Je suis une grosse salope en manque de sexe. Enfin, jamais
bien longtemps. Quand ma petite chatte me démange et que l'envie
de baiser me tenaille le fond du ventre, je trouve toujours
un moyen sympathique d'assouvir mes désirs. J'ai toujours
été comme ça. D'aussi loin que je me souvienne et depuis que
les choses du sexe m'intéressent, j'ai toujours été une chaudasse.
Quand j'étais trop jeune pour partir à l'aventure, à la recherche
du mâle qui saurait me combler, je me contentais de me toucher
la fente. Je me doigtais ou je me fourrais des objets dans
la vulve, de toute nature et de toute taille. Aujourd'hui,
j'ai donc un sexe accueillant, près à recevoir de gros calibres
à force d'être distendu. Récemment, sur les conseils d'une
copine, j'ai entamé une petite rééducation personnalisée.
J'ai fait travailler mes muscles, pour rendre mon petit trou
un peu plus étroit et mieux serrer les bonnes bites qui me
remplissent à l'occasion. Je parviens maintenant à retenir
un crayon quand je contracte mon vagin. Je suis très souple
de la chatte et ça plaît à mes amants.
Je n'ai pas de partenaire attitré dans ma vie. A 22 ans, je ne me sens
pas prête pour le grand saut. J'ai encore tant de choses à découvrir
et tant d'expériences à vivre. Par contre, j'ai un carnet d'adresse
bien rempli de gentils gars qui ne demandent qu'à honorer mon petit con
de leur visite. Quand je fais une rencontre agréable, je note les coordonnées
du mec qui m'a satisfaite et je n'hésite pas à le contacter si
le besoin s'en fait sentir. A côté de mes contacts, je griffonne
des annotations qui me permettent de retenir la spécialité ou
les qualités particulières de chaque " tête "
de mon cheptel. Ainsi, je ne suis jamais à cours de sensations fortes.
Il y a même quelques filles dans ma liste. Ce sont généralement
des nanas qui m'ont bien fait jouir avec leurs doigts ou avec leurs bouches.
Je suis bisexuelle depuis mes années de lycée et je rêve
de coucher un jour avec un couple qui ferait de moi sa chose.
Parfois, il m'arrive de rechercher de nouvelles expériences. Il ne me
suffit pas alors d'ouvrir mon agenda. Je veux de la nouveauté, de l'inédit,
de la baise " primeur ". Comme je lis pas mal de bouquin de cul et
qu'il m'arrive assez fréquemment de visionner des vidéos pornos
sur le net, mes envies naissent souvent de scènes que j'ai vues ou lues.
Dans ce cas là, j'utilise les services de sites de rencontre orientés
" sexe " . J'ai déjà fait de sacrées affaires
de cette manière, mais il m'est aussi arrivé d'être déçue.
Le problème est aussi que, bien souvent, la personne qui pourrait me
satisfaire n'est pas disponible immédiatement ou bien réside trop
loin de chez moi. Par exemple, l'autre jour, je cherchais un gars prêt
à se laisser pisser dessus. Et bien, vous n'imaginez pas le mal que j'ai
eu à trouver mon bonheur. J'ai fini par faire la connaissance d'un jeune
type qui habitait la même ville que moi et j'ai enfin pu soulager ma vessie
trop pleine.
Mais hier, l'idée qui me trottait dans la tête ne nécessitait
pas que je fréquente ce genre de site pour la réaliser. Non, je
savais où trouver ce qu'il me fallait. C'est à la suite du visionnage
d'un film X sur le web que j'ai eu l'idée de me faire prendre par trois
blacks bien montés. Mais pas n'importe où ! Il me fallait du glauque
car je voulais rejouer à ma manière le rôle de l'héroïne
de la vidéo. Je suis donc sortie de chez moi dans la tenue adéquate
: une mini-jupe de salope, des bottines noires et un chemisier très ouvert
sur ma poitrine nue. Sans culotte, sans soutien-gorge, j'étais prête
à me faire mettre rapidement. Je me suis dirigée vers un quartier
proche du mien où j'avais repéré la veille le chantier
de construction d'un petit immeuble résidentiel. Il était presque
vingt heures et les ouvriers devaient se reposer dans le cabanon qui leur servait
de logement. J'étais bien décidée à les réveiller
et à mettre un peu d'ambiance dans leur piaule.
En arrivant sur place, je me suis tout de suite approchée du baraquement.
Je n'ai hésité qu'un instant sur le pas de la porte. J'avais bien
trop envie de me faire tringler la moule et le cul pour rebrousser chemin maintenant
que j'étais parvenue là où mes pas m'avaient conduite.
Je n'ai pas frappé, me contentant de pousser la porte et d'entrer. Les
trois gars que j'avais vus sur le chantier la veille étaient là,
occupés à regarder un vieux poste de télévision
portable. Je me suis tout de suite dirigée vers l'appareil, je l'ai éteins
et me suis plantée devant eux :
- Baisez-moi maintenant, tous les trois ! J'ai le feu au cul et il faudra bien
trois pompiers pour l'éteindre. Toi, viens dans ma bouche, toi dans mes
fesses et toi dans ma chatte. Passez-ça d'abord !
Je jetai une boîte de préservatifs à leurs pieds. Je suis
folle du cul mais pas inconsciente au point de prendre tous les risques.
- S'il faut que je vous branle un peu avant, approchez ! Je vais me faire un
plaisir de vous mettre en condition avec mes doigts.
Ils ne se le firent pas dire deux fois. Ceux que j'avais choisis pour enfiler
mes petits trous s'approchèrent, la bite à la main. J'appelai
le troisième qui restait en retrait :
- Viens ici toi, je vais te faire bander avec ma bouche tout de suite.
Sur ces bonnes paroles, je m'assis sur le plancher de plastique de la baraque
et ouvrit la bouche, pour me préparer à le recevoir. Il avança
et m'enfila sans douceur la tête de sa bite noire entre les lèvres.
J'avais les deux autres queues dans chacune de mes mains et je masturbais les
deux ouvriers avec toute l'habileté dont j'étais coutumière.
Je voulais juste les faire durcir assez pour qu'ils puissent me mettre bien
profondément leurs membres démesurés dans la vulve et dans
le cul. Quand ils furent prêts, je leur enfilai à chacun un préservatif
et me plaçai dans la position adéquate.
J'avais choisi de faire combler d'abord mon petit trou du cul. Aussi, je me
mis à quatre pattes, la bouche toujours collée à la pine
que je pompais. Le black le plus vigoureux vint se foutre derrière moi.
Il m'écarta les fesses et cracha un peu de sa salive sur mon anus qui
attendait d'être fourré. Je n'avais pas prévu de lubrifiant
mais je faisais confiance à mon trou de balle pour se montrer accueillant
et docile. Il en avait vu d'autres. Et de toute manière, la capote était
déjà lubrifiée. Malgré cela, je sentis passer le
gros nœud du noir quand il me troua la rondelle. Après quelques
secondes de répit, il commença à me limer pour trouver
sa place.
Mais ce que je voulais par-dessus tout, c'était me sentir pleine des
deux côtés. Alors, venant coller mon cul contre le ventre de mon
enculeur, je l'invitai en reculant à s'asseoir sur un siège qui
se trouvait là. Celui que je suçais me suivit tant bien que mal.
Il grimpa sur la table qui jouxtait la chaise pour toujours bien me présenter
sa bite. Je n'arrêtais pas de la pistonner avec mes lèvres et de
la titiller avec ma langue. J'étais maintenant prête à recevoir
le troisième ouvrier dans ma chatte.
Celui-ci s'approcha de moi d'un pas décidé. Il se branlait mollement
pour maintenir son érection en attendant de venir m'honorer. J'écartais
largement les cuisses, assise sur la queue qui me bourrait le cul. Ma chatte
totalement nue était bien gonflée et s'ouvrait presque seule.
Le black vint placer son gland tuméfié entre mes grandes lèvres
et, d'une poussée brutale, m'emplit le ventre de sa grosseur. Il peina
un peu à trouver sa place car la pine de son collègue occupait
déjà pas mal d'espace en moi. Il profita d'un mouvement de recul
de l'engin qui m'enculait pour gagner les quelques centimètres nécessaires
au logement de son sexe dans la cavité de mon vagin. Lentement, les deux
mecs s'accordèrent pour me limer en cadence. Quand ils eurent trouvé
leur rythme de croisière, je savourai pleinement (c'est le cas de le
dire) la prise en sandwich que j'étais venue chercher sur le chantier.
Ce soir-là, je fus comblée au-delà de mes espérances.
Je me félicitai d'avoir apporter avec moi une boîte complète
de capotes. En effet, chacun des hommes passa à tour de rôle dans
les trois trous que j'avais à offrir. Ils étaient d'une endurance
rare et mettaient à profit avec bonheur leurs capacités physiques
hors du commun. Comme eux, j'ai beaucoup joui. Quand je suis ressortie de la
petite baraque, très tard dans la nuit, j'étais complètement
épuisée, mais heureuse d'avoir pu réaliser le fantasme
qui me tenait tant à cœur. Avec ce que j'avais pris dans mon ventre,
j'étais tranquille pour un jour ou deux, au maximum. Mais je savais déjà
que je reviendrais faire un tour sur le chantier un jour prochain.
Auteur

|