrale de son sexe à travers la tulle, pouvant deviner
le fin dessin de sa vulve fendue au creux de sa toison noire.
Béryl, malgré elle, commençait à se sentir troublée et une
certaine langueur envahit son bas-ventre. Elle qui, sur
la plage, n'enlevait même pas son haut de maillot de bain,
découvrait le plaisir de s'exhiber devant des quasi inconnus.
Et le fait d'être payée pour cela était plutôt agréable...
Elle fit ainsi trois autres séances de lingerie.
Il remarqua qu'à chaque début de séance, elle restait tendue,
à la fois gênée de se dévoiler devant un nouveau photographe
et anxieuse de connaître ses réactions. Il comprit que,
peu sûre d'elle, elle avait toujours peur de décevoir. Mais,
après quelques compliments, elle se laissait complètement
aller.
Au cours d'une séance où elle était allongée sur le dos,
jambes pliées, il put même apercevoir son sexe nu à travers
l'échancrure de son large boxer blanc, sa toison noire finement
bouclée encadrant ses lèvres brunes et la fente étroite
de son sexe.
Cette fille l'excitait terriblement et, voulant la voir
nue, il lui proposa un casting de photos de charme, nettement
mieux payé. Rougissant comme une pivoine, elle refusa, arguant
qu'elle n'oserait jamais. Mais il insista, lui précisant
que ces photos étaient pour l'Allemagne uniquement. Elle
finit par demander :
- Et si je ne plais pas au photographe ?
Avec les seins et les fesses qu'elle avait, il n'y avait
aucun risque et il la rassura. Elle finit par accepter de
faire un essai. Au fond d'elle naissait malgré tout une
sorte d'excitation à l'idée de devoir se mettre nue devant
quelqu'un d'autre que son mari.
Le jour prévu, elle entra dans le bureau en tailleur bordeaux.
Il fit les présentations au patron du journal et au photographe
puis lui demanda de se déshabiller. Des yeux, elle chercha
une cabine et comprit qu'elle devrait se dévêtir devant
eux, ce qui la gênait quasiment plus que d'apparaître nue.
Mais, malgré tout, elle déboutonna sa veste sous laquelle
elle ne portait qu'un balconnet de dentelle noire, gonflé
par ses seins opulents. Elle fit glisser sa jupe, dévoilant
sa fine culotte bien échancrée en dentelle noire, qui dégageait
ses hanches rondes et moulait bien sa vulve. Ses jambes
étaient gainées de bas noirs avec une bordure en dentelle.
Les hommes la dévoraient des yeux, excités par le spectacle
prometteur. Elle hésita un moment.
- Le reste, s'il vous plaît.
Se mordant la lèvre, elle leur tourna le dos et dégrafa
son soutien-gorge, dévoilant les flancs gonflés de ses seins
qui débordaient de son buste. Elle fit également rouler
sa culotte, dénudant ses belles fesses bien fendues. Les
jambes un peu écartées laissaient même deviner le doux renflement
de son sexe sombre.
- Bien... Gardez vos bas et tournez-vous.
Instinctivement, elle se retourna en gardant un bras en
travers de ses seins et une main en conque sur sa toison.
Sa pudeur la rendait encore plus excitante. Jean se mit
derrière elle et lui écarta doucement les bras.
- Allons, Béryl, montre-nous comme tu es belle.
Il y eut un silence quand elle apparut enfin dans toute
sa nudité, sa peau blanche nacrée rehaussée par ses bas,
et sa toison noire. Ses seins s'étaient épanouis sur son
buste, ronds et lourds, les aréoles bien dessinées.
- Tu es magnifique.
Elle sursauta quand il lui plaqua une les mains sur les
fesses, les palpant rapidement.
- Bravo, en plus, c'est ferme.
À la grande honte de Béryl qui rougit, il lui soupesa de
la même manière les seins, appréciant la fermeté des globes
opulents.
- C'est bon, on commence.
Comme d'habitude, elle était crispée au début. Il firent
une première série d'elle debout, mains sur les hanches.
Pour la décrisper, ils firent une première pause champagne.
- Maintenant, quelques plans de tes seins.
Le photographe s'approcha à cinquante centimètres et commença
à lui mitrailler la poitrine. Béryl rougit de se sentir
matée de si près, mais gonfla instinctivement le buste.
- Penche-toi.
Ses deux globes laiteux, ronds et gonflés, s'épanouirent
entre ses bras.
- C'est bien. Les fesses maintenant. Tournez-vous.
Très troublée, Béryl sentit tous les regards fixés sur
sa croupe. À leur demande, elle se pencha un peu, sachant
qu'ainsi ses fesses s'ouvraient sur l'abricot fendu de son
sexe. De nouveau elle sentait une certaine langueur dans
le ventre de s'exhiber ainsi. Ils la laissèrent un moment
dans cette position, ne se lassant pas de la vue de ce superbe
cul quasi offert. Ils refirent une pause champagne. Elle
devenait un peu euphorique, se moquant de sa pudeur. Ces
professionnels devaient être blasés et elle prit un air
dégagé, assise pourtant nue au milieu d'eux
- Tu as vraiment de beaux seins, dit le patron. Regarde,
Jean.
Et simultanément les deux hommes lui empaumèrent un sein,
soupesant la masse chaude et élastique. Béryl eut un sourire
gêné mais n'osa pas se dérober.
- Attendez, ça va faire une superbe photo.
Et le photographe prit son appareil, zoomant sur les mains
qui lui palpaient discrètement les seins. Mais Béryl se
rebiffa :
- Non, pas comme ça, je ne devais faire que les photos
de nu.
Le patron la lâcha et dit, méprisant :
- Tu nous as encore amené une oie blanche ! Écoutez, Béryl,
décontractez-vous, toutes les filles font ce genre de photos,
ce ne sont que des essais.
Mortifiée et se sentant ridicule, elle s'excusa et ils
reprirent leur position.
- Parfait, mais ce serait plus joli avec les pointes dressées.
Les yeux fixes, essayant de penser à autre chose, elle
laissa les doigts glisser sur ses mamelons grumeleux et
en étirer les pointes. À sa grande honte, elle les sentit
durcir instinctivement, et une boule de chaleur envahit
son bas-ventre. Elle se laissa allonger en arrière.
- On va prendre quelques photos de ton sexe.
Il lui mirent chacun une main sur les cuisses, les écartant
doucement mais largement, exhibant sa vulve sur toute la
longueur.
- Quelle belle chatte !
Troublée par l'aspect cru des mots et par les regards plaqués
entre ses cuisses, elle préféra fermer les yeux. Ils louchaient
sur son mont de Vénus bombé, sa toison dressée et ses lèvres
finement ciselées. Le contact de leurs paumes sur ses cuisses
et ses seins commençaient à lui échauffer les sens, mais
jouant la fille blasée, elle garda un air détaché. Mais
les deux hommes n'étaient pas dupes, et ils s'amusèrent
à la tester :
- Fais semblant de te caresser.
Elle ne broncha pas et glissa sa main en conque sur son
sexe.
- Comme ça ? demanda-t-elle, naïve.
- Jim, montre-lui.
Il ne se fit pas prier et posa sa main par-dessus la sienne,
guettant sa réaction. Ses doigts plus longs étaient directement
au contact de son sexe. Elle creusa un peu le ventre mais
ne dit rien. Il lui écarta les doigts de chaque côté de
sa fente, en profitant pour palper discrètement la vulve
moelleuse. Elle se mordit la lèvre quand il effleura le
capuchon de son clitoris et resserra instinctivement les
cuisses. Mais, comme prise en faute, elle les rouvrit tout
de suite. Dans son mouvement, ses doigts s'écartèrent, entraînant
ses lèvres brunes qui s'entrouvrirent sur l'orée rose de
son vagin, sous l'oeil ravi du photographe.
Jean guida les doigts de Béryl au creux de ses lèvres qui
s'ouvrirent sous la pression, et les fit aller et venir
contre sa vulve, la faisant se caresser, lui embrasant le
ventre. Appuyant sur la première phalange d'un de ses doigts,
il chercha à le faire pénétrer son vagin. Béryl fut surprise
de le sentir glisser facilement dans son sexe déjà trempé,
trahissant son émoi.
- C'est bien comme ça, continue, ça va faire de superbes
photos.
Et quand Jean enleva sa main, Béryl continua de se caresser.
C'était la première fois qu'elle le faisait et elle découvrait
des sensations exquises et bientôt, sous le regard fasciné
des hommes, elle enfonça un deuxième doigt dans son ventre.
L'ambiance devenait torride, ils commençaient à être super
excités devant cette BCBG qui se caressait sans pudeur,
cuisses largement écartées. Sous leurs paumes, ses tétons
étaient devenus très durs et très sensibles. Le champagne
aidant, Béryl commençait à lâcher les plombs, sa respiration
s'accélérait.
Quand le patron ouvrit sa braguette et sortit un sexe déjà
bien dressé, il y eut un silence. Béryl, bouche ouverte
et les yeux écarquillés, semblait comme hypnotisée par la
colonne de chair turgescente. Secrètement, elle était fière
du désir qu'elle lui inspirait. Elle frémit quand le patron
lui prit la main pour la plaquer sur son membre. Elle le
sentait palpiter contre sa paume et, d'elle-même, referma
ses doigts et commença à le masturber, le sentant se gonfler
encore plus. Petit à petit, il se rapprocha de son visage,
jusqu'à ce que son gland vienne effleurer ses lèvres entrouvertes.
Elle n'avait jamais osé faire une fellation à son mari mais,
fascinée par le membre dressé, elle dit d'une voix déjà
consentante
- Mais je ne saurais pas le faire.
- Ne t'inquiète pas, on va t'apprendre.
Il força doucement avec son gland sa bouche pulpeuse. Elle
le sentit cogner contre son palais, goûtant pour la première
fois la saveur salée d'un homme. Le sexe durcit encore dans
sa bouche, l'excitant terriblement. Suivant ses indications,
concentrée, elle commença à le sucer, ses belles lèvres
rouges déformées par le gland qu'elle avalait et léchait
alternativement, se révélant plutôt douée. Elle le dévisageait
en même temps, les yeux fixes, guettant ses réactions. Elle
découvrait le plaisir d'exciter des hommes, de les rendre
fous, elle qui avait toujours douté de son pouvoir de séduction,
et elle voulait en profiter jusqu'au bout.
Aussi tourna-t-elle docilement la tête de l'autre côté
pour avaler le sexe de Jean qu'il avait également libéré.
Il grogna sous l'exquise sensation de la bouche humide et
chaude qui l'aspirait. Il glissa à nouveau sa main entre
les cuisses de Béryl, continuant ce qu'elle avait commencé,
tournant autour du clitoris qu'il décapuchonna avant de
glisser deux doigts dans sa vulve trempée, la faisant onduler
du bassin.
Elle les suçait maintenant alternativement. Le photographe
tournait autour d'eux, mitraillant ce corps splendide offert
complaisamment. Sa présence ne gênait plus Béryl et l'excitait
même encore plus.
Jean vint se placer entre ses cuisses qu'il releva pour
mieux l'offrir. Elle frémit quand elle sentit le gland baveux
glisser entre ses lèvres, mais ne s'arrêta même pas de sucer
le patron quand il s'enfonça dans son ventre, grognant quand
il s'abuta au fond d'elle. Elle avait le sexe brûlant et
étroit. Glissant ses mains sous les fesses fermes, il commença
lentement à la baiser, déclenchant des vagues de chaleur
dans le ventre de Béryl. Les yeux mi-clos, elle regardait
la tige épaisse disparaître entre ses cuisses au creux de
sa toison noire. Elle commença à bouger les hanches, venant
à la rencontre du sexe qui la perforait délicieusement,
haletant tout en continuant de sucer le patron. Le photographe
suggéra qu'ils changent de position.
Ils la firent mettre en levrette, croupe bien dressée.
Elle se laissa faire même quand, du genou, le patron lui
écarta les cuisses, rendant sa position encore plus obscène.
Des deux mains, il crocha dans ses fesses pour mieux les
écarter et offrir sa vulve au photographe.
- Cambre-toi.
Ayant depuis un moment perdu toute pudeur, elle obéit,
le souffle court, lui dévoilant le détail de ses lèvres
restées entrouvertes et jusqu'au puits sombre de ses reins.
Elle n'attendait plus qu'une chose, sentir de nouveau une
verge au fond de son ventre. Le patron fit glisser plusieurs
fois son gland entre ses fesses avant de s'enfoncer d'une
seule poussée au fond de son sexe trempé, lui arrachant
un feulement de plaisir. Mains crispées sur ses hanches
rondes, il se mit à la besogner sans douceur, lui claquant
la croupe de son ventre. Haletant sous les coups de boutoir,
elle dressa la tête, et Jean profita de sa bouche entrouverte
pour y glisser son sexe. Faufilant ses mains sous son buste,
il empauma les seins ballants. Elle était très excitante
avec son chignon, ses yeux clos et ces belles lèvres rouges
qui coulissaient sur la tige de chair.
Sous l'assaut des deux hommes, le plaisir montait inexorablement,
et Béryl eut un premier orgasme qui la fit se cambrer plus
encore. Jean en profita pour glisser sa verge entre les
seins gonflés et, saisissant ses tétons, comprima les globes
chauds sur son sexe, se masturbant entre sa poitrine, appréciant
la gaine chaude et moelleuse. Excitée par cette caresse
perverse et nouvelle qui lui martyrisait délicieusement
les seins, elle sentit un deuxième orgasme monter inexorablement
et se mit à gémir bruyamment. Jean éjacula brusquement.
Béryl, horrifiée, recula le visage mais ne put éviter les
traînées brûlantes qui maculèrent son beau visage. La prenant
par la nuque, il força à nouveau sa bouche, finissant de
jouir au fond de sa gorge. Elle appréciait pour la première
fois le goût salé du sperme d'un homme. En plein plaisir,
elle roula des hanches pour mieux se faire pénétrer et elle
sentit bientôt le patron exploser au fond de son ventre,
déclenchant son deuxième orgasme. Se retirant, il tapota
une dernière fois ses fesses encore offertes.
- Bravo, tu étais superbe.
Terrassée par le plaisir inattendu qu'elle avait pris sous
les assauts pervers, elle se rhabilla un peu hébétée, avec
un sourire gêné. Elle n'en revenait pas de s'être livrée
aussi facilement et surtout d'avoir connu un tel orgasme.
Elle n'osa jamais les rappeler, mais une boule de plaisir
envahissait son bas-ventre chaque fois qu'elle repensait
à la scène.
Elle se mit désormais à remarquer et apprécier beaucoup
plus le regard des hommes sur son corps...
Etait-ce cela aussi, être une femme ?
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