Béryl, grande brune au visage classique et aux formes pleines est une
jeune bourgeoise mariée trop tôt qui n'en finit pas de se découvrir un goût
nouveau pour les joies du sexe.
Béryl rentre de Deauville par le train le soir avec son mari. En retard,
ils ont du monter tout de suite et traverser trois wagons bondés pour
atteindre leur voiture. C'était un train un peu ancien avec encore le
système de couloir et de compartiments. Un bagage dans chaque main, elle se
frayait un passage dans le couloir étroit. Les hommes s'écartaient à peine,
trop contents de savourer le contact de sa poitrine gonflée sur leur buste
ou de sa croupe contre leur bas ventre. Les mains prises, Béryl ne pouvait
les repousser, mais le corps encore excité de la caresse de l'après-midi,
elle ne cherchait pas à fuir le contact, appréciant les frôlements furtifs,
un sourire innocent aux lèvres.
Au bout du premier wagon, les pointes de ses seins étaient déjà devenues
dures comme du bois, semblant vouloir percer son chemisier blanc malgré son
soutien gorge, attirant comme un aimant le regard des hommes. Dans le
deuxième wagon ils se collèrent encore plus à elle. Sa poitrine la brûlait
et elle sentait des mains venir s'égarer sur ses hanches ou sur ses fesses,
savourant discrètement ses formes à travers sa jupe blanche, sans que elle
se dérobe. Un bouton de son chemisier s'était ouvert, dévoilant le creux de
ses seins et la dentelle de son balconnet.
Elle passa de profil entre deux hommes qui s'écartèrent a peine. Le train
eut un cahot et elle perdit l'équilibre, s'appuyant sans le vouloir contre
le buste de l'homme, lui permettant d'apprécier la fermeté de sa poitrine.
Elle se recula vivement, mais ce fut pour mieux sentir l'homme derrière
elle se coller contre sa croupe. Sous prétexte de l'aider à se redresser les
deux hommes laissèrent leurs mains traîner sur son corps, le premier bas sur
ses hanches et ses fesses, le deuxième haut sur sa taille et les flancs de
sa poitrine,. Avec un sourire amusé, ils s'excusèrent et s'écartèrent, la
laissant finalement passer rouge de confusion.
Elle s'installa dans un compartiment de première classe aux rideaux
tirés, seule avec son mari, encore troublée par ces caresses furtives. Son
trouble empira quand elle vit les deux hommes venir s'installer
tranquillement en face d'eux. Très décontractés, ils échangèrent quelques
banalités, ne se privant pas de mater ouvertement Béryl, appréciant la
finesse de ses jambes dévoilée haut par la jupe courte et les bosses
opulentes de ses seins déformant de manière prometteuse son chemisier. Elle
se sentait à la fois flattée et gênée par les regards insistants. Surtout
quand, se penchant vers son sac pour prendre son livre, elle les vit plonger
dans son décolleté qui, déjà généreux s'ouvrit sous le poids de ses seins,
dévoilant largement les rondeurs de son buste moulé de tulle et de dentelle
blanche.
Elle fit semblant de rien et se plongea dans son livre remarquant malgré
tout que leur attention se portait maintenant sur ses jambes, les lui
faisant croiser et de décroiser nerveusement. Au gré des chaos du train et
de la promiscuité du compartiment, leurs genoux se frôlaient et leurs
mollets se croisaient. Comme pour être plus à l'aise le blond face à elle
glissa son pied entre les siens. Profitant des chaos du train, ils les
écartèrent lentement, ouvrant légèrement le compas de ses cuisses.
Rougissant, elle jeta un coup d'oeil à son mari. Plongé dans son journal,
il ne s'apercevait de rien. Elle lui laissa alors écarter plus largement
les jambes, tendant sa jupe, dévoilant ses cuisses fuselées jusqu'au
triangle de dentelle fine et blanche moulant sa vulve bombée avant de
disparaître entre ses fesses. Les deux hommes savouraient cette exhibition
consentante, devinant même le dessin plus sombre de sa toison sous la
dentelle. Les yeux fixés sur son livre, béryl sentait leur regard comme une
caresse sur son intimité, gorgeant ses lèvres de sang, trempant son sexe.
Profitant du noir soudain d'un tunnel, l'un des hommes glissa une main
sur sa cuisse caressant la peau douce et soyeuse. Surprise, elle resserra
les cuisses et il se retirera juste avant la fin du tunnel. Elle fixa les
deux hommes, rouge comme une pivoine, ne pouvant deviner lequel s'était
permis ce geste indiscret. Il y eut un deuxième tunnel et cette fois-ci elle
laissa la main glisser sous sa jupe, haut entre ses jambes jusqu'à se
plaquer entre ses cuisses, la faisant frissonner de plaisir, avant de se
retirer prestement. Il y eût une succession de tunnel et chaque fois la main
reprenait son manège, la caressant plus ou moins longuement selon le tunnel,
faisant monter son désir.
Elle ne savait toujours pas qui des deux hommes la caressait mais n'eut
plus de doute, quand, au cours d'un long tunnel, en plus de la main qui se
nichait entre ses cuisses, elle sentit deux autres mains empaumer les
rondeurs orgueilleuses de sa poitrine à travers son chemisier. Le tunnel
étant interminable, ils purent profiter de ce corps complaisamment offert.
Les doigts habiles érigeaient son clitoris en le griffant à travers la fine
dentelle, tandis que l'autre main glissa dans son décolleté pour se couler
sous la dentelle soupesant la masse lourde de son sein, agaçant la pointe
dure. Béryl, en plein fantasme, devait se mordre les lèvres pour ne pas
gémir de plaisir, folle d'excitation se soumettre dans le noir aux caresses
perverses deux hommes, à même pas 50 cm de son mari.
Ils se retirèrent, la laissant pantelante, les yeux brillants. Entre ses
cuisses maintenant bien ouvertes, ils appréciaient la dentelle blanche qui
marquait maintenant nettement le sillon de son sexe.
Son mari, sortant de son journal et n'ayant rien remarqué, lui proposa
d'aller au wagon restaurant. Elle hésita et vit les deux hommes faire non
de la tête. Même si elle savait à quoi elle s'exposait en restant seule,
une force obscure la poussa à refuser l'invitation sous un prétexte futile.
Une fois seule, il y eut un moment de gêne, jusqu'au prochain tunnel. À
nouveau dans le noir, ils la firent se lever et une bouche se plaqua contre
la sienne. Elle rendit fougueusement le baiser tandis qu'une main palpait
avidement sa poitrine tout en ouvrant le chemisier, glissant directement
contre la dentelle. Deux autres mains glissèrent sous sa jupe, remontant
plusieurs fois des genoux au bas ventre, appréciant la douceur soyeuse de la
peau nue et la moiteur de son sexe à travers sa culotte trempée. Les mains
finirent par glisser sur ses fesses remontant sa jupe. Il les palpa
délicatement à travers le triangle étroit de dentelle, le faisant glisser
entre ses fesses. Elle se sentait fondre sous la caresse de leurs paumes,
mais quand le jour revint, affolé d'être ainsi déjà à moitié dénudée, elle
se bloqua.
- Non, s'il vous plaît, gémit elle.
Mais déjà vaincue, elle ne bougea pas, se laissant admirer. Ses seins
tendaient à craquer son balconnet délicat de dentelle, suffisamment ajouré
pour dévoiler ses larges auréoles foncées, au centre desquelles dardaient
les pointes durcies. Sa jupe troussée sur ses reins dévoilait ses fesses
rondes largement dénudées et le délicat bombé de sa vulve moulée par la
dentelle sous laquelle se devinait le dessin de sa toison noire.
Le noir revint et ils reprirent leur manège. Le fait de ne pas les voir la
rendait encore plus sensible à leur caresse. Elle gémit quand il fit glisser
les bretelles de son soutien gorge, le dégrafant, glissant ses paumes sur
les globes libérés, soupesant leur lourde masse, et griffant ses tétons.
Elle frissonna quand l'autre fit rouler sa culotte le long de ses jambes.
Une main glissa entre ses cuisses et se plaqua contre son sexe nu. Cette
fois, elle ne réagit pas quand le jour revint, continuant de l'embrasser,
les laissant savouraient les rondeurs de son corps enfin dévoilé.
La blancheur nacrée de ses seins à commençait à se marbrer de rouge sous
la violence des caresses. Elle avait des tétons gros comme des bouts de
crayon bien dur. Le brun derrière elle plaqua ses mains contre ses fesses
rondes, les écartant largement pour dévoiler le délicat abricot de sa vulve
et le puit froncé de ses reins. Ne pouvant résister, il plaqua sa bouche
entre ses cuisses, lui faisant pousser un petit cri. Cette caresse nouvelle
pour elle la fit chavirer et elle se mit à pousser de petit gémissement,
toute honte bue, sous le ballet de la langue chaude entre ses cuisses.
D'elle-même, elle glissa sa main contre la bosse qui frottait durement
contre son pubis.
Le blond sursauta quand il sentit les doigts glisser dans sa braguette, le
libérer, et commencer à le masturber. Il ne pouvait croire que cette BCBG
prenne l'initiative. Pour la tester il se mit debout sur la banquette et
glissa son membre entre ses seins. Elle ferma les yeux quand il referma les
masses chaudes sur sa tige, se branlant au creux de sa poitrine. Le
frottement de son sexe contre la peau délicate la rendait folle. Mais ce fut
pire encore quand elle sentit deux doigts la forcer, pénétrant son vagin
trempé. Quand la langue fouilla l'entrée de ses reins, lissant l'anneau
froncé, elle se cambra, libérant le sexe d'entre ses seins. Elle n'avait
jamais connu de telles caresses et se découvrait une sensibilité inconnue de
ses reins.
Le sexe du blond vint alors battre contre son visage délicat. Comme dans
un rêve, il la vit courber la nuque et gober doucement le gland, lui faisant
découvrir sa bouche chaude et humide. Elle le sentit grossir encore contre
son palais, sous le ballet de sa langue fureteuse. Elle se rendait compte
qu'elle adorait sucer les hommes et les sentir vibrer grâce à elle au fond
de sa gorge. Se laissant aller à ses désirs les plus fous, elle se mit à le
pomper vigoureusement, le membre bien serré dans une main, l'autre lui
palpant les testicules. Elle eut un premier orgasme, très soudain et
électrique.
Le brun se redressa alors et elle sentit battre son membre épais entre ses
cuisses contre son sexe et le gland se caler à l'orée de son vagin. D'une
seule poussée verticale, il glissa au fond d'elle, forçant sans difficulté
sa fente lubrifiée, la pénétrant lentement mais complètement, son bas ventre
venant s'écraser contre ses fesses. Elle accéléra inconsciemment le ballet
de sa langue et le blond explosa au fond de sa bouche. Béryl ne se retira
pas, jouissant une seconde fois sous les jets brûlants de sperme cognant
contre sa gorge. En plein délire érotique elle sortit le gland baveux, le
frottant contre ses lèvres trempées de sperme, le nettoyant à petits coups
de langue. À son grand plaisir il rebanda tout de suite, trop excité.
Ils échangèrent de place mais le brun resta assis et elle dut se pencher
très bas pour le prendre dans sa bouche, dressant sa croupe. Le blond se
plaça devant les fesses ainsi offertes, ouverte sur son sexe luisant. Il
s'amusa à faire glisser son gland le long de son sillon, de son clitoris à
son anus. Elle se cambra sous la caresse, s'offrant encore plus sans pudeur.
Il sentait son anus s'assouplir à chaque passage, s'entrouvrant légèrement.
Il plongea dans son sexe mais continua agacer son anus d'un doigts, lui
remémorant la scène de la plage. A ce brûlant souvenir, elle le laissa
glisser une phalange entre ses reins. Elle grogna quand un deuxième doigt
força l'anneau étroit et assoupli. Excité, il matait ses lèvres épouser son
sexe tendu et les doigts écarteler doucement ses reins, la faisant onduler.
Il ressortit, fou de désir, et remonta d'un cran.
Elle se crispa malgré tout quand elle sentit le large gland s'abuter
contre le puits délicat.
- Doucement s'il vous plait, je ne l'ai jamais fait ainsi.
De la savoir vierge de ce côté les excitait encore plus et le brun la prit
fermement par la nuque lui plaquant le visage contre son sexe dressé, tandis
que le blond lui crocha les hanches, la cambrant encore plus. Le sexe dans
sa bouche n'étouffa qu'à moitié son cri quand le gland disparu entre ses
fesses, lui brûlant les fesses. Malgré tout, il glissa assez facilement
jusqu'à mi-membre, trahissant la souplesse naturelle de ses reins, et ne
bougea plus.
Tétanisée, Béryl haletait. Elle ne s'était jamais sentie aussi emplie.
D'une main il titilla son clitoris tandis que le brun vint empaumer les
lourds seins ballants entre ses bras. Le pieu fiché au sommet de ses fesses,
bien serré dans le fourreau brûlant, il devait se retenir pour ne pas finir
de s'enfoncer d'un grand coup de rein. Tournant des hanches pour
l'assouplir, il donnait de petites poussées, s'enfonçant un peu plus à
chaque fois. Les larmes aux yeux, elle finit par l'accueillir entièrement
dans ses fesses, qui s'abutèrent contre le bas-ventre de l'homme. Dents
serrées pour ne pas crier sous la brûlure, elle se cambra encore plus pour
mieux l'accueillir. Il commença à bouger très lentement. Ses reins
s'habituaient petit à petit au sexe qui la forçait et la douleur
s'atténua, remplacée par une formidable vague de chaleur.
La sentant s'ouvrir, il accéléra le mouvement, glissant plus facilement
dans le conduit serré. Yeux écarquillés, elle commença à gémir bruyamment
avant de gober à nouveau le sexe du brun. Ils échangèrent un regard entendu
devant le spectacle de cette BCBG qui commençait clairement à apprécier de
se faire sodomiser. Bientôt elle bougea elle même le bassin pour mieux se
faire en empaler, les sens en feu.
Lâchant le sexe qu'elle tenait pendant qu'elle le suçait, elle glissa
ses mains dans son dos, écartant d'elle-même ses jolies fesses rondes, lui
facilitant le passage le laissant la sodomiser plus profondément. Le brun la
prit par la nuque et doucement la força à l'avaler complètement. Trop
excité, elle n'eut pas de phénomène de rejet quand le gland se cala au fond
de sa gorge, son pubis plaqué contre son beau visage. Au gré de ses
mouvements d'avant en arrière, elle gardait un sexe toujours bien enfoncé
en elle, soit entre ses fesses, soit dans sa bouche et elle eut un nouvel
orgasme.
L'homme derrière elle se retira et s'assit sur la banquette opposée. La
prenant par les hanches, il la fit reculer, les jambes de chaque côté des
siennes et la fit s'asseoir lentement sur lui. Elle n'eut qu'un petit cri
quand il força à nouveau l'anneau délicat de ses reins, les fesses bien
ouvertes par sa position qui l'exhibait complètement au brun. Il écarquilla
les yeux quand le blond glissa ses mains sous ses cuisses, l'obligeant à
les lever. Béryl se retrouva complètement adossé à lui. Ne pouvant plus
s'appuyer sur ses pieds, elle s'empala encore plus profondément sur la
verge, fesses écrasées contre le ventre de l'homme. Le brun distinguait
parfaitement son anneau rectal bien écartelé coulisser sur la verge gonflée,
juste en dessous de sa fente aux lèvres entrouvertes et luisantes.
Il se rapprocha, verge pointée et. Béryl ouvrit docilement la bouche,
prête à le sucer à nouveau. Mais s'agenouillant entre ses cuisses qu'il
écarta encore plus il vint frôler de son gland sa vulve offerte. Affolé,
comprenant sa manoeuvre, elle murmura un non désespéré, car empalée comme
elle était, elle ne pouvait se dérober. Elle se figea, souffle coupé, quand
il pénétra son vagin détrempé. Elle eut un cri rauque sous l'exquise
sensation de la verge qui glissait facilement dans le fourreau lubrifié et
sa peau se couvrit de chair de poule. La honte de se laisser ainsi prendre
comme une chienne fut vite effacée par l'énorme boule de plaisir qui lui
nouait le ventre.
Elle ne s'était jamais sentie aussi envahi. Ses halètements se
transformèrent en cris aigus quand en grognant les deux hommes accélérèrent
le rythme, la défonçant sans retenue, trop heureux de soumettre cette BCBG à
une double pénétration. Elle enchaînait orgasme sur orgasme, devenant folle
de plaisir, se livrant sans retenue à leurs fantasmes. Leur main palpait son
corps, griffant ses hanches et pétrissant les globes fermes de sa poitrine
tendue. Elle bougeait elle-même des hanches pour mieux se faire pénétrer, se
cambrant quand les deux verges s'abutaient ensemble au fond d'elle,
l'écartelant sauvagement. Ils finirent pas exploser violement, l'inondant
de semences brûlantes, la faisant jouir une dernière fois.
Se réajustant hâtivement il la laissèrent se rhabiller,un peu hébété, et
quittèrent le compartiment. Sonnée, le ventre en feu, elle préféra faire
semblant de dormir quand son mari revint du wagon restaurant pour mieux
masquer son trouble encore perceptible. Elle finit par s'endormir
réellement, les sens apaisés mais l'esprit toujours traversé d'images crûes
et érotiques.
JFCorto.
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