Il y a dans ma vie une fille, ou plutôt une femme, qui
m'excite comme c'est pas possible : c'est ma belle-soeur.
Elle est toujours habillée classe, coiffée parfaitement,
des mains splendides, des lèvres sur lesquelles mon gland
irait bien faire un tour et un corps somptueux, elle a la
trentaine, pas d'enfants, une taille de guêpe que je ne
me gêne pas de toucher lorsqu'on se dit bonjour. (ça y est,
j'ai déjà une érection rien qu'à écrire ces lignes en pensant
à elle). Je ne vous cache pas que je me suis déjà branlé
en regardant des photos d'elle en tailleur, prises lors
de fêtes de familles. D'ailleurs j'essaie toujours de faire
un maximum de photo d'elle, en toute discrétion bien sûr.
Il se trouve que ma chère belle-sœur est en réalité
une belle petite cochonne. Il m'a fallu cinq ans pour m'en
rendre compte, mais maintenant j'en suis sûr. Comment, me
direz-vous ?
Eh bien simplement parce que j'ai découvert qu'elle était
sortie avec un pote à moi, il y a plusieurs années et il
m'en a raconté des vertes et des pas mûres à son sujet.
Eh oui, Madame aime, par exemple, se faire prendre non pas
par un ni deux, mais bien trois mecs en même temps. Elle
aime tout : fellation, sodomie, gode, éjaculation faciale,
etc... rien ne l'arrête.
Vous me direz : oui, mais bon, elle était jeune, peut-être
que maintenant ça a changé.
Voulant en avoir le coeur net, je l'ai contactée sur son
portable et je lui ai donné rendez-vous en disant qu'elle
ne devait bien sûr en parler à personne, car j'avais un
gros souci qu'il fallait qu'elle m'aide à résoudre. Elle
est donc venue au rendez-vous (sur Bruxelles, elle a prétexté
à son mari qu'elle allait faire du shopping), elle est arrivée,
toujours aussi sexy qu'à l'habitude (mais comment fait-elle
?). On a pris un café, discuté de choses et d'autres et
puis elle en est venue à la question :
- Qu'est ce qui se passe, pourquoi m'as-tu fais venir ?
Je ne me suis pas dégonflé et je lui ai répondu, de but
en blanc :
- Mon problème, c'est toi !
Elle fut toute étonnée et surprise, elle ne comprenait
visiblement pas, elle me demanda de m'expliquer. Je lui
ai donc demandé si elle connaissait un certain Luc P., elle
confirma et rougit ; je lui dis alors que c'était un bon
pote à moi et qu'il m'avait raconté une partie de sa vie...
Là, c'est plus rouge qu'elle était, mais cramoisie. Ne me
dégonflant toujours pas, je lui expliquai gentiment tout
ce qu'il m'avait dit sur elle, je lui fis comprendre que
je trouvais ça très bien et que maintenant, c'était mon
tour ! Elle m'a arrêté en me disant que ce n'était pas possible,
car elle aimait son mari et que j'étais son beau-frère etc...
Je lui répondis que c'était trop tard, la chambre était
déjà réservée et on devait y aller maintenant, pour ne pas
perdre trop de temps en bavardages inutiles. Malgré ses
faibles rouspétances, elle se leva, je la pris par le bras
et lui dis :
- Courage, tu vas passer un très bon moment ! (rires) Ensuite,
on n'en parle plus.
On se rendit à l'hôtel à pieds. Il se trouvait à deux minutes.
Elle essayait encore de me convaincre, mais je ne disais
plus rien. Lorsqu'on entra dans la chambre, je la complimentai
sur son corps et lui dis que le grand jour était arrivé
et qu'enfin, j'allais la faire jouir à mon tour (et vice-versa
bien sûr). Elle ne savait visiblement pas quoi faire : je
lui demandai donc de se mettre à mes genoux et de procéder
au déballage de son cadeau. Elle hésita encore un peu mais
s'exécuta, ouvrit mon pantalon et sortit ma bite qui était
(du moins j'en avais l'impression) gonflée au maximum de
ses capacités. Elle fit des yeux étonnés en la voyant (je
suis pas trop mal nanti) et je lui demandai de la lécher
doucement pour commencer. Elle savoura ma bite, en la léchant
sur toute sa longueur avant de finalement la prendre complètement
en bouche.
Je n'en pouvais plus, la chose que je souhaitais le plus
depuis cinq ans était en train de se réaliser : ma belle-sœur
en train de me pomper comme une chienne. On voyait qu'elle
se régalait, je lui disais :
- Vas-y, petite salope, pompe-moi !
Ça l'excitait, elle ne perdait pas un millimètre de ma
bite. Je dus lui demander d'arrêter car j'allais jouir,
cela aurait été dommage aussi vite.
Je la relevai et, la prenant par l'épaule, l'amenai près
du lit. Je lui demandai d'enlever son slip et, en riant,
elle me dit qu'il n'y en avait pas, qu'il n'y en avait pour
ainsi dire jamais. Je passai alors ma main sous sa jupe
et sentis un sexe lisse très humide, je n'en pouvais plus,
ma bite me donnait l'impression qu'à tous moments, j'allais
jouir tellement j'étais excité ; je la couchai alors sur
le lit, lui écartant les jambes, je m'agenouillai et découvris
un bijou, une perle rare que je m'empressai de goûter, d'abord
lentement, du bout de la langue, ensuite goulûment, prenant
un maximum dans ma bouche, aspirant son liquide, entrant
ma langue dans sa chair, profondément... Elle râlait de
plaisir, j'entrai alors un doigt très doucement, caressant
sa paroi, tout en titillant son bouton, elle me supplia
alors d'arrêter, disant qu'elle ne tiendrait pas. Je me
relevai et lui demandai ce qu'elle voulait. Elle me répondit
qu'elle ne désirait plus qu'une seule chose, c'est que je
présente ma grosse bite à ses lèvres et que j'entre sans
retenue, que je pénètre à fond dans sa grotte.
Je ne me fis pas prier et, présentant mon gland, je le
fis glisser de tout son long pour aller buter contre le
fond de son vagin ; elle écarta les jambes au maximum et
je les pris en main, les repoussant vers elle afin de l'avoir
toute offerte à moi, sans aucune limite. Malheureusement
(ou heureusement) après quelques coups de boutoir, elle
ne tint plus (et moi non plus) et nous jouîmes tous les
deux comme jamais. Je m'écroulai sur elle et l'embrassai
en la remerciant et elle rit de joie. Elle me demanda juste
une seule chose :
- Quand recommence-t-on ?
Je lui ai promis que cela se ferait à nouveau à l'improviste,
qu'elle aurait un jour de mes nouvelles, mais pas tout de
suite. Elle acquiesça mais me demanda de ne pas attendre
trop longtemps...
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