L'épisode du train avait calmé les pulsions de Beryl pendant un certain
temps. Environ un mois après elle alla à faire les courses dans son magasin
habituel. Dans le rayon parfumerie, elle découvrit le nouveau parfum de
Christian Dior, qu'elle s'amusa à essayer. La fragrance lui plut, révélant
un parfum assez capiteux. Mais il était bien trop cher pour qu'elle puisse
se l'offrir. Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle et ne voyant personne
dans le rayon, prise d'une impulsion subite, elle le glissa alors
discrètement dans son sac et fini de faire ses courses.
Elle se présenta à la caisse un peu nerveuse, mais la caissière ne paru
rien remarquer. Avec un ouf de soulagement, elle s'apprêta à quitter le
magasin, souriant intérieurement de sa peur rétrospective qui lui avait
rappelé des souvenirs d'adolescente quand elle chapardait avec ses copines.
Mais elle se figea quand elle vit se diriger vers elle un grand noir bien
baraqué, habillé d'un uniforme de la sécurité :
« Excusez moi, Madame, pourriez vous me suivre s'il vous plait ? »
Affolée, elle essaya de jouer les outragées
« Mais heu, je ne comprends pas.. Pourquoi donc.»
Le garde se pencha alors vers elle :
« Vous semblez aimer un peu trop les parfums, suis-je plus clair ainsi
? »
Elle senti son sang se glacer et, rouge comme une pivoine, préféra le
suivre pour éviter un scandale en public, pensant s'en tirer avec des
excuses. Elle ne se doutait pas que le noir l'avait repéré depuis plusieurs
semaines, l'observant à la dérobée dans les allées, louchant sur son corps
sensuel qu'elle lui avait plusieurs fois à demi dévoilé sans le savoir.
Ainsi, quand elle s'accroupissait devant les rayons, ses jupes remontaient
souvent assez haut pour qu'il puisse découvrir qu'elle était souvent
adepte des bas et apercevoir parfois la blancheur laiteuse du haut de ses
cuisses nues et l'éclat blanc de sa culotte. Il savait aussi qu'elle avait
une très belle poitrine, ayant entre aperçu les flancs nus de ses seins mis
en valeur par la dentelle de ses soutiens-gorge au gré de ses décolletés qui
s'ouvraient quand elle se penchait. Son coté très sage et très comme il
faut l'excitait, aussi fut il le premier surprit quand, l'admirant une fois
de plus dissimulé derrière un rayonnage, il la vit subtiliser le parfum.
Elle venait de commettre une erreur dont il comptait bien pouvoir profiter.
Une fois assise dans le bureau, elle balbutia des excuses. Mais le noir la
fixa durement, se contentant de la déshabiller du regard. Elle portait ce
jour là une jupe de laine blanche assez étroite et courte mettant en valeur
ses longues jambes gainées de gris, moulant ses hanches rondes. Son
débardeur ras du cou de coton blanc dessinait joliment ses seins, laissant
deviner le détail de la dentelle de son balconnet blanc bien rempli. Il
déglutit quand elle décroisa les jambes, découvrant la bande plus foncée de
ses bas et un peu de sa cuisse nue. Le mélange de classe et de sensualité de
cette superbe brune le mettait dans tous les états et il ne comptait pas la
laisser partir avant d'en avoir un peu plus profité.
« Je vais devoir appeler la police. » dit-il, guettant sa réaction.
Il la vit se décomposer, paniquée.
« Non s'il vous plaît je vous donnerai de l'argent.. »
Elle se pencha pour fouiller dans son sac, ouvrant dans le mouvement le
compas de ses cuisses, lui dévoilant intégralement sa culotte de fine
dentelle blanche, le laissant plus que deviner le triangle de sa toison
sombre.
Le noir ne se doutait pas qu'il n'était pas le seul à profiter du
spectacle. Le directeur du magasin, derrière une glace sans tain, filmait la
scène, zoomant entre les jambes dévoilées. Il avait fait installer cette
glace sans tain il y quelques années pour pouvoir surveiller les mouvements
de caisse. Mais depuis l'arrivée de ce nouveau gardien, il lui avait
découvert une autre utilité.
Il savait que le vigile tentait toujours sa chance avec les femmes qu'il
surprenait à voler. Il avait ainsi vu des filles refuser, mais certaines
avaient accepté de se dénuder plus ou moins complètement sous la pression de
la dénonciation. Mais aucune n'avait accepté d'aller plus loin. Et aucune
n'avait surtout la classe et la beauté de cette fille et il se demandait
jusqu'où elle accepterait d'aller.
Le noir, lui, savait que de part sa panique et sa naïveté apparente, il
devrait pouvoir la pousser assez loin dans ses retranchements. Aussi,
refusa-t-il l'argent et la prit-il de haut :
« Qu'est ce que vous croyez, que l'on peut m'acheter aussi facilement! Et
de plus je suis sur que ce n'est pas tout ce que vous avez volé !
Généralement les filles dans votre genre volent également de la lingerie ! »
Mortifiée d'être ainsi assimilée à une voleuse, elle se rebiffa :
« Pas du tout, je n'ai pris que ce parfum, je vous assure ! »
« Oui, oui, bien sur, elles disent toutes ça. Vous ne verrez donc pas
d'inconvénient à me donner vos sous-vêtement que je puisse vérifier les
étiquettes »
D'une voix blanche, elle répondit :
« Écoutez, vous plaisantez, il en est hors de question... »
« Voyez, j'avais raison. Vous préférez que je vérifie directement sur vous
? » Et il se leva à moitié.
Horrifiée à l'idée de sentir ses mains sur elle, et sentant que refuser
sa demande aggraverait son cas, elle se leva :
« Non, non, je vais le faire ne vous énervez pas. »
Elle glissa ses mains sous son débardeur dans son dos et dégrafa son
soutien-gorge. Mais malgré ses précautions, en faisant glisser les
bretelles, elle dévoila un bref instant en relevant son débardeur les
rondeurs de ses seins lourds et pleins à la blancheur nacrée, jusqu'à la
limite de leur aréoles.
Elle posa le balconnet de dentelle délicate sur le bureau.
« C'est bien, la culotte maintenant. » intima-t-il, la gorge sèche.
Elle eut une seconde d'hésitation mais obtempéra. Sa bonne volonté
l'amènerait à être peut-être plus clément avec elle. L'étroitesse de sa
jupe l'obligea à la remonter haut sur ses cuisses, bien au-dessus de ses
bas, dénudant ses longues jambes fuselées jusqu'à la pointe de dentelle
moulant sa vulve bombée. Glissant les mains sous les côtés de sa jupe, elle
attrapa les élastiques et les fit glisser le long de ses cuisses gainées de
gris, laissant entrapercevoir les boucles très brunes de sa toison pubienne
avant qu'elle ne tire prestement sa jupe sur le devant. Mais grâce a
l'angle du miroir d'un placard, le propriétaire vit que sa jupe tendue par
sa croupe était restée troussée dans son dos au ras de ses cuisses et quand
elle se pencha pour poser la fine étoffe sur le bureau, il put zoomer
tranquillement sur ses fesses à demi dévoilées, sur leur pli sensuel et sur
le départ de ses lèvres brunes au creux de sa toison.
« Voyez », dit elle d'une voix un peu chevrotante, « je ne les ai pas
volé.. » pendant qu'il vérifiait.
Le noir, fou de la savoir nue sous ses vêtements à moins d'un mètre de
lui, sentit son sexe se gonfler et l'écouta à peine. Il se leva et se mit
face à elle, assis à moitié sur le bureau.
« Mais le vol d'un parfum est déjà très grave. Mais vous êtes une jolie
fille, si vous y étiez gentille, je pourrai oublier la police. »
Et ce disant, il posa sa main sur sa hanche, glissa sur le coté de son
buste et la remonta doucement sur les globes épanouis moulés par le
débardeur. Comprenant ce qu'il entendait par « gentille », elle rougit,
serra les poings, mais le laissa palper les flancs de ses seins fermes. Le
noir appréciait sans vergogne les rondeurs offertes et avec horreur, elle
senti ses doigts glisser sur leur sommet et venir agacer les pointes tout en
pinçant les formes généreuses. Le directeur vit Béryl se crisper quand
l'autre main du noir glissa sur son ventre et se coula entre ses cuisses au
niveau des genoux contre le nylon de ses bas et commença à remonter sous sa
jupe entre ses jambes.
« Non, s'il vous plaît, laissez-moi partir. », supplia-t-elle en lui
bloquant le poignet de la main, l'empêchant d'aller plus haut.
Il saisit alors le téléphone :
« Comme vous voulez ..» dit-il en commençant à numéroter, la défiant du
regard.
Béryl se sentait très humilié de devoir se soumettre aux caprices pervers
de ce vigile, mais quand elle entendit la voix de standard de la police,
elle enleva instinctivement sa main de son poignet.
Le directeur vit la fille creuser le ventre quand la main libérée du noir
disparut sous sa jupe, remontant lentement le long de l'intérieur de ses
cuisses. Elle frémit quand la paume vint caresser directement la peau très
douce au dessus de ses bas avant de mourir contre la toison discrète pour
une caresse très intime que Béryl supporta sans broncher , fixant l'air
hébété le combiné resté décroché.
De l'autre main, il releva son débardeur au-dessus de ses seins dévoilant
sa poitrine épanouie aux larges aréoles. De même il remonta sa jupe sur ses
hanches, la dénudant jusqu'à la taille, révélant au-dessus de ses bas le
triangle sombre et régulier de sa toison au creux de laquelle était toujours
plaquée la main du noir. Dans la glace, le directeur découvrit ses fesses
rondes et bien fendues, apercevant même les doigts indiscrets jouer contre
sa vulve, écrasant ses lèvres bien ourlées, tandis qu'il reprenait sa
caresse sur ses seins à même la peau nue.
Devant la passivité de la fille, il poussa son avantage et le directeur
vit son doigt se plier et disparaître au creux de son intimité. Béryl eu une
sorte de jappement et ses fesses se couvrirent de chair de poule. Mais se
mordant les lèvres, elle ferma les yeux et le laissa fouiller son ventre,
comme tétanisée.
Insidieusement, elle sentait malgré l'humiliation sa sensualité se
réveiller et monter en elle une sourde vague de plaisir.
Tant de docilité rendait le noir fou d'excitation, et lâchant sa
poitrine, il se libéra fébrilement sous les yeux horrifiés de Béryl qui
découvrit son sexe noir a demi gonflé mais déjà de taille impressionnante.
Il lui prit la main et de force la plaqua sur son sexe. Sous le contact de
la paume tiède, il bondit entre les doigts fins. Lui attrapant le poignet,
il la força à le masturber, l'accompagnant du mouvement. Béryl avait
l'impression qu'il n'en finissait pas de grossir entre ses doigts. Elle
ne pouvait s'empêcher de fixer le sexe dressé, affolé par ses dimensions et
le gland sombre, large, gonflé, luisant déjà de plaisir.
Elle continua à mécaniquement le branler quand il retira sa main pour la
replaquer contre ses seins. Troublée malgré elle, elle sentait son corps
commencer à réagir, honteuse de révéler ainsi son émoi. En effet, le black
sentit ses tétons s'ériger et son sexe devenir humide, tandis que la main
de la fille glissait plus ferme sur son membre et venait parfois agacer le
gland avec le pouce. Les lèvres sèches, le directeur savourait la vue de
cette belle brune a demi dénudée, poitrine tendue et gonflée, jambes
entrouvertes et le ventre creusé mettant en valeur sa croupe pleine,
s'offrant docilement aux mains baladeuses et branlant consciencieusement
cette brute noire, les yeux un peu hébétés.
Le garde la fit pivoter et l'assit sur la table, penchée en arrière, coude
posés sur la table. Il finit de la déshabiller, prenant tout son temps pour
rouler ses bas gris le long de ses jambes fuselées il lui écarta alors très
largement les cuisses malgré les efforts de Béryl pour les maintenir
serrées, impuissante face à la force du noir, exhibant malgré-elle
l'intégralité de sa vulve bien fendue au rôle lèvres qui nous est et au
relais de l'offrant sans défense au sexe dressé. Elle murmura un « non,
arrêtez s'il vous plaît. » désespéré, sachant son viol quasi inéluctable.
Mais le noir, souhaitant profiter de la docilité de la fille, prit son
temps. Aussi s'agenouillant entre ses cuisses, il embrassa d'abord la peau
fine et douce de l'intérieur de ses cuisses, remontant à leurs jointures,
avant d'embrasser son sexe à pleine bouche, se repaissant de son odeur
poivrée. Surprise par cette caresse, Béryl creusa le ventre mais ne put
éviter à la langue dure et brûlante du noir de remonter entre sa fente
entrouverte pour s'écraser sur son clitoris.
Le directeur, fébrile, zooma sur son bas-ventre offert et sur les doigts
noirs écartant les lèvres sur le bourgeon qui se gonflait sous l'habile
caresse, traduisant un certain émoi. Il remonta sur la poitrine gonflée et
tendue qui s'offrait au rythme de sa respiration qui se faisait haletante.
Une boule de chaleur envahit le bas-ventre de Béryl quand elle sentit sa
langue se faufiler entre ses lèvres et la pénétrer ,et se cambra
instinctivement, s'offrant encore plus sans le vouloir.
Au bout de quelques minutes de ce traitement le noir sentit le de ventre
de la fille se tremper. Non seulement elle se laissait faire mais en plus
elle semblait aimer ça. Il la fit mettre debout et il approcha de la glace
sans tain, au grand plaisir du patron.
« À ton tour »
« pardon ? »
« Suce moi . »
« non s'il vous plaît. »
Mais sourd à ces suppliques il l'obligea à s'agenouiller. L'air fascinée,
Béryl fixait l'énorme tige noire dressée. Lui bloquant la nuque, se guidant
de la main, il força ses lèvres pulpeuses, s'enfonçant à moitié dans sa
bouche brûlante, l'obligeant à monter et descendre sur le pieu palpitant.
Les lèvres distendues. Béryl le sentit encore grossir contre ce palais,
l'étouffant à moitié. Ce baillon de chair fit monter son excitation
encore d'un cran. Quasi inconsciemment, elle prit l'initiative,
l'entourant de ses deux mains et se concentrant sur le gland épais
l'aspira et le lécha. Le directeur matait la langue rose et les belles
dents blanches qui s'entrouvraient autour du gland noir.
Quand l'homme commença à grogner, elle gémit de plaisir et se mit
doucement à onduler du bassin, le ventre en feu. Se penchant, le noir vint
flatter les seins ballants. Elle accéléra inconsciemment le rythme de sa
fellation quand il les palpa plus fermement, tiraillant les pointes tendues.
Il se déshabilla complètement, sexe toujours enfoncé dans la bouche de
Béryl. Elle écarquilla les yeux devant la musculature impressionnante du
noir, excité par l'impression de puissance qu'il dégageait.
De savoir qu'elle ne serait jamais assez fort pour l'empêcher de la
pénétrer la libérait d'une certaine manière. Aussi ne résista-t-elle pas
quand il la releva et la plaqua contre la glace, bras levés, ses beaux seins
écrasés sur la vitre et lui écarta les cuisses du genou. Le patron n'en
pouvait plus de voir cette fille superbe offerte à moins de 10 cm de lui à
travers la vitre sans tain.
Descendant la caméra, il filma son bas-ventre offert appréciant le détail
des fines boucles de sa toison noire et de ses lèvres déjà entrouvertes,
luisantes de plaisir. Il vit le noir plier les jambes et remonter son sexe
tendu entre les longues cuisses. Il s'amusa à en caresser l'intérieur du
gland, avant de s'abuter contre sa vulve, se calant à l'orée de son vagin.
« Tu vas en redemander. » dit il crûment.
Et sans attendre la réponse, d'un coup de reins puissants, il viola le
sexe étroit. Béryl poussa un gémissement rauque, les yeux à demi fermés,
souffle coupé par l'énorme pieu qui l'envahissait. Elle frémit quand elle
constata dans le reflet de la glace que malgré son sexe trempé, il ne
s'était enfoncé qu'à moitié en elle alors qu'elle se sentait déjà
complètement écartelée. Il redescendit lentement avant de remonter
brusquement s'enfonçant de quelques millimètres supplémentaires, la faisant
crier à nouveau.
Il attendit quelques secondes, laissant son vagin s'habituer, avant de
recommencer son manège, la sentant s'ouvrir un peu plus à chaque passage,
réussissant à s'enfoncer aux trois quarts entre ses cuisses, mais ne put
aller plus loin. Sans insister, surpris déjà de l'avoir pénétré si
profondément, il l'agrippa aux hanches et accéléra la cadence. Les cris de
la fille s'accélèrent également et bientôt Béryl, le ventre en feu, senti
monter inexorablement un formidable orgasme qui inonda son sexe et la fit
glisser à genoux, haletante.
Mais il n'en avait pas fini avec elle et sans la laisser reprendre son
souffle, profitant de son incapacité à résister, il la mit en levrette,
croupe dressée. De profil arrière, le directeur pu zoomer sur les belles
fesses pleines et le sexe offert que le gland noir réinvestit sans
ménagement.
À cause de son orgasme, son sexe trempé et brûlant s'était fait plus
accueillant et il décida d'essayer de pousser encore son avantage. Lui
appuyant sur le bas du dos il obligea à bien se cambrer. Croupe ainsi
dressée, le sillon de ses fesses s'ouvrit encore plus l'offrant
totalement. Une fois son sexe avalé aux trois quarts, il crocha fermement
les hanches rondes et l'attira doucement à lui. Déjà complètement envahie,
Béryl nous pouvait croire qu'il voulait s'enfoncer encore.
Jetant un coup d'oeil à la glace, elle eut un choc en découvrant
l'érotisme torride du spectacle qu'elle offrait, corps de femme blanche
soumise à ce noir, reins creusés, cuisses entrouvertes, ses seins lourds se
balançant entre ses bras. Mais elle était surtout fascinée par l'énorme tige
noire fichée entre ses cuisses qui distendait ses lèvres intimes. En même
temps qu'elle sentait son gland se faire pressant au fond de son ventre,
elle vit le sexe de se courber face à la résistance naturelle de son vagin.
Cette vision fit que son appréhension céda la place à un formidable frisson
de plaisir, relâchant ainsi ses muscles intimes. Halluciné, le patron filma
le sexe quand il disparut entièrement, comme avalé par le ventre de la fille
dont les fesses s'écrasèrent contre le bas-ventre du noir, et remonta sur le
visage de la fille.
Sous la douleur elle avait relevé la tête et semblait pétrifiée, bouche
ouverte, yeux écarquillés. Même le noir n'osait plus bouger, délicieusement
serrée dans le fourreau bouillant, n'arrivant pas à croire qu'elle l'avait
laissé la pénétrer entièrement. Mais il comprit qu'il n'était pas au bout
de ses surprises quand avec un grognement sourd, la fille commença à bouger
d'elle-même ses hanches, allant et venant sur son sexe luisant. Les traits
de Béryl se décrispèrent et elle commença à haleter bruyamment. Le noir,
patient, la laissait bouger seule, fixant son sexe coulisser dans le
fourreau brûlant. Chaque fois qu'il ressortait, les grandes lèvres
épousaient la forme de son sexe comme une gaine, accompagnant le mouvement.
Il sentit le sexe de la fille s'inonder d'un liquide brûlant et comprit
qu'elle venait d'avoir un deuxième orgasme. Le noir lui fit alors
resserrer les cuisses et lui plaqua le buste au sol. Reins cassés, elle
offrait ainsi encore plus l'abricot de son sexe rougi aux lèvres détrempées
restées béantes.
Pour avoir un meilleur angle de pénétration, il se mit accroupit à la
verticale de ses fesses et, se guidant d'une main, la réinvestit sans
douceur, glissant directement jusqu'au fond de son ventre maintenant bien
lubrifié. Super excité par sa soumission, il se mit à la pilonner avec des
grognements sauvages, mains accrochées autour de sa taille, son bas-ventre
claquant contre ses fesses, lui arrachant des cris aigus de plaisir. Le
directeur filmait la tige tendue qui allait et venait comme un piston à la
jointure de ses cuisses serrées, ses testicules rebondissant contre son
clitoris érigé.
Le corps luisant de sueur, seins écrasés sur la moquette débordant
largement de son buste, les bras en croix, Béryl subissait l'assaut bestial,
bouche ouverte, le cerveau en feu. Dans un dernier grognement il se retira
et explosa sur la croupe offerte, zébrant les fesses blanches d'abondantes
traînées de sperme brûlant tandis que elle jouissait une dernière fois, à
l'unisson du directeur qui avait depuis déjà un bout de temps sorti son sexe
pour se caresser. Il s'épancha contre la vitre avec un grognement étouffé,
ayant rarement ressenti un tel plaisir. Et de savoir qu'il pourrai à loisir
se repasser le film de cet accouplement torride le fit sourire de bonheur..
JFCorto.
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