TITRE : Ballade en montagne
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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L'aventure qui m'est arrive, à de loin dépasser mes reves les plus fous.
N'étant pas spécialement un adepte de l'écriture je vais essayer de vous compter cette histoire pour le mieux.
Ma femme et moi sommes marié depuis 8 ans. Une vie bien tranquille avec enfants.
Le début de notre mariage fut assez torride en terme de sexualité mais sans rien de vraiment extraordinaire.
Mon épouse est mignonne, assez grande, brune avec un petit 85B. D'ailleurs ces belles jambes m'on toujours fascinées.
Un jour d'été nous avons décidés d'aller nous promener ensemble et sans les enfants un peu plus loin que d'habitude dans les alpes du sud. Cet endroit nous avais toujours fasciné par sa beauté sauvage et cela faisait longtemps que nous nous étions pas retrouvé seuls tous les deux.
Nous prenons nos sac à dos, de quoi grignoter pour le midi et nous voila partit.
Ma femme était en jupe sport assez courte avec un tshirt sans manche blanc qui lui faisait ressortir son bronzage.
La promenade fut un enchantement de beauté et de paysage à coupé le souffle. Nous nous arrêtâmes pour déjeuner dans une prairie encerclé de montagne. On avait faim et le déjeuner fut rapidement fini. Ma femme était assise par terre et je pouvais voir sa culotte. Une idée commença à traverser mon esprit et mon short se leva aussitôt.
Je m'assis à coté d'elle et commença à lui caresser l'entre jambe. J'adore cet endroit c'est super doux. Elle écarta les cuisses et je commençais à lui caresser le minou par-dessus la culotte. Sa main vient ouvrir ma braguette. Je bandais comme un fou. Elle sortit ma pine et se pencha dessus pour lécher mon gland. A la vue de tout le monde et de personne j'étais très excité. J'arrivais à descendre sa culotte sur les genoux pour introduire mon doigt dans vulve toute mouillé de plaisir.
Malheureusement un montagnard arriva et nous avons arrêté aussitôt de peur de nous faire surprendre.
Je ne sais pas si il avait vu notre manège mais quand il est arrivé à notre hauteur, il avait un large sourire complice. C'était un de ces montagnard robuste.
Apres quelques politesse il repartit.
Nous repartimes marcher mais apres quelques heures on ne trouvait plus exactement le chemin du retour. Et apres mainte réflexion il fallait bien se rendre compte que nous étions perdu. Même en été, en montagne le froid arrive vite.
Nous avions décider de descendre et on finirai bien par tomber sur un chemin ou une route.
Mais vers 23 heures toujours rien. On commençais à avoir faim et froid et passablement inquiet de la tournure des évènements.
C'est alors que nous vîmes un chalet avec de la lumière. Super !!! on accouru enfin soulagé.
Nous frappâmes à la porte et le nous avons reconnu le montagnard de l'après midi.
Nous lui expliquons notre galere mais son regard se portait surtout sur le corp de ma femme. Froidement il dit qu'il ne pouvait rien faire pour nous et nous expliqua le chemin pour retrouver notre route.
Je lui dis que nous avions ni lampe de poche ni l'envie de marcher de nouveau.
Ma femme se mit pres du feu de la cheminée et son regard etait inexorablement portée sur elle.
Je lui proposais de l'argent pour qu'il nous donne à manger et qu'il nous offre l'hospitalité mais sa réponse fut claquante. Je n'ai pas besoin d'argent ici.
Le sens de la conversation allait droit ou je le craignais.
Par contre dit il, je n'ai pas souvent la visite de charmante femme comme la votre.
Je commençais à le voir venir avec ces gros sabots.
Je commençais à m'énerver et je lui dit que je préférais encore marcher dans la nuit que d'offrir ma femme. Ma femme était venu se réfugier contre moi en sentant la conversation mal tournée.
Nous partîmes mais la montagne sans lampe ce n'était pas la peine d'essayer. Ma femme me dit alors qu'elle préférais encore faire une gâterie au montagnard que de passer la nuit dehors au froid, sans manger et surtout avec toutes les bestioles qui pouvaient y avoir.
Je suis tombé sur le cul.
Je lui mais si il veut plus ?
On avisera me dit elle.
Il est vrai que quand elle voulait elle faisait très bien les pipes et je ne tenais pas longtemps si elle le voulait.
Nous décidâmes de retourner au chalet.
Le montagnard avait le sourire au lèvres quand il nous vu.
Alors dit-il vous avez changé d'avis.
Oui dit ma femme, mai je n'accepterais que de vous faire une pipe et c'est tout.
Le montagnard hésitât. Puis sans rien dire pris ma femme par le bras et la monta dans la mezzanine. Mon cour battait, je ne savais plus quoi dire ni faire pour empêcher cela. La seul phrase qui est sortit est : doucement avec elle, ok ?
Pas de réponse.
D'en bas j'ai vu qu'il baissait son pantalon et il sortit un sexe plus gros que le mien en érection alors qu'il ne bandait pas encore tout à fait.
Ma femme s'approcha et il la fit se mettre à genoux et mit ces mains sur sa tête. Je voyais cette énorme queue qui rentrait dans la bouche à ma femme. Sa bouche était toute distendu.
Au bout de quelques instant sa queue était devenue dur comme du fer et je sentait que ma femme peinait à sucer ce pieux qui la transpercer.
Il voulu s'allonger sur le lit. Cela faisait cinq minutes ou je ne savais plus, le temps c'était arreté. Elle se demenait afin de le faire jouir mais il tenait bon. Depuis qu'il était allonger je ne voyais plus rien alors j'ai monté quelques marche pour voir et j'ai vu que la main du montagnard commencait à caresser les cuisses de ma femme. J'ai voulu intervenir quand les cuisses de ma femme se sont entreverte. J'en revenait pas elle prenait son pied à le sucer et tel que c'était partit elle voulait son gros morceau en elle. Le montagnard commenca à m'appeler et me dire : dit moi ta salope de femme veut un dard, un vrai, dans sa chatte, tu vois fallait pas faire ton cinéma. Je voyais ces doigt lui rentrer son sexe et ma femme qui soupirait de plaisir. Elle était transformer.
Il l'atrappa d'un seul coup et la mis à quattre patte. Il passa sa queue de géant entre les fesses puis commenca à lui mettre. Son gland n'était pas rentrer qu'elle commecait à pousser des cris de plaisir. Je voyais ces mains crispé sur les draps et il continait s'enfoncer dans ...ma femme. Je la vis comme jamais je pouvais l'imaginer et ce grand gaillard en profitais bien. Il lui trippotait les seins, pincait ces tétons, je voyais le jus coulais entre ces cuisses. Il allait de plus en plus fort, ma femme crié et lui accelérait encore plus. Au moment de jouir il s'enleva et attrappa ma femme par les cheveux afin qu'elle prenne sa bite prete à exploser dans sa bouche.
Et croyait moi cela devait faire un bout de temps qu'il n'avait pas joui car elle n'arrivait pas à avaler. Il continait de finir de jouir en limant sa bouche et je voyais son sperme coulais de ces levres. Elle faillit vomir tellement il ne la laissait plus respirer avec son jus dans sa bouche.
Il finit, se leva et descenda les escaliers et me dit : Toi tu creche en bas et ta femme avec moi en haut. Pour ce qui est de la bouffe tu te sers dans le garde manger. En milieur de nuit j'entendis encore ma salope de femme crier de plasir..
Nous repartine à l'aube et depuis ma femme n'est plus totalement la meme.

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