J’ai décidé ce jour de vous faire part de cette
histoire qui m’est réellement arrivé il y a quelques mois.
Pour cela il faut d’abord
que je me présente : j’ai 35 ans marié depuis 8 ans avec
celle que j’aime et que je connais depuis 13ans, qui m’a
donné 2 enfants que j’adore .
Sexuellement je m’entends
parfaitement avec elle, quoique les fréquences soient un
peu trop espacées mais bon on en peut pas avoir le beurre
et l’argent du beurre.
J’ai connu ma femme elle avait
à peine 19 ans, elle a une jeune sœur plus jeune de 10ans,
elle avait à l’époque à peine 9ans et c’est en tant que
grand frère que je l’ai vu grandir.
Maintenant elle en a presque
20 et le petit bébé a laissé place à une plante d’une beauté
rare, des seins en poire, des yeux claire, une peau mate,
des cheveux châtains, bref une demoiselle qui me fait regretter
le temps ou je m’amusais avec ma future femme à lui peloter
ses petits seins naissants pour la faire rire aux éclats.
Revenons à cette histoire
qui m’a terriblement excité.
J’avais prévu une petite sortie
en amoureux bien avant mon deuxième enfant, ma femme avait
gentiment demandé à sa sœur de garder notre enfant le temps
de notre petit resto.
La soirée se passe parfaitement
bien comme 2 amoureux qui viennent de se connaître, légèrement
grisé par le vin du repas, nos esprits commencent à s’échauffer
et nous décidons alors de rentrer pour pouvoir terminer
comme il se doit notre soirée, plus tôt que prévue.
Je laisse le volant à mon
épouse pour pouvoir mieux la taquiner, lui caresser ses
cuisses musclées sous sa jupe et remonter doucement jusqu’à
la lisière de son string d’où une chaleur sans équivoque
s’échapper.
Elle me demanda de me calmer
en attendant notre couche conjugale.
Arrivé chez nous elle me laissa
à l’entrée de notre immeuble, pendant qu’elle descende ranger
la voiture au sous-sol.
Pour ne pas risquer de réveiller
mon enfant mais aussi ma belle sœur je ma faisais le plus
silencieux possible, et ça marche.
Tout était noir, et sans un
bruit je m’approchais du salon pour laisser tomber ma veste
quant à ma droite je vis la porte de notre chambre fermée
mais d’où une lumière se dégageait de dessous la porte.
Toujours silencieux comme
un chat je me dirigeais vers celle ci pour en avoir le cœur
net.
Accroupis devant l’entrée
de ma chambre, je vis à travers les quelques centimètres
de ma porte entrouverte un spectacle qui me fis bander d’une
force terrible à la limite même de l’éjaculation.
Une lumière tamisée baignait
ma chambre dans une légère pénombre et dans un climat digne
des plus grands films érotiques.
Mon lit étant perpendiculaire
à la porte je voyais ma belle sœur allongée sur le ventre
sur notre couette, son bras droit sous son ventre.
Je voyais nettement les légers
mouvements de son bassin sur sa main.
Je n’en croyais pas mes yeux
ma jeune belle sœur était en train de se branler sur mon
lit, endroit même où je fais jouir sa grande sœur.
Je savais que ma femme en
avait encore pour quelques minutes, plus ou moins 5.
Sans attendre je sortis mon
sexe qui me faisait mal d’excitation, mon gland coulait
comme une fontaine, je me servit de ce liquide séminal pour
mieux lubrifier mon sexe et pour mieux faire coulisser ma
main.
Pendant ce temps ma belle
sœur s’activer car je voyais son bassin accélérer ses mouvements
de bas en haut, des mouvements plus amples, je distinguais
ses doigts sur sa chatte tellement l’élastique de son string
était tendu au niveau de sa hanche.
Je pouvais même voir sa peau
se grêler d’une chair de poule annonciatrice d’une jouissance
très proche.
Quand lors d’un coup de rein
plus grand que les autres je vis d’entre ses cuisses dépasser
juste d’en dessous ses fesses le bout arrondit et violet
du vibro de ma femme, un peu comme lorsque qu’une bite sors
d’une chatte lors d’un mouvement trop rapide quand une femme
est sur un homme.
La vision de cet objet, entre
les cuisses de ma belle sœur, suffit à ma faire cracher
tout mon plaisir dans ma main sur mon pantalon mais aussi
sur mes chaussures.
Je vis ses doigts reprendre
l’objet du délit pour mieux le ré introduire dans son sexe.
Ce fut alors un spectacle
de sexe qui se déroula sous mes yeux, sa tête enfouit dans
notre oreiller, je pouvais entendre les gémissements de
son plaisir, ses cheveux long collaient sur son dos de transpiration
mais aussi de plaisir, ses mouvements étaient devenus rapides
et grands, comme une possédée.
Son corps se soulevait de
ma couette pour retomber sur sa main, et c’est dans un de
ses mouvements que je vis que son autre main était posée
sur ses seins.
Pendant l’un d’eux elle se
mit à quatre pattes, sa main droite faisait coulissait le
vibro puisque je voyais son poignet descendre et montée,
son autre main tirait et pinçait le bout de son sein, son
visage grimaçait de douleur mais aussi de plaisir.
Elle se laissait retomber
sur le lit dans un calme relatif, puis j’entendis le bruit
du petit moteur situé dans la tête de ce vibro, son corps
fut parcourut d’un frisson, elle planta ses mains sous notre
oreiller.
Elle bougeait son bassin de
mouvements circulaires et non plus de haut en bas quand
dans un mouvement plus ample que les autres, son corps se
raidit et s’enfonça dans notre couette dans un soupir à
limite de la plainte.
Je me leva en hâte pour faire
semblant de rentrer chez moi, et heureusement que je me
levai car j’entendis l’ascenseur arrivé, ces à ce moment
que la porte des toilettes se ferma.
J’allumais le couloir comme
si de rien ne s’était passe, ma belle sœur sortit des toilettes
et vint me dire bonsoir elle était en chemise de nuit en
coton avec pleins de nounours dessus.
Son visage était rose encore
empreint de son plaisir et ses cheveux collaient sur ses
tempes.
Trop fatigués pour la ramener
ma femme qui venait de rentrer lui proposa de reste dormir
dans le canapé, elle accepta.
Ce soir là, excité du ce que
j’avais vu j’ai fait l’amour à ma femme comme jamais essayant
même de faire entendre les gémissements de ma femme à sa
jeune sœur.
Bref c’est un sommeil réparateur
qui s’empara de mon corps.
Le lendemain matin, profitant
que ma femme ramena sa jeune sœur chez leur mère, je m’empressa
de fouiller dans la panière à linge pour essayer de trouver
des traces de la veille.
Quand ivre de bonheur je
retrouva non seulement le string mais aussi le vibro, de
la veille, le vibro était recouvert de sécrétions blanchâtres
qui avaient séchées que je me faisais un plaisir de lécher
(j’adore lécher ma femme, le goût des sécrétions vaginales
suffisent à me faire jouir) comme si je taillais une pipe
tout en me branlant bien sûr.
Quant au petit string blanc
( qui était à ma femme du reste) je peux à loisir le renifler,
il sentait bon le plaisir d’une femme, une odeur un peut
âpre, mais aussi un peu acide, d’une couleur légèrement
jaunâtre sans doute du à un mauvais contrôle de sa vessie
pendant son orgasme mais aussi avec un petit poil collé
par son jus qui avait séché.
Je fus tellement excité que
je pris le string je le mis sur mon lit pour le prendre
en photo pour immortalisé cet instant qui ne se représentera
sans doute jamais.
Je mis alors le string à ma
bouche pour mieux goûter son plaisir, il était un peu acide,
assez salé et fort mais tellement agréable que j’en éjacula
instantanément (ma main coulissait parfaitement sur ma tige
depuis pas mal de temps tellement mon gland coulait)
Je pris une douche qui calma
mes esprits car j’avais du mal malgré ma jouissance à retomber
sur terre.
Depuis je regarde assez régulièrement
ces photos et je ne peux m’empêcher de me branler en repensant
à tout cela.
Ma femme n’en à jamais rien
su et depuis ma jeune belle sœur nous a annoncé qu’elle
allait se marier.
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