TITRE : Beau week-end
Catégorie : Histoire interraciale

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Cette histoire s'est passée début décembre 2006.
J'ai une collègue et amie nommée Véronique qui m'invita à manger chez elle le samedi soir car j'avais un peu le cafard. C'est une belle femme blonde bien plantée, agée comme moi de 28 printemps, qui sort actuellement avec Jean un homme de couleur.
Elle m'en disait le plus grand bien à tout égard.
J'arrivais chez Véronique vers 19h30 vétue d'un balconnet et string noir, d'une jupe droite noire et d'un chemisier blanc. On était contente de se retrouver. Elle m'avertie que l'on finirai la soirée à rhumerie ou l'on retrouverai Jean. Je lui répondis que c'était une excellente idée. Elle était heureuse que cela me plaise.
Véronique m'avais préparé un repas léger ou nous bumes un petit peu tout en restant raisonnable.
Vers 22 heures nous partîmes dans sa voiture vers le lieu soit disant saint la rhumerie. En effet, Jean nous accueillie.
C'est vrai qu'il était pas mal comme on dit. Il était accompagné de deux copains. Nous fimes connaisance. Ils s'appellaient respectivement Christian et Philippe. Ils avaient 22 ans tous les deux et étaient eux aussi pas mal...
Jean nous apporta un petit punch bien frais pour nous mettre dans l'ambiance. Christian m'invita à danser. Je le suivais avec Véronique, Jean et Philippe.
Il m'initia au zouk. il me serra contre lui. Je devais lui faire de l'effet car je sentais une belle bosse.
Nos amis nous entouraient. C'était sympa et nous dansâmes pendant une bonne demi heure. Nous retournames à nos places ou des punchs nous attendaient pour nous déssoifer.
Cet alcool commenca à me faire de l'effet. J'avais la tete qui tounait. Je décidait d'aller me rafraichir aux toilettes.
En me levant je me pris les pieds et tomba sur Philippe qui en profita au passage pour me peloter les seins. Il me dit en souriant qu'ils étaient bien fermes et àson goût.
Quand je revins des toilettes, je retournais sur la piste de danse ou Philippe et Christian me draguaient ouvertement pendant que Jean s'occupait de mon amie. Je n'avais plus les ideés bien en place. Je leur dis comme echappatoire qu'ils étaient plus jeunes que moi. Ils s'approchèrent de moi en me caressant le cul et les seins et me dire que je les exitait bien.
Philippe dit à son ami que mes tétons étaient bien durs et en profita pour porter ma main sur son sexe bien dur.
Je leur dis pas ici et retourna m'assoir.
Jean et Véronique avaient remarqué le "manège" et me proposa de rentrer. Nous sortimes de la rhumerie ou je retrouvais un peu mes esprits. Nous montames tous dans la voiture de Véronique.
Christian et Philippe m'entouraient à l'arrière du véhicule. Jean en profitait pour peloter son amie et me lança tu as bien chauffer mes deux copains grosses cochonnes hein....
Ils répondirent en coeur oui Jean tu as raison et en plus elle est bonne.
Je faisais un semblant de me débattre Christian me tenait les mains et Philippe en profitait pour ouvrir mon corsage et libérer mes seins. Chacun pelotait un sein. Mes tétons étaient tous durs et droits. Ils les embrassaient.
Je sentis la main de Christian sur mon string.
Il hurla : "elle est toute humide et elle aime ça la salope".
On arrivait chez Véronique. Jean leur dit pas la peine de la rhabiller. Je sortais du véhicule les seins à l'air. La robe de ma copine était ouverte également. Jean lui dit on va lui faire la fête à ton amie.
A peine arrivée, Jean ordonna à Véronique de se déhabiller chose qu'elle exécuta. Il lui dit qu'elle aussi serait gatée.
Philippe pris mes mains et posa chacune d'elle sur le sexe de Christian et de lui.
Tu les sens ces queues qui vont te ravager. Je répondis oui.
Jean me libéra de mes affaires. Vous avez raison. Elle est magnifique cette salope.
Il me fit mettre à genoux et les 3 gars me présentèrent leurs belles queues. Ils étaient bien montés. Pendant que je les sucaient mon amie les libéraient de leurs affaires.
Christian m'appuyait sur la nuque.je l'avais on fond de la gorge. Elle aime ca cette pute lança t il à la cantonnade. Jean me malaxait les seins et tiraient sur mes tétons comme on traie une vache et Philippe explorait ma chatte et mon anus.
Je dois reconnaitre que je prenais du plaisir et je mouillais bien.
Véronique preparait la bite du Philippe. Jean me mit à 4 pattes et Philippe en profitait pour me défoncer la chatte tout en sucant Jean. Chaque coup de bite était une jouissance.
Pendant ce temps mon amie sucait Christian qui lui prenait des photos de nos ébats. Véronique lança à Jean que je mouillais de partout et elle lui proposa de me faire une double
Bonne idée chérie. Christian, encule la pendant qu'elle me finit.
Il s'executa. Je ne savais plus ou j'étais tellement que le plaisir était grand et que je criais de jouissance.
Mon amie me tirait les tétons.
Tout à coup les gars se retirèrent de moi et il m'allongea sur le dos avec la bouche ouverte. A tour de rôle leurs spermes se deversaient dans ma bouche, cheveux, seins et le reste de mon corps. Une véritable douche.
Jean ordonna à Véronique de me lécher chose qu'elle fit avec application. J'ondulais de plaisirs. Jean le remarqua et me mit de nouveau sa bite dans la bouche.
Remet la en forme pour que je te défonce à mon tour après.
Je le fis et sentis sa bite grossir dans ma bouche. Hummmm quel plaisir. Christian me fourrait.
Elle est prête Jean. Elle mouille de partout, elle aime ça la salope.
Jean s'allongea sur le dos et je me mis sur lui. Je sentais sa grosse queue bien en moi et je bougeais à mon rythme.
Philippe était derrière moi et en profitait pour jouer avec mes seins et mes tétons tandis Véronique se faisait mettre par Christian.
Elle hurlait de plaisirs.
Tout à coup Jean déchargea en moi son jus tout chaud que c'était bon j'étais foudroyer par differents orgames. Je n'en pouvais plus et m'endormis sur la moquette.
Le lendemain, on remit cela toute la journée.
On vida Véronique et moi les couilles de ses messieurs avec un certain bonheur.
Le soir venu je pris congé de mes convives. J'étais déchirée de partout.
Christian s'approcha de moi et me dit à samedi prochain. Je lui rétorqua on verra.
Il me fixait et me dis j'ai les photos de toi prises hier, tu ne voudrais pas qu'elle circule sur le lieu de ton travail par hasard.
Je compris et lui dis à samedi. Depuis on se voit régulièrement et vous raconterai tout cela une prochaine fois....

Laurence

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