TITRE : Baisée devant mon mari par un groupe d'hommes
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Histoire Groupes et Partouze
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Ce soir c’est la fête, vingt ans de mariage sans nuage, les enfants sont partis chez leurs amis et mon mari m’offre le restaurant. Je suis allée faire quelques achats, une minijupe en cuir rouge, un body transparent en dentelles, un string ridiculement petit, un soutien gorge pigeonnant qui cache difficilement la pointe de mes seins et des bas. Le grand jeu quoi ! Vingt ans commune c’est quelque chose et mon mari est adorable.
Il aime tout ce qui touche au sexe alors que je suis moi-même un peu coincée sur le sujet et j’ai décidé pour notre anniversaire de mettre mes tabous de côté et de lui faire plaisir.
Je suis BCBG, plutôt jolie, pas très grande, svelte, des seins encore fermes et bien proportionnés, un fessier plutôt coquin et bien fendu, un sexe bien lisse et rond, des jambes galbées et un visage d’ange, c’est ce qu’on me dit en tout cas. Nous sommes partis assez tôt et sommes bien trop en avance pour le restaurant. Après avoir flâné dans la campagne, mon compagnon me propose une halte et arrête la voiture près d’un petit bar. Il m’attrape par les épaules et m’embrasse langoureusement.
« Je t’aime » me dit-il.
« Moi aussi comme au premier jour »
Il m’embrasse de nouveau et en relevant mon body, sort mes seins de mon soutien gorge. Il les caresse délicatement en s’attardant sur les pointes qui ne tardent pas à s’ériger et durcir. Puis il continue ses caresses en promenant sa main sur mon ventre puis sur mon sexe. Celui-ci commence à s’humidifier tout doucement.
Il relève mes jambes, ôte le string et pose avec amour ses lèvres sur le mont de vénus pendant que ses mains se baladent sur mes fesses et qu’il titille mon anus avec un doigt. Il joue un peu avec mon clitoris de quelques coup de langues puis se relève brusquement, me met une petite claque sur les fesses et me dit :
« Reste comme ça » en mettant mon slip dans la boite à gant.
« Allons voir ce petit bar, nous prendrons l’apéritif ici, nous avons le temps et le resto n’est plus très loin, nous finirons cette discussion après le dîner. » dit-il avec un large sourire coquin.
Il m’embrasse à nouveau et sort de la voiture Je remet un peu d’ordre dans ma tenue vestimentaire, sort de la voiture et vois ce qui devait être le patron du bar s’éloigner en hâte de la fenêtre. A priori il n’avait rien raté du spectacle. Peut être à tort, je ne dis rien à mon mari qui n’avait pas l’air d’avoir remarqué le voyeur. Je sais qu’il n’aime pas trop ce genre de situation et je ne souhaitais pas perturber cette soirée. Le bonhomme n’avait peut être pas tout vu et n’importe comment, nous n’avions pas poussé la chose trop loin.
Et puis comme j’avais décidé ce soir d’être coquine, cela me donnait ma première expérience d’exhibitionniste bien que ce fût involontaire. Cela me choquait d’ailleurs beaucoup moins que j’aurais pu le penser, peut-être était-ce du aux caresses que mon mari venait de me prodiguer.
Et nous entrons dans le bar « Bonsoir m'sieu-dames » nous lance le propriétaire en matant ma poitrine généreuse à peine cachée par le soutien-gorge sous le chemisier transparent, que j’exhibe avec fierté, forte de ma première expérience d’exib et de mon petit minou encore tout mouillé.
« Bienvenue chez « ROBERT », installez-vous, ce n’est pas la place qui manque.
Le patron est seul avec ses deux dobermans, c'est un gros bonhomme jovial presque chauve qui nous félicite après que l’on lui ait expliqué le pourquoi de notre présence. Nous nous installons, commandons nos boissons, trinquons à notre santé et commençons à siroter nos verres tout en discutant de choses et d’autres et plus particulièrement de la tenue sexy que mon mari trouve de plus en plus à son goût.
« J’aimerai bien que tu t’habilles toujours comme ça » me dit-il.
« On verra » réponds-je en lui attrapant la main au creux de a mienne.
La soirée s’annonce bien et je me sens d’humeur charmante. Je suis vraiment heureuse et prête à tout pour que mon époux le soit aussi. Peu de temps après, un groupe d'hommes arrive perturbant ainsi notre tranquillité .
Ils s'installent à coté de nous, nous saluent. Ils commandent plusieurs bouteilles d’alcool, discutent avec le patron qu’ils semblent connaître puis composent leurs cocktails eux même dans un joyeux brouhaha.
Nos verres sont vides et mon mari interpelle le patron et commande une seconde tournée, j’en profite pour tirer sur ma jupe qui décidément vraiment très courte, découvre mes cuisses presque jusqu’au sexe.
Cela attire visiblement le regard du petit groupe d’à côté. Que l’on voit mes cuisses passe et m’excite même un peu, pour le sexe c’est autre chose. De plus je leurs trouve un air pas très catholique malgré qu’ils soient rieurs et chahuteurs.
Voyant que je les regarde, l’un d’eux se lève et vient à notre table.
« J’espère que nous ne vous dérangeons pas trop » nous dit-il en regardant furtivement ma poitrine.
Il sourit et nous précise qu'ils sont là pour enterrer la vie de garçon de l'un d'eux et s’excuse du bruit occasionné. Mon mari lui répond cordialement et explique qu’il n’y a aucun problème et que nous-même, sommes ici pour notre anniversaire de mariage. Il précise de même que nous leur laisserons la place libre rapidement pour aller au restaurant.
« Cela sera bientôt au tour du futur marié de compter les années de vie commune » nous dit l’un du groupe et il nous propose gentiment de trinquer avec eux.
Sans attendre mon avis, mon époux accepte et quelques instant après, nous levons tous nos verres au futur marié et à nous même. Nous entamons une discussion courtoise avec ces hommes qui, somme toute, paraissent plutôt sympathiques.
Constatant nos verres vides, ils nous proposent de goûter à leur mixture et sans attendre notre réponse, la personne qui s’était déplacée la première fois, se lève à nouveau et emplit nos verres. Bien que fort en alcool leur cocktail est bon et nous commençons à philosopher sur le mariage, ses joies et ses contraintes.

Le temps passe et les verres se vident et se remplissent, mon mari regarde sa montre et me fais signe de la tête qu’il est l’heure d’y aller. Constatant que nous nous préparons à partir, ils insistent pour nous offrir une dernière tournée et joignant le geste à la parole, nous proposent de réunir nos tables.
Nous souhaitions être tranquilles mais la troupe est joyeuse et nous avons envie de passer une bonne soirée, alors un peu d’animation avant le dîner est la bienvenue et le restaurant attendra bien un peu.
Ma première impression sur ces personnes était erronée et je n’avais plus qu’à faire mon « mea culpa ». Mon mari semble ravi, la soirée commence vraiment très bien.
Il raconte maintenant ses dernières petites histoires assez salaces et nous écoutons les leurs pendant qu’ils nous resservent au fur et à mesure que nous vidons nos verres. Nous n’avons pas l’habitude de boire autant et commençons à avoir la tête qui tourne. Je me sens pour ma part sur un petit nuage, euphorique !
Je remarque à plusieurs occasions que des regards se portent sur mes seins et mes cuisses que je croise et décroise volontairement, Emoustillée par la tournure des choses, de la bonne humeur ambiante et de l’alcool absorbé, j’ai envie maintenant de continuer l’exhib commencée sur le parking et d’exciter ces hommes et mon mari avant de partir. Mais je n’en ai pas le temps.
« Nous allons vous laisser maintenant » leur dit mon mari qui n’a pas l’air d’aller très bien non plus.
« Attends cinq minutes »lui-dis je vais me refaire une beauté. A vrai dire une petite envie m'oblige à avoir recours aux toilettes avant de partir.
Je me lève, tire sur ma jupe arrivée aux fesses, traverse en titubant l'arrière salle, m’agrippe aux tables et chaise pour ne pas tomber et trouve les sanitaires. Le patron du bar est en train de se laver les mains dans le lavabo. « Vous vous trompez de WC » dit-il en m’indiquant ceux réservés aux femmes
« Oh excusez-moi » dis-je en riant.
« Ce n’est pas bien grave mais les toilettes femmes ont une petite poubelle pour mettre ce que vous savez et surtout les toilettes hommes sont des WC turcs » Je suis obligée de passer à côté de lui et il en profite pour me passer une main aux fesses sous ma jupe qu’il malaxe avant que je m’échappe, entre et ferme la porte.
« Les hommes sont vraiment des coquins » me dis-je en souriant et pas choqué par le comportement cavalier du patron. Je m’assieds ou plutôt tombe maladroitement sur le bord de la cuvette des waters et fait mon petit besoin… à moitié dedans, à moitié sur le sol.
« Houlala, je suis vraiment pompette » me dis-je Je profite malgré tout de ce moment d’intimité pour me remettre un peu de rouge à lèvres et surtout réajuster mes seins dans les balconnets qui ont bien du mal à accomplir leur mission.
Cela explique les yeux fixés sur ma poitrine durant l’apéritif. Mais vu mon état, moi qui suis plutôt réservée et timide d’habitude, souris avec une pointe de fierté à l’attention que l’on me porte. Je décide de ressortir un sein du soutien gorge puis je sors dans la partie commune des sanitaires pour trouver une serpillière afin d’essuyer par terre et ensuite me laver les mains.
Le patron est toujours là. « Je ne vous ai pas choquée ?» me dit il. « Non, non mais j’ai fait des petites bêtises » lui dis-je en montrant le plancher autour du bidet.
« Auriez vous quelque chose pour essuyer ? »
« Prenez du papier essuie-mains, il ne faut pas laisser cet endroit dans cet état » me répondit-il sèchement. Je déroule un bonne longueur de papier et me mets à quatre pattes pour d’essuyer ma maladresse.
Prétextant m’aider le patron se met derrière moi et se met à son tour à quatre pattes.
Il n’est pas très souple et il s’appuie sur moi afin de rejoindre le sol. Sa main appuyée sur le haut de mon fessier descend doucement jusqu’à ce que je sente le contact de sa peau sur la mienne. Bizarrement je ne dis toujours rien et rassuré par mon manque de réaction, il continue le pelotage et passe sa main sur la fente de mon sexe.
Il introduit délicatement quelques doigts à l’intérieur et titille le clitoris qui commence à s’ériger. Je fais comme si de rien n’était et je continue à essuyer le sol. Au risque de me répéter je me sens bien, sans soucis ni contrainte. Petit à petit, je sens mon sexe redevenir humide et écarte les jambes machinalement tout en finissant d’éponger le sol. La seconde main écarte les lèvres de mon sexe pendant que la première laisse mon clitoris pour guider la verge dans mon intimité. Sentant le gland à l’entrée de mon sexe et avant qu’il puisse m’introduire, je reprend un semblant de dignité et je me relève et sors des toilettes sans qu’il ait le temps de se relever pour me retenir.
En sortant, je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table commune, ils se sont attablés et discutent dans cette arrière salle toujours autour de plusieurs bouteilles d'alcool, je vois de même un peu plus loin dans la salle principale, mon mari de dos, qui parle et continue de boire avec les 2 autres de la troupe. Alors que je me dirige le plus rapidement possible ce qui est un euphémisme vu mon état, pour rejoindre mon mari, toujours en titubant et en me tenant, l'un des cinq hommes m'interpelle joyeusement et me demande de venir boire un dernier petit verre avec eux avant de rejoindre mon époux et partir au restaurant.
Il souhaite que je donne quelques conseils féminins avertis au futur marié. Devinant mon hésitation et sans attendre ma réponse le plus costaud de la bande m'attrape rapidement par la main et me demande de m'asseoir. Forte de l’expérience des WC, j'hésite à rester ne sachant si je peux leur faire confiance. Mais la main ferme, mon équilibre précaire, mon esprit embrouillé et l’envie de ne pas passer pour une sainte-nitouche ont rapidement raison de mes réticences.
Les autres chaises étant toutes retournées sur les tables ce galant homme m'installe donc sans plus de commentaire, sur sa jambe droite en m’attrapant par la taille.
« Cela ne vous gêne pas j'espère » finit-il par me dire sans avoir l’air d’attendre une réponse. Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et se présente.
« Moi c’est Denis »
« Moi c’est Annie » dis-je en rigolant, oubliant promptement l’épisode qui vient de m’arriver.
Et effectivement, nous discutons, je suis même la vedette de la soirée et l’on me bombarde de questions. Nous discutons des femmes en général mais surtout de moi, et abordons les conseils que je peux apporter au futur marié.
Je m’étend longuement sur la fidélité qui ne doit jamais trahie en me donnant en exemple avec fierté... toujours en sirotant le cocktail.
« Mon verre est une vraie corne d’abondance, je n'arrête pas de boire et il est toujours aussi rempli » dis-je en m'esclaffant. J’ai de plus en plus chaud mais me sens bien. Je me sens même rassuré car j’ai toujours la vue sur le dos mon mari.
Je suis bien calée, les deux cuisses de chaque côté du genou (qui n'arrête pas de bouger) avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite (qu’il caresse doucement) afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons qui remontent le bas du dos et me donnent un sentiment de bien-être.
« Vous avez une poitrine superbe » me dit le plus jeune en face de moi.
Je baisse la tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet. Il darde fièrement sa pointe sous l’étoffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le téton récalcitrant à sa place, mais avant que j’aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Denis me précède et passe la sienne sous le body.
« Laissez je vais faire » dit-il. Je suis de plus en plus gênée et mes joues virent à l’écarlate.
« Euh… beu ». Je bafouille et attrape vainement le bras de Denis qui a sorti le sein complètement, le soupèse, le caresse délicatement et titille la pointe. Absolument pas perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second sein qui subit le même traitement. J’essaie de mes deux mains de remettre les seins dans les balconnets mais sans succès.
« Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus ! » Peu convaincue par l’argumentation, je décide de partir et me redresse d’un coup mais ma tête me tourne de plus en plus et heureusement Denis me rattrape in-extremis m’évitant de m’étaler au sol. Il me prend la taille à deux mains et me remet en position stable sur sa jambe.
« Il me semble que vous êtes un peu saoule » me dit-il.
« Oui » dis-je désorientée
« Pour les seins, cela restera notre petit secret » me murmure t’il à l’oreille en y plaçant un petit bisou et en mordillant le lobe de mon oreille tout en continuant de me peloter par dessus l’étoffe. Je suis complètement déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire, répond en bégayant
« Bon d’ac…d’accord, mais c’est tout » et je reprend mon verre.
Denis me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Je sens sa main qui me caresse de nouveau la fesse mais sous ma jupe, il l’a relevée lorsqu’il m’a rattrapée et mon intimité est carrément à l’air. Les autres hommes regardent mon minou avec insistance. Je ne sais plus quelle réaction avoir je sens encore une douce chaleur envahir à nouveau mon bas ventre « N’est-ce pas qu’elle est belle » dit-il à ses amis.
« C’est sûr » répondent en cœur ses camarades.
« Je dois y aller maintenant, on doit partir au restaurant » dis-je en bégayant. « C’est dommage » me dit Denis » on est bien ensemble.
« Je vais bientôt vous lâcher mais faites nous plaisir, écartez bien vos jambes, ça sera votre petit cadeau d’adieu » ajoute t’il.
« Bon ok » et j’écarte mes jambes bien en grand dévoilant mon sexe luisant avant de partir. La main gauche de Denis lâche ma poitrine pour se placer sur mon sexe trempé »
Mes yeux se sont fermés et j’écarte machinalement les cuisses afin de lui faciliter la tache. Il pétrit longuement ma chatte puis passe lentement son doigt entre les deux lèvres mouillées en caressant le clitoris déjà sensibilisé par les doigts du patron, Je me sens submergé et me laisse aller sur son le torse de Denis.
Une main vient à nouveau caresser un téton, j’entrouvre les yeux et voit le plus jeune de la troupe à coté de moi, il relève le body et pétrit ma poitrine à deux mains.
Ses mains sont douces et il comprime mes seins comme aime le faire mon mari. Denis me tourne la tête et m’embrasse à pleine bouche pendant qu’un autre larron s’agenouille devant.
« Elle est toute épilée cette petite salope, j’adore ça ! » dit-il. Il place ses mains de chaque côté de ma fente et explore de sa langue la totalité de mon sexe.
Il me broute le minou avec une vigueur non feinte. Denis me malaxe les fesses pendant la langue joue avec mon clitoris et mon anus. Mes seins, eux, passent dans toutes les mains. Je lutte entre mon plaisir et ma morale et je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas. En vain les mains qui m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance. Ceci sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de l'aide mais ne le vois plus.
« Non, s'il vous plait laissez-moi ». Ces paroles à peine terminées, le brouteur de minou se retire Je sens que Denis me soulève, il ajuste son sexe avec une main sur l’entrée du mien, je sens son gland frotter contre ma vulve et il me relâche.
Il vient de m'enfiler d'un seul coup, je sens son gros membre chaud envahir ce qui n’avait appartenu qu’à mon mari et malgré moi lâche un râle de plaisir. J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller, j‘attrape la bouche de Denis pour sentir sa langue contre la mienne. Les autres enlèvent leur pantalon et s'approchent. On m’attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche.
Je sens le gland s’enfoncer dans ma cavité buccale et je me mets à le sucer avec vigueur. D’autres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même temps. Denis s’applique à me faire des suçons dans le coup et un autre sur la poitrine. Je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et branler plusieurs verges avec passion pendant que Denis me lime comme un malade et que les autres me caressent tout le corps. Je me comporte comme une chienne en chaleur et je suce, branle, malaxe tout ce qui me passe à portée de bouche et de mains. Un pue ne ferait pas mieux. Luc, je crois que c’est son prénom, va et vient lentement puis accélère et éjacule dans ma bouche.
Je sens la purée gluante envahir ma bouche et j’avale toute la semence avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu’à la retombée du sexe.
« T’es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise » me dit Luc pendant qu’un autre prend sa place.
Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre et aux soubresauts que Denis vient de jouir à son tour. J’écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au mieux l’homme qui est en train de me violer.
Deux autres lascars m'attrapent, m’enlèvent body et soutien gorge, me mettent sur le ventre sur la table me lubrifie l’anus avec leur salive. Ils commencent à forcer l’entrée avec leurs doigts élargissant mon petit trou encore vierge. Un doigt puis deux puis trois. Ma douleur n’a d’égal que mon plaisir et c’est avec soulagement que je sens les doigts libérer l’entrée de mes intestins.
Bref répit puisque je sens une verge se présenter et pénétrer mon cul. Je la sens frotter contre mes parois et petit à petit la douleur qui irradie le bas des reins se transforme pour devenir une nouvelle source de plaisir. Et ils m'enculent joyeusement les uns après les autres, à tour de rôle, me pétrissant le corps, les fesses et les seins. C'est ma première sodomie ; Mon mari a toujours voulu me posséder par derrière mais j’ai toujours refusé.
Il n’aura plus jamais la primeur de mon trou du cul. J’écarte de plus en plus jambes et fesses afin que tous viennent remplir mon petit trou. Je veux être leur vide couilles, je veux qu’ils me remplissent et qu’ils me couvrent de sperme. On me retourne à nouveau, je me retrouve allongée le dos sur un homme qui s’empresse de reprendre mon fion.
Un second se place devant moi et emplit ma fente pendant que les autres emplissent de nouveau ma bouche. Mes trois orifices sont pris en même temps. Et c’est dans cette position que j’explose de plaisir je lâche un râle en même temps que mon corps est parcouru de spasmes violent et libérateur Jamais je n’ai joui autant. Mes amants violeurs jouissent à leur tour, je suis remplie de sperme et bizarrement je m’imagine comme une dinde farcie …au jus d’homme.
Une fois que tous ont bien profité de moi, on me retourne de nouveau et on m'attache à la table, les fesses en l’air. Je sens que l’on m’introduit un objet plutôt volumineux dans la chatte. Après plusieurs aller retour, le patron du bar que j’ai planté aux toilettes et que je ne voyais plus arrive et me dit
« Ecoute poulette ton mari n'allait pas très bien, ce qui n'est pas anormal avec les somnifères que nous avons mis dans sa boisson. Nous l'avons ramené à chez lui en lui expliquant que nous nous occuperons bien de toi et que nous te ramènerons. Pendant que tu t’éclatais comme une bête j’ai pris un bon nombre de photos, tu auras beaucoup de mal à faire croire à qui que ce soit que tu n’étais pas consentante. Alors on va continuer à s’amuser avec toi puis on te ramènera à ton cocu de mari, mais tu as encore du temps devant toi. Après un instant de calme il se remet à parler
« En plus de fermer ta gueule et tu viendras une fois par semaine vider nos couilles » dit-il. Et sans que je sache pourquoi et plutôt stupéfaite, je reçois deux bonnes claques en pleine figure et je me mets à pleurer. Pas très longtemps car le patron s'empare d'une bouteille de bière l'ouvre et me l'enfonce dans l'anus déjà dilaté. Sous la poussée l’objet enfoncé dans mon vagin est expulsé, drôle de sensation que cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s’applique à de long va et vient, j’écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul, à chaque aller et retour la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe. Il pose la bouteille, présente sa queue à l’entrée de mon trou et me sodomise à son tour. Les autres ont récupéré et ils réinvestissent ma bouche et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.
Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool se dissipe un peu et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant j’ai peur et j’ai honte.
Je n’ose rien dire de peur de représailles. On recommence à me caresser délicatement l’entre jambes et les seins. Broute minou repasse à l’action et me lèche alternativement minou et anus. Et je sens malgré moi le désir monter à nouveau, mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir qui veut bien le prendre. Tout d’un coup, tous libèrent mes orifices et l’on me détache, me met au sol à quatre pattes et le patron du bar arrive avec ses deux dobermans.
Il ordonne à l’un de ses chiens de se coucher devant moi, le retourne et me dit : « Suce salope, t’es juste bonne à soulager mes chiens ».
« Non pas ça » dis-je Devant mes faibles protestations je reçois une nouvelle paire de claques. Ecœurée, c’est en larmes que je m’exécute.
Le sexe moyen du chien commence à gonfler dans ma bouche pour devenir d’une taille plus que respectable. Le patron s’est placé derrière moi et me besogne par derrière pendant ce temps, je sens encore, contre ma volonté, la jouissance monter. La verge du chien est devenue énorme, je m’active de plus en plus sur la bite du chien. La bête gémit pendant que je lui prodigue de long va et vient. Mon mari me dis toujours que je suis une experte en fellation, cela doit être vrai car l’animal est pris de soubresauts et c’est avec bonheur que j’avale la purée de « Médor » qui gémit.
Son sperme chaud et gluant coule dans ma bouche et le long de ma gorge. Je le maintiens le plus longtemps en bouche possible en espérant en vain de lui redonner vigueur.
Je lèche ensuite mes lèvres afin de récupérer ce qui a giclé hors de ma bouche. Je sens le maître de « Médor » s’agiter à son tour et sens son sperme chaud qui vient de se répandre dans mes entrailles. Je recule ma croupe afin qu’il remplisse mes intestins de sa semence.
Le sexe se dégonfle petit à petit et se retrouve éjecté de moi. Il se retire et appelle le second chien. Il le place devant moi afin que je lui prodigue aussi mes soins. Après l’avoir sucé à son tour et avoir durci son sexe, le maître attrape la bête pour la placer derrière moi.
Le chien, guidé par une main experte s’enfonce dans mon vagin, il s’active bestialement et je l’aide dans son mouvement en rythmant ma croupe à ses assauts et c’est avec lui que j’explose d’un plaisir encore inconnu à ce jour. Les spermatozoïdes de l’animal se répandent dans mon système de reproduction à la recherche de mes ovules.
Le chien se retire et s’applique à me lécher longuement le sexe et l’anus qui dégoulinent. Je constate que l'on ne cesse de me prendre en photo. Les festivités terminées, les deux compères qui n'ont pas participé aux festivités m'attrapent sans ménagement et m'entraînent nue à l'exception de mes bas. Ils ouvrent la porte du bar et m’entraînent dans leur voiture.
Personne ne parle, je sens mes esprits revenir et me pose tout un tas de question face au plaisir que j’avais eu, ma morale et ma fidélité. Quelques kilomètres plus loin et nous arrivons sur un parking. Pendant la fin du parcours celui qui était monté à l’arrière du véhicule avec moi a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir et c’est excitée comme une chienne en chaleur que l’on me sort de la voiture.
Des hommes s’approchent de nous et je suis offerte comme une putain. Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j'ai le droit à tout, même un collègue de bureau, vicelard à souhait, qui m’a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dés qu'il le pouvait au bureau et je suppose qu’il ne s’en privera plus désormais. La cerise sur le gâteau : Deux clochards m’ont prise en même temps à titre gracieux. Suite à cela et comme promis, les deux hommes me raccompagnent chez moi. Arrivés, ils vont voir si mon mari dort toujours.
Dans notre lit, pas très en forme, dans un semi sommeil, à moitié shooté, à moitié conscient, il nous regarde en disant des choses incompréhensibles. Il se fait déposer gentiment par terre. « Boum ! » et les deux hommes investissent notre lit, ils m’attrapent et me violent à leur tour, m'embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde l’air hébété.
Ils m’obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un de mes tortionnaires pendant que l’autre continue à prendre des photos, Ils m’enculent à tour de rôle et pour finir en m'urinent dans la bouche pendant que je crie de jouissance.
« Bon Anniversaire de mariage chérie » me disent ils.
« T’es une baiseuse de première »,
« A l’avenir, évite de te faire sucer le nougat devant les bars, ça t’évitera des ennuis »,
« Pour ton mari, t’inquiètes pas, demain il aura la gueule de bois mais ne se rappellera pas de tout, débrouilles-toi pour t’inventer une histoire » Et ils disparurent.
Tout c’est passé comme ils me l’avaient dit, mon mari ne se rappelle plus de ce qui c’est vraiment passé après le troisième verre, hormis un vilain cauchemar dans lequel je me faisais violer devant lui dans notre lit sans qu’il puisse intervenir, mais ce n’était heureusement qu’un mauvais rêve argumente t’il ! Je me rends régulièrement au bar « chez ROBERT « ou je me fais défoncer tout aussi régulièrement, bouche, anus et sexe avec de nouvelles variantes : lesbiennes, fisting, hommes de couleurs, gang bang organisés, pipes aux clients sous la table et bien d’autres asservissements voire divertissement.
A chaque fois je récupère une photo. « Quand tu auras récupéré toutes les photos tu seras libre poulette » me dit le patron, « A moins que tu n’aime ça »
Quant à mon collègue de travail, il expérimente avec moi tout ce que sa femme n’accepte pas. Je ne compte plus les fois qu’il me prend dans les toilettes de l’entreprise parfois avec d’autres collègues qu’il a mis au courant. Il ne se passe plus un jour sans qu’on me touche les fesses sous ma jupe, même une collègue lesbienne profite de la situation.
Ne pouvant ne me confier ni à mon mari ni à la police, je suis allé voir un « psy » Je me suis confié à lui, lui ai narré mon aventure telle que je viens de le faire. Il m’a écoutée, et m’a déclaré qu’il n’avait jamais entendu d’histoire aussi bandante. Il se rend maintenant régulièrement au bar « CHEZ ROBERT » et me baise à chaque occasion. Mon mari n’est au courant de rien, je l’aime toujours autant, lui aussi même s’il se plaint de temps en temps de ma moindre disponibilité sexuelle.

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