Ce vendredi soir, mon grand frère me proposa
de passer la soirée à son appartement. Sa compagne, Maryse,
devait le rejoindre à une soirée organisée entre amis. Maryse
était une belle femme de 30 ans.
Elle m'excitait souvent rien qu'à la voir.C'est elle qui
m'ouvrit la porte. Nous étions seuls dans l'appartement.
Elle me montra alors la chambre d'ami où je dormirai ce
soir. Après cette dure journée, je voulus me mettre à l'aise.
Alors, comme il faisait chaud, je me mis tout nu. Je bandais
très fort rien qu'à l'idée que la belle Maryse n'entre par
inadvertance. J'enfilai mon pyjama, fait d'un coton très
fin et très moulant. Je décidai de ne pas mettre de slip
en-dessous… qui sait, peut-être Maryse serait-elle surprise
à voir ma belle queue en érection sous ce pyjama qui me
permettait délibérément de bander sans serrer mon sexe !
Maryse, avant qu'elle ne me laisse ainsi dans
la chambre, me dit qu'elle devait aller dans la sienne pour
se préparer. Une fois changé, je me dirigeai dans la cuisine
pour grignoter quelque chose. Ouvrant la porte de la cuisine,
Maryse était déjà prête. Elle portait une magnifique robe
noire, très courte puisqu'elle lui arrivait presque au ras
de la chatte, mettant ainsi en valeur ses belles et longues
jambes. Elle avait un décolleté énorme, puisque ses gros
nibards étaient simplement recouverts d'une bandelette qui
passait derrière son coup. Elle ne portait donc pas de soutien-gorge.Je
commençai presque à regretter le choix d'avoir mis ce pyjama
fin et moulant. Comme il était relativement ample au niveau
de mon sexe, la moindre érection se repérait à des kilomètres.
Alors, me dépêchant de prendre deux ou trois
gâteaux dans les tiroirs, je m'assis à la table de la cuisine,
juste en face de Maryse.Très attentive à mes soins, elle
me demanda si je n'allais pas trop m'ennuyer tout seul dans
l'appartement. Elle me dit ensuite qu'il fallait qu'elle
aille rejoindre mon frère, mais qu'il lui restait environ
quarante minutes avant de partir.Matant Maryse comme un
pervers, je remarquais qu'elle portait des bas. Ils étaient
quasi-invisibles, mais je voyais à mi-cuisses leur doublure
leur permettant de rester fixés.
Maryse était odieusement belle, et assis en
face d'elle, je bandais sans même me caresser. D'où elle
était, elle devait certainement le remarquer… Debout en
face de moi, elle se laissa ainsi regarder.Comme j'avais
pris des corn-flakes, je me rendis compte que je n'avais
pas pris le lait. Il fallait donc que je me lève pour aller
le chercher dans le frigo, sous prétexte de passer pour
une buse. Le problème était que je bandais assez fort. Je
sentais ma grosse bite gonflée dans mon pyjama qui moulait
outrageusement des attributs. Là, Maryse se rendit compte
de la chose, et me lança d'une voix amusée :- " Bah… tu
ne mets pas de lait avec tes céréales ? ".Espérant qu'elle
vienne me le donner, je répondis que si. Alors, me levant,
je me retrouvais avec ma belle queue raide comme une barre
en fer, tendant mon pyjama telle un pic de tente. Maryse
me mata insidieusement, un large sourire de satisfaction
aux lèvres. Sans doute se sentait-elle flattée de voir un
jeune homme bander aussi fort rien qu'en la voyant… J'étais
en tout cas très gêné.
Et comme mon pyjama était tendu par mon gros
gland, cela me fit gémir, et je sentis de la mouille épaisse
venir humecter le tissu. Comme c'était du coton, une auréole
de mouille se format immédiatement au bout de mon sexe.Une
fois rassis, j'en profitai d'avoir le sexe caché par la
table pour me caresser la queue. Maryse me regardait toujours
l'air très amusée, mais je m'en moquais. Soudain, Maryse
reprit la parole.
Toujours avec sa voix d'un ton amusé, elle
me dit :- " Oh, ben tiens, comme tu étais debout, j'ai un
petit service à te demander… Approche ! ".Dès lors, mon
cœur se mit à battre très fort. M'exécutant, le sexe tendu
en avant avec le bout trempé de mouille, je m'approchait
de Maryse. J'arrivais à elle, ma grosse bite étant la partie
de moi étant la plus proche d'elle. elle me dit alors :-
" Regarde ! J'ai un petit problème avec mes talons-aiguilles…
je n'arrive pas à fermer correctement la lanière. Est-ce
que tu peux me les fermer ? ".Effectivement, Maryse avait
laissé la lanière de des chaussures ouvertes. Elle était
dans le coin de la pièce, et par conséquent, il me fallait
les lacer de face. Je bandais très fort, et mon cœur battait
encore plus fort. Accroupi devant elle, je ne pouvais que
voir sous sa robe. La tentation était grande. N'osant lever
la tête, je m'appliquais à ma tâche. Et là, voyant peut-être
ou non que je n'osais pas lever les yeux, Maryse, me demanda
:- " Tu y arrives ? C'est compliqué ? ".Comme ma maman m'a
toujours dit que l'on doit regarder la personne avec qui
on parle dans les yeux, je levai la tête. Parcourant son
corps de bas en haut, je remontai ses belles jambes. Maryse
tenait dans chaque main l'élastique de ses porte-jarretelles,
retroussant un peu plus sa robe. C'est ici que j'aperçu
les lèvres de sa belle chatte, nues comme un ver et légèrement
entrouverte. Comme si de rien n'était, je continuai de lever
les yeux : son ventre plat, et soudain deux énormes collines.
Maryse me regardait, amusée de me voir à ce point ému.
Je sentais le sang frapper violemment dans mon
sexe. J'avais presque envie de gémir. Instinctivement, mon
regard de posa de nouveau sur son sexe de femme mûre et
parfaitement entretenu. Maryse me demanda alors :- " Tu
aimes mes bas ? Ils n'arrivent pas trop bas j'espère… ".Je
répondis d'un " non non ! " très maladroit. Je n'avais plus
qu'une seule envie, à savoir celle de prendre ma grosse
bite à pleine main pour enfin me vider les couilles. Ça
faisait déjà une bonne minute que j'essayai de lacer ses
chaussures. Mais de face, c'était impossible. Voyant que
j'avais du mal, Maryse me dit :- " Tu as vu ! C'est pas
facile ! Attends, de l'autre côté, ce sera peut-être mieux…
".Regardant les lèvres de sa chatte une dernière fois, Maryse
pivota afin que je puisses lacer ses chaussures au niveau
des talons. Cette cochonne était littéralement nue sous
sa robe… elle devait vraiment être en chaleur ! En retournant,
Maryse en profita pour lever sa robe et ainsi me montrer
son cul. Comme je n'avais pas baissé les yeux, je voyais
ainsi ses belles fesses et les lèvres rasées de sa belle
fente. Je croyais que j'allais tomber dans les pommes. J'étais
légèrement de côté, donc, d'un pas agile sur le côté, je
me mis plus dans l'axe de son dos afin qu'elle ne me voit
pas. Car Maryse restait les yeux baissés vers moi, comme
pour mieux déguster mon état d'excitation avancé. Profitant
de ma manoeuvre, je passai ma main droite dans mon pyjama
et je saisis ma grosse bite à pleine main pour me masturber
et ainsi me soulager un peu. Ma belle queue était dure et
gonflée à bloc d'excitation.
Le fait de voir les parties très intimes de
ma salope de belle-sœur me donnait l'envie de jouir tout
mon sperme dans mon pyjama. Je rêvais d'y mettre ma bouche
et ma langue et de lui bouffer la chatte à l'en faire jouir.
Ce qui était sûr était qu'elle faisait tout pour m'exciter,
car elle exhibait sans gêne aucune ses fesses et sa belle
fente. Une fois ses chaussures lacées, je me relevai. Je
frottai volontairement le bout de mon sexe contre sa cuisse
gauche. Je crus que ce simple frottement me fit éjaculer
jusqu'à la dernière goutte. Mon coeur battait de plus en
plus fort. Je devais être tout rouge d'excitation. Faisant
demi-tour pour aller me rasseoir, Maryse mata la bosse de
plus en plus énorme et marquée de mouille au niveau de mon
entrejambes. Elle m'interpella soudain :- " Hé Cédric !
Je ne suis pas belle comme ça ? ".Me retournant vers elle,
je constatai que Maryse n'avait pas de limites. Tenant sa
robe de chaque côté avec ses deux mains, elle la souleva,
laissant apparaître sa belle chatte sans poil. Un nouveau
coup de sang frappa mon sexe et mes couilles. Plissant les
yeux, je lui répondis qu'un oui orgasmique. J'étais d'autant
plus excité que Maryse reluquait sans cesse ma grosse bite
qui dardait sous mon pyjama.Poussé dans mes limites, je
ne pus m'empêcher de saisir ma grosse queue par dessus mon
pyjama à pleine main, la mettant de côté, afin de me caresser.
Ce geste ne choqua pas Maryse, qui me dit ensuite
:- " Je te fais beaucoup d'effet on dirait ! ".Ne sachant
comment réagir, je lui répondis d'un petit oui de honte,
lâchant ma belle queue désespérément. Maryse me dit alors
:- " Mais, qu'est-ce que tu attends pour me la montrer !
Regarde là ! Elle va exploser sous ton pyjama ! ".Là, je
n'en croyais pas mes oreilles. Ma belle-sœur voulait que
je lui montre ma queue. Cela dit, la raison a elle aussi
ses limites, et il ne fallut pas me faire prier deux fois
pour m'accomplir. Attrapant mon bas de pyjama par les côtés,
je le baissai suffisamment pour avoir le cul, les couilles
et la bite à l'air. L'élastique de celui-ci retenant mon
gros pieux, cela le fit jaillir hors du pyjama, me faisant
gémir de jouissance. Mais plus que simplement montrer mon
sexe à Maryse, je me mis à me masturber à pleine main devant,
de façon à lui vanter ses dimensions impressionnantes. En
un instant, mes vingt centimètres de chair dure à l'important
diamètre se mirent en forme. Je bandais comme un taureau,
mes couilles lourdes et bien remplies. Maryse regardait
ma démonstration avec grand plaisir :- " Hummm… qu'elle
belle queue ! Tu fais beaucoup mieux que ton frère ! ".Je
bandais si fort que je mouillais comme une fontaine. C'était
hyper excitant de me caresser ainsi sans pudeur aucune devant
ma cochonne de belle-sœur. Je levai mon haut de pyjama également
pour lui offrir ma nudité. Maryse semblait drôlement apprécier
à en juger par son sourire et son regard malicieux. Celle-ci
posa alors son pied gauche sur la table, écartant ainsi
odieusement les cuisses. La tête en biais, relevant sa robe,
elle m'invita à me rapprocher
:- " Et si tu venais t'occuper un petit peu
d'elle… ".gardant ma grosse bite en fusion à la main, je
m'approchai de Maryse. Arrivant à elle, je lui mis directement
ma main droite à la chatte. Ses yeux se plissèrent de plaisir.
Ca faisait bizarre de caresser une chatte sans poils. Celle-ci
mouillait également énormément, puisque je la faisais clapoter
rien qu'en lui écartant les lèvres avec les doigts.De son
côté, Maryse s'occupa de moi. elle me fit ôter mon haut
de pyjama, et une fois débarrassée de celui-ci, elle prit
ma grosse bite à pleine main pour me masturber, en la serrant
fortement. Sentant sa main étrangère sur mon sexe, je crus
que j'allais me mettre à jouir. Elle semblait être très
excitée par le fait de manipuler une verge aussi longue
et grosse. Elle tirait de plus en plus sur la peau, de façon
à me décalotter. Mais comme je n'en avais pas l'habitude,
cette opération eut été un peu difficile. Nous nous masturbions
donc chacun l'un l'autre, décuplant ainsi le plaisir. Maryse
avec le clitoris " tout dehors ", gonflé par l'excitation.
Je lui enfonçai mon majeur dans sa fente brûlante et humide,
la pistonnant ainsi pour la faire jouir. De l'autre main,
je me mis à lui caresser ses gros seins. Je rêvais de les
lui lécher, mais je n'osais lui demander d'ôter sa robe.Je
sentais la main de Maryse s'activer de plus en plus amplement
sur ma grosse queue. Elle me procurait un plaisir extrême,
si extrême que j'étais au bord de l'éjaculation. S'en rendant
compte juste à temps, Maryse leva son pied de la table,
et s'accroupit au niveau de mon sexe et de mes couilles.
Me caressant le plus lentement possible, elle me dit en
levant les yeux :- " T'as vraiment une grosse bite Cédric
! Je meurs d'envie de te la sucer ! ".Ses yeux se baissèrent
et fixèrent mon sexe. Me décalottant, Maryse l'enfourna
très délicatement dans sa bouche, lâchant un profond gémissement
de plaisir au contact du goût suave de ma grosse queue.
Elle en profita pour baisser totalement mon pyjama, me l'enlevant
même. J'étais ainsi complètement nu devant elle. Je regardais
ainsi ma grosse bite luisante de mouille et maintenant de
salive entrer et sortir de sa bouche aux lèvres sensuelles.
Maryse me suçait ainsi très doucement afin de ne pas me
faire éjaculer tout de suite.
L'envie était pourtant là, car le fait d'avoir
cette bombe sexuelle ainsi soumise devant moi me donnait
de plus en plus confiance. Maryse me léchait tant tôt les
couilles, tant tôt elle me donnait des petits coups de langue
sur mon prépuce en me regardant comme une chienne, avant
d'enfourner de nouveau mon sexe énorme dans sa bouche en
me caressant les fesses. Celle-ci me procurait un plaisir
extrême et très sensuel. J'adorais comment Maryse s'y prenait
pour me sucer et me caresser les couilles. Elle s'attardait
souvent sur mon gros gland rose et tendre, qu'elle suçait
entre ses lèvres pulpeuses, tout en activant lentement sa
main sur mon gros manche dont ses doigts avaient peine à
en faire le tour. Me sentant très excité, et voulant faire
durer le plaisir, Maryse de releva, et me souriant, elle
me dit :- " Ca ne te dirait pas d'en faire autant ? ".Cette
invitation m'excitait énormément, bien que je n'avais jamais
jusque là léché la chatte d'une femme de trente ans.Maryse
ouvrit alors son décolleté, m'offrant ses gros nibards.
Saisissant un dans chaque main, je me mis à lui bouffer
ses tétons roses qui dardaient comme jamais. Pendant ce
temps, Maryse continuait de me masturber, captivée par cette
grosse bite si chaude dans sa main.
M'accroupissant, j'avais ainsi sa belle chatte
à la disposition de ma langue et de ma bouche. Maryse avait
levé sa robe de façon à bien me présenter son intimité.
Sa vulve était d'un rose très vif. C'est seulement à ce
moment que je m'aperçu que Maryse avait quelques poils sur
le pubis. Elle se tenait ainsi devant moi, prête à se faire
bouffer la chatte. J'y insérai alors un doigt, et je me
mis à lui titiller le clito du bout de la langue. Elle se
caressait aussi les seins afin que son excitation soit au
plus fort. Je levai de temps à autre les yeux vers elle,
et je constatai avec satisfaction son sourire acquiesçant
du plaisir qu'elle prenait. Came faisait bizarre de me retrouver
ainsi la tête entre les cuisses d'une femme de trente ans.
Sa chatte avait un goût et une odeur suaves et excitantes
qui invitaient à la lui lécher toujours plus.Une fois sa
chatte bien humide et dilatée par les soins de ma langue
agile, Maryse passa sa main derrière ma tête. Je levai les
yeux vers elle, et elle passa sa main sous mon menton, m'invitant
à me relever. Elle pivota alors sur elle-même, et tenant
sa robe retroussé, elle me présenta sa chatte et son cul.
La voyant ainsi offerte, je m'accroupis de nouveau
pour lui bouffer son intimité à pleine bouche et pleine
langue. Elle écarta alors ses fesses avec ses mains. Je
me retrouvais à lui bouffer la chatte avec vergogne. Le
bout de mon nez lui caressait son petit trou, ce qui semblait
drôlement l'exciter. Maryse ne souriait plus. la bouche
grande ouverte, elle prenait sa respiration en lâchant de
profonds gémissements. Elle allait jouir d'une minute à
l'autre. Ne sachant combien de temps je pourrais la besogner,
je me relevai, et prenant ma grosse bite à entre les doigts,
je la dirigeai vers sa fente. Je me souvins alors de l'air
ironique et limite moqueur que Maryse avait pris quelques
dizaines de minutes auparavant. Elle était ici à ma mercie.
Alors, mettant ma grosse queue bien à la verticale, je la
lui insérai d'un seul coup en totalité dans son vagin suffisamment
dilaté et humide. Sentant d'un seule coup cette barre énorme
de chair dure entrer dans son entrecuisses, Maryse lâcha
un cri mêlé de douleur, de soulagement et de jouissance.
le fait d'avoir cessé de me masturber avait fait diminuer
mon état d'exctation. Je me rendais compte que je pouvais
baiser Maryse sans éjaculer trop prématurément.
Dès lors, la donne changea de main. Saisissant
ma belle-sœur par la taille, je lui deux ou trois puissants,
longs et violents coups de queue verticaux, histoire de
bien lui ramoner la chatte et de lui montrer qui était le
mâle ! Maryse parut un instant paniquée. Je sortis alors
ma grosse bite de sa chatte, et je la pénétrai de nouveau,
plus lentement, centimètre par centimètre, faisant ainsi
jouir Maryse, sentant cet énorme chibre occuper petit à
petit tout son vagin brûlant et inondé de mouille. J'avais
la totalité de mon sexe en elle lorsque je me mis à lui
peloter ses gros nibards. Le fait de sentir son beau cul
contre mon bassin me donnait plus envie encore de lui défoncer
l'entrejambes. Je me remis alors à la culbuter de toute
la longueur de ma grosse queue. Maryse grimaçait et râlait
de jouissance, peut-être pas habituée à ce prendre des mandrins
de cette taille. J'eus un instant l'impression de baiser
une petite écolière. Maryse avait perdu de sa prestance,
soumise et esclave aux allers et venues de mon sexe épais
dans sa petite chatte. Je regardais ma grosse queue ressortir
de sa chatte toute luisante de mouille, et ses belles fesses
douces et tendres frotter et s'écraser contre mon bassin.
Cette chienne aimait ça et s'offrait comme telle,
tenant dans chacune de ses mains ses belles fesses écartées
afin de mieux accueillir mes longs coups de butoir. Je sentais
également mes grosses couilles tanguer d'avant en arrière
au rythme de mes assauts. Je bandais comme un taureau, et
l'envie de me vider les couilles n'étais pas encore trop
présente. J'étais vraiment heureux et satisfait de baiser
Maryse. Ses trente ans ne semblait pas faire grand ménage
face aux vingt centimètres de mon sexe qui lui dilataient
et faisaient mouiller sa chatte comme jamais. Maryse donnait
l'impression en cet instant d'apprendre et d'aimer la vie.Maryse
regarda l'heure qui était devant elle, et me cria : " Vite
! Je suis en retard ! ". Me sentant presque offusqué en
cet instant de tendresse, je fus ainsi contraint à la pilonner
plus violemment. La reprenant par la taille, je me mis à
la pilonner comme jamais. Ses gros seins se mirent à tanguer
comme s'il y avait de la houle, ses fesses s'écrasaient
et claquaient violemment contre mon bassin. Maryse cria
comme une dingue, prenant son pied comme jamais, les yeux
fermés. Elle sentait mon gros pieux qui ravager l'entrecuisses,
lui exploser la chatte littéralement. Je sentais ma belle
queue glisser merveilleusement dans son vagin, lui écarteler
les parois brûlantes et humides à chaque passage. Maryse
avait pris appui contre le mur de façon à s'offrir le mieux
possible.
Elle grimaçait de douleur et de jouissance,
mais trouvait toujours la force de se redresser pour passer
une main sur mes fesses pour m'inviter à lui exploser la
fente. Mes grosses couilles tanguaient elles aussi odieusement.
Je lui pelotais les seins pour la faire jouir et l'exciter
comme une chienne en rut. Je sentais l'éjaculation arriver.
Je ne pouvais plus m'empêcher de râler sans retenue. Notre
partie de baise atteignait la limite de la bestialité. Sentant
que j'allais jouir, Maryse me cria : " attends ! ", posant
une main sur mon ventre pour stopper mes allers et venues.
Se penchant bien en avant, et m'offrant son beau cul, elle
ôta sa robe, la faisant glisser au niveau de ses genoux.
Elle tourna alors la tête vers moi, et me demanda de jouir.Retirant
ma grosse pine de sa chatte, dont les lèvres toute luisante
de mouilles restèrent gonflées d'excitation, je me mis à
caresser son cul nu d'une main, pendant que de l'autre j'activais
ma belle queue trempée elle aussi de mouille. Maryse avait
les yeux plissés et marqués par l'extrême jouissance. La
vue de ses belles fesses nues me donna tout de suite envie
de m'y vider les couilles. Activant ma grosse bite tout
en me serrant les couilles, je me mis à jouir de puissants
et longs jets de sperme brûlant sur son cul. Au contact
des premières giclées, Maryse ne put s'empêcher de lâcher
un grand gémissement de jouissance, perdant la force dans
ses jambes le temps d'une seconde. Vénérant son cul de déesse,
je mis ma grosse bite à la verticale, et l'écrasa dans sa
raie culière. Donnant de longs et délicats coups de rein,
cela doubla mon orgasme. Je n'arrêtais plus de jouir.
Le fait de sentir ce membre viril entre ses
fesse et en plein délestage de sperme faisait gémir Maryse.
Elle semblait adorer se faire gicler du sperme sur les fesses.
Elle sentait mes grosses couilles contre sa chatte, qui
paraissait l'exciter tout autant. Maryse était vraiment
la plus belle des salopes, s'offrant ainsi comme une chienne
à son beau-frère ayant quasiment dix ans de moins qu'elle.On
voyait dans ces instants combien celles qui jouaient les
grandes étaient les plus dépendantes du sexe des hommes.
Une bonne bite n'avait d'égal à leurs yeux que la quantité
de foutre brûlant qui giclait et se déversait sur leur intimité.Une
fois l'éjaculation terminée, je me décollai du cul de Maryse,
qui était maculé de longues traînées de sperme. La croyant
hors d'état d'ironiser en pareil moment, cette salope réussit
néanmoins à me surprendre. Elle passa sa main droite sur
ses fesses de façon à y étaler le sperme, et ne manqua pas
d'avaler ce qui restait entre ses doigts. Moi, je finis
de me vider les couilles en arrosant sa fente des dernières
gouttes de sperme.Maryse n'avais évidemment plus le temps
de prendre une douche. Ayant étalé mon sperme sur son cul,
elle remit sa robe par-dessus, les fesses empreintes de
mon liquide de jouissance. moi, je remis mon bas de pyjama,
ma grosse bite encore gonflée d'excitation.
Nous nous regardâmes. Personne ne dit rien.
Je partis alors dans ma chambre pour récupérer.Maryse partit
ainsi à sa soirée, les yeux brillants et plissés par l'extrême
jouissance qu'elle avait eu, avec sa chatte complètement
éclatée par mes violents assauts, et enfin l'odeur de mon
sperme.Heureusement pour elle, mon frère était à cette période
épris d'un rhume tout aussi violent que les coups de bite
que sa salope de femme venait de se prendre. Le lendemain,
me parlant en a-parte, il me dit que les femmes de la soirée
regardaient Maryse curieusement… j'avais un sourire en coin,
sachant éperdument que les femmes connaissent et reconnaissent
cent fois mieux l'odeur du sperme fraîchement éjaculé que
les hommes eux-mêmes… mon frangin avait donc très certainement
passé la soirée avec une étiquette de cocu collée sur le
dos !
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