Beryl avait décidé d'arrêter les séances de pose, car même si elle
ressentait un frisson de plaisir la parcourir chaque fois qu'elle se
remémorait sa dernière séance, elle se sentait malgré tout honteuse et
effrayée de s'être laissée aller. Cela ne l'empêchait pas d'apprécier
désormais beaucoup plus les regards intéressés que lui portaient les hommes,
se découvrant un pouvoir de séduction qu'elle ignorait auparavant.
Un dimanche matin, assis à la terrasse d'un café de Deauville avec son
mari, ils rencontrèrent le patron de la société de son mari. Jeff, un grand
brun de 45 ans, au visage viril. Il appréciait en connaisseur la beauté
classique de cette grande brune. Acceptant leur invitation à boire un
verre, il ne put s'empêcher de loucher malgré lui sur les jambes de Béryl
dévoilée par sa jupe bleue courte et sur ses seins moulés par un débardeur
blanc, largement décolleté en carré, marquant le relief de son soutien
gorge.
L'homme était très séduisant et elle se sentit flattée de son regard.
Elle croisait et décroisait nerveusement les jambes, lui laissant à chaque
fois découvrir le triangle de dentelle blanche de sa culotte au creux de ses
cuisses. À l'abri derrière ses lunettes de soleil il ne se privait pas non
plus d'admirer sa poitrine qui tendait le coton, et dont la naissance
généreuse et bien dévoilée trahissait l'opulence.
A force de croiser les jambes, sa jupe était remontée haut sur ses cuisses
fuselées qu'elle gardait maintenant légèrement desserrée, livrant ainsi de
manière permanente la fourche de ses cuisses à la vue de Jeff. La fine
dentelle se transformait en satin à l'entrejambe, moulant sa vulve bombée,
marquant le sillon de son sexe avant de disparaître entre les fesses rondes
écrasées sur la chaise. Installé à coté d'elle, son mari ne remarquait pas
sa position indécente et Jeff pu apprécier longtemps le spectacle érotique
de sa culotte ainsi dévoilée.
Avec sa bouche pulpeuse, ses bonnes joues et ses grands yeux noirs, elle
faisait très sage et il ne se douta pas un instant que Béryl était très
consciente du spectacle qu'elle offrait, le ventre embrasé par son regard,
retrouvant l'excitation de s'exhiber.
Désireux de mieux la connaître et surtout de mieux contempler ce corps
tentateur, Jeff proposa de se donner rendez-vous sur la plage
l'après-midi.
Béryl, sur le chemin de la plage, se sentait très troublée à l'idée de
revoir Jeff, ne pouvant s'empêcher de le trouver séduisant.
Il était déjà la, en boxeur short, bronzé et bien musclé. Elle enleva sa
robe apparaissant en maillot une pièce blanc qui moulait ses formes pleines.
Elle se pencha pour mettre sa robe dans son sac, lui montrant un bref
instant sa croupe dressée, ses fesses pleines à demi dévoilées par son
maillot bien échancré sur les hanches.
Elle alla se baigner, lui offrant un superbe spectacle à son retour. En
effet le fin coton de son maillot, une fois mouillé, se révélait quasi
transparent.
Il dévoilait nettement le dessin de ses auréoles brunes aux pointes
érigées par l'eau fraîche, et le triangle toujours étroit de sa toison
noire, révélant même le détail des boucles sombres. Le tissu plaqué sur son
corps révélait le galbe parfait de sa superbe poitrine. Il arrivait même à
distinguer le dessin de son nombril.
Le mari, naïf, ne semblait pas se rendre compte de la quasi nudité de sa
femme. Debout, semblant très à l'aise, Béryl s'essuyait se laissant
admirer sur toutes les coutures, fière du trouble de l'homme, sentant son
regard sur son corps comme une caresse brûlante. Elle s'allongea sur le dos
entre son mari et Jeff.
De profil à 50 cm, ce dernier distinguait encore mieux les détails de son
corps, à travers le maillot. Malgré sa position, sa belle poitrine épanouie
sur son buste se dressait fièrement et ses tétons grumeleux semblaient
vouloir percer le tissu. Entre ses hanches en amphores, il suivit la douce
déclivité de son ventre jusqu'à son mont de Vénus un peu proéminent qui
tendait le tissu, moulant la toison gonflée. Quand elle se tourna vers son
mari, il loucha sur les fesses au sillon profond dévoilé par le tissu
mouillé plaqué entre ses cuisses, dessinant les replis de son sexe sombre.
Elle sentait le regard de braise de l'homme parcourir son corps,
déclanchant en elle un doux frisson de plaisir. Elle se mit sur le ventre et
son mari s'étant endormi lui demanda ingénument de lui mettre de la crème
sur le dos.
Elle fit glisser les bretelles de son maillot pour dégager son dos
dévoilant un bref instant les rondeurs de ses seins quand elle dressa le
buste. Elle frissonna sous le contact de ses mains chaudes qui parcouraient
son dos. Il la sentit se détendre sous le massage bienfaisant.
Jeff ne savait que penser de la passivité de cette superbe brune mais
commençait à être bien excité. Profitant des paravents destinés à couper le
vent sur la plage et qui les cachaient des regards indiscrets, il laissa ses
mains glisser sur les côtés de son dos. Quand il vint frôler sa poitrine qui
débordait largement de son buste elle tourna la tête vers son mari mais ne
dit rien, laissant les doigts caresser les flancs rebondis de ses seins, le
ventre envahi d'une douce chaleur.
Excité par cette indolence, il descendit sur ses jambes. Il commença par
les mollets mais assez vite remonta sur ses cuisses, étalant la crème
jusqu'au pli sensuel de ses fesses, repoussant un peu plus le maillot à
chaque fois comme pour ne pas le maculer. Petit à petit il le fit
disparaître dans le sillon de sa croupe dénudant ses fesses au trois-quarts.
Toujours sous le prétexte du massage il caressa furtivement les belles
rondeurs fermes couvertes d'un fin duvet blond avant de glisser ses mains
entre ses cuisses remontant haut entre ses jambes, appréciant la peau douce
comme de la soie.
Béryl se mordait la lèvre sous la chaleur de ses mains, conscientes de
l'inconvenance de sa passivité. Trop excité par la situation, elle se
sentait incapable de réagir même si elle pressentait que son laisser aller
l'autorisait de fait à aller plus loin. Effectivement les caresses se
faisaient plus insistantes.
Mais quand elle sentit le tranchant de sa main venir frôler son sexe, elle
eut un sursaut, serrant les cuisses instinctivement, lui bloquant le poignet
de la main. Elle le regarda avec des yeux affolés, lui faisant non de la
tête.
Trop excité par le doux contact de sa vulve moelleuse sous le tissu, il
insista. Ses cuisses serrées lui permettaient malgré tout de bouger les
doigts et il lui massait doucement le sexe, la sentant s'ouvrir, montant et
descendant le long de ses lèvres, insistant sur la petite bosse de son
clitoris à travers le maillot. Ils luttèrent silencieusement quelques
instants mais béryl sentait son ventre s'embraser et se rallongea, tête
vers son mari toujours endormi, ouvrant imperceptiblement les cuisses,
vaincue.
Jeff en profita pour plaquer toute sa main entre ses cuisses sentant les
replis de son intimité sous ses doigts, lui faisant creuser le ventre sous
la délicieuse caresse. Béryl commençait à a haleter sous le contact habile,
les sens affolés, sa timidité naturelle envolée. Il crut rêver quand il vit
la main de la fille tâtonner derrière elle en aveugle, remonter entre ses
cuisses et se couler sous le boxeur. Béryl sentit avec délices sa verge
bondir contre sa paume. Déjà bien gonflée, elle s'allongea encore sous la
caresse des doigts fins. Il grogna sous le contact inattendu. Cette fille
était vraiment torride, malgré son air BCBG.
Béryl se laissait écarter les jambes plus largement. Il en profita pour
tirer le tissu sur le coté, dénudant sa vulve bien fendue au creux de sa
toison noire. Ses lèvres luisantes de plaisir trahissaient son excitation.
Il reprit sa caresse perverse à même son sexe nu, la faisant gémir
doucement. Béryl en retour commençait à le masturber lentement, le sentant
palpiter contre sa main. Elle se mordit la lèvre pour retenir un cri quand
il la força facilement d'un doigt, glissant dans son vagin trempé.
Toujours agenouillé il se rapprocha de sa nuque pour pouvoir glisser une
main sous son buste qu'elle redressa, lui permettant de soupeser sa lourde
poitrine, pointes tendues au creux de sa paume. Elle avait vraiment des
seins superbes, fermes malgré leur rondeur. Son corps ondulait sous la
double caresse.
Elle tourna le visage de son côté et le regarda, bouche entrouverte et les
yeux vagues. Son regard descendit sur le sexe de Jeff qui battait à 20 cm de
son visage.
Instinctivement il avança le bassin, guettant sa réaction quand son gland
vint frôler sa joue mais elle ne recula pas le visage. Il glissa alors
contre les lèvres bien ourlées. Béryl jeta un dernier coup d'oeil à son
mari qui dormait toujours et ouvrant la bouche, elle le laissa s'enfoncer
entre ses belles dents blanches au fond de sa bouche humide. Le branlant
toujours d'une main, elle commença à le sucer lentement. Il n'en revenait
pas de voir cette superbe brune s'offrir si ardemment qu'à un mètre de son
mari.
Mais Béryl, tout à son plaisir, ne se souciait que de mieux s'offrir aux
doigts qu'il la fouillait habilement. Elle écarta d'elle-même encore plus
le tissu de son maillot, lui permettant ainsi de glisser un deuxième puis un
troisième doigt au fond de son sexe. Elle se cambrait de plaisir et il put
distinguer le puit froncé de ses reins au creux du sillon de ses fesses et
il s'amusa à le frôler du pouce. Béryl, sous cette caresse inhabituelle,
sentait d'étranges frissons la parcourir, mélange de peur et de plaisirs.
Mais quand il voulut forcer l'anneau étroit, elle contracta
instinctivement les fesses, l'empêchant d'aller plus loin. C'était la
première fois qu'elle se faisait caresser à cet endroit, et même si cela
lui procurait de nouvelles sensations qui n'étaient pas désagréables, elle
ne pouvait se résoudre à lui permettre une intromission aussi perverse,
quasiment tabou pour elle. Il retira son pouce et revint agacer le clitoris,
tournoyant autour du petit capuchon dressé.
Elle se laissa alors de nouveau aller en creusant les reins, ouvrant de
nouveau le sillon généreux de sa croupe. Elle ne le vit pas s'enduire
discrètement le pouce de crème solaire et cette fois, n'eut même pas le
temps de réagir quand il força soudainement son anus, et ne put empêcher le
pouce lubrifier de s'enfoncer entre ses fesses, lui brûlant les reins. Elle
resta pétrifiée, n'osant bouger de peur d'accentuer la pénétration. Il lui
bloquait la tête contre son ventre l'empêchant de reculer, le sexe bien
enfoncé dans sa bouche. Elle essaya d'enlever la main d'entre ses fesses,
mais il était trop fort. Elle n'osait réagir trop violemment de peur de
réveiller son mari.
Pris à son propre piège, débordé par les événements, elle ne put empêcher
le pouce de fouiller ses reins étroits. Il la sentit malgré tout s'assouplir
et l'étroite corolle se desserrer. Sous l'action conjuguée des doigts dans
son sexe et de son pouce entre ses reins la douleur devenait supportable et
fut même bientôt source d'un plaisir nouveau, pervers. Quand il lui lâcha
la tête pour lui palper à nouveau la poitrine elle ne fit plus rien pour se
défendre creusant même les reins pour mieux s'offrir, continuant de le sucer
avec ardeur. Devant cette superbe brune qui se laissait investir par tous
les orifices de, il ne put se retenir plus longtemps et explosa au fond de
sa gorge déclenchant un orgasme très violent et soudain chez béryl. La tête
et le corps en feu, elle avala sa semence en grognant, le vente tressaillant
de plaisir. Ils n'eurent que le temps de se réajuster avant que le mari ne
se réveille, ne remarquant pas la rougeur de sa femme, ses lèvres luisantes
et gonflées et ses tétons dardés.
Jeff prit congé, les jambes encore flageolantes, laissant Béryl les sens
encore en feu, encore abasourdie du plaisir ressenti, hébétée de s'être
ainsi offerte à nouveau à un inconnu près de son mari. Mais même si elle se
sentait un peu coupable, la violence de son orgasme lui ne faisait pas
regretter tant que ça son incartade..
JFCorto.
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