J'étais invité chez ma maîtresse d'alors, Jacqueline pour un repas intime
et une soirée de sexe..comme d'habitude. Quand elle mit le couvert, elle
en mit 3. Elle me dit en s'excusant qu'elle avait invité également une
amie. Un peu avant le repas le pétard se présenta. Je l'ai reluquée
toute la soirée. Quand nous nous sommes enfin couchés, j'ai baisé
bruyamment Jacqueline en pensant au merveilleux corps de Francine. Après
m'être vidé de mon sperme, j'allais pisser, complètement nu et je passai
près de Francine qui semblait dormir. Je pissai puis retournai vers
Francine. Je ne pus résister à la découvrir pour constater qu'elle était
nue sous les draps. Magnifiques paires de seins bien durs et triangle
blond et mouillé. J'y mis la main alors qu'elle écarta légèrement les
cuisses. La salope ne dormait pas et espérait bien se faire baiser. Je
ne la déçus pas. Elle cria bientôt sa jouissance.
J'en fis ma nouvelle maîtresse sans toutefois renoncer à Jacqueline. La
salope aimait s'exhiber et la plupart du temps on pouvait voir la presque
totalité de ses seins. Elle aimait les montrer et j'aimais qu'elle les
montre. Elle m'avoua que son père lui avait signifié qu'il aimerait bien
la baiser. Quelle belle perspective! Quand je la baisais, je m'arrêtais
au moment où je sentais que son orgasme allait la submerger. Elle me
suppliait de la faire jouir. Je négociai alors qu'elle se mette nue
devant qui je voudrais. Je lui dis que j'adorerais voir les hommes bander
sur elle. Elle promit et jura et je la récompensai en la faisant jouir à
plusieurs reprises.
Son père vint nous rendre visite un soir. Nous prîmes un verre puis
j'envoyai Francine prendre un bain. Pendant ce temps, j'informai son père
qu'il pourrait admirer le corps nu de sa fille. Quand elle sortit du
bain, je l'amenai dans notre chambre et commençai à la peloter.
Rapidement, elle était complètement excitée et désirait jouir. Je la
pénétrai pour l'exciter encore davantage. Elle était mûre! J'allai
chercher son père. Quand il aperçut sa fille complètement nue il lui
signifia combien il la trouvait belle. Je la repénétrai et invitai
Francine à masturber la queue paternelle. Il était bien doté le cochon.
Bientôt il éjacula et nous observa pendant que l'on continuait à baiser
devant lui. Francine était déchaînée et eut plusieurs orgasmes.
Un autre soir, je l'invitai à nous rejoindre pendant que je baisais
Francine, mais cette fois, avant de la faire jouir, j'exigeai de Francine
qu'elle suce la queue paternelle et qu'il jouisse dans sa bouche pendant
que je la fourrais et qu'il la tripotait. Elle se soumit à mon désir et
en fut bien récompensée!
Enfin, pour moi, le grand jour arriva. J'avais décidé que, ce soir-là,
j'assisterais à l'inceste père-fille. Je fis mettre Francine complètement
nue devant son père et je demandai à celui-ci d'en faire autant. Il était
complètement bandé et Francine était toute mouillée. Je la fis asseoir
sur la queue bandée de son père en face de moi et je regardai sa queue
s'enfoncer dans la chatte détrempée. Il la fourrait en lui tâtant les
seins et en disant "enfin je te fourre ma fille". Ta chatte est tellement
bonne. Sous mon regard vicieux je les vis tous les deux se raidir alors
que la décharge s'écoulait de la fente incestueuse. Je léchai avec
délices ce délicieux nectar et je fourrai Francine en lui murmurant
combien je l'adorait quand elle se conduisait comme une chienne en chaleur
et qu'elle montrait son cul à mes amis. Je lui dis que je voulais qu'elle
soit ma putain et je la regarderais le faire baiser. Quand j'eus
déchargé à mon tour, son père la fourra de nouveau.
Quelques mois plus tard, nous nous sommes laissés. J'ignore si elle a
continué à se faire baiser par son père, mais je serais surpris du
contraire.
Luc Foisy
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