Tout d'abord, je me présente : je suis Damien, j'ai 24
ans, je suis assez mignon et, par-dessus tout, je suis un
adorateur des femmes mûres.
J'aime croiser leur regard dans la rue, essayer d'apercevoir
ce qu'elles portent sous leurs vêtements.
Ce jour-là, j'étais en voiture avec mon pote Philippe,
qui est tout aussi coquin que moi. Tous les deux avons de
la chance, en général, avec les filles.
Nous allions à Périgueux, faire du shopping, quand on vit
une femme faire du stop. Elle avait l'air d'attendre depuis
un bon moment sur le bord de la route.
- Tu as vu Damien ! Elle est pas mal ! Arrête-toi, on va
la prendre.
- Ok, de toute façon, on est pas pressé.
On fit demi-tour et on s'arrêta à la hauteur de la femme.
Elle avait une quarantaine d'années. Elle était jolie et
très bien habillée, le genre classe.
- Bonjour messieurs, je suis en panne avec ma Ford, pouvez-vous
m'amener jusque chez moi ? J'habite à environ cinq kilomètres.
- Ok, c'est notre route.
La femme monta à l'arrière de la 206.
- Vous êtes chic de m'amener, j'attends depuis une demi-heure
sur le bord.
- On n'allait pas passer à côté d'une femme aussi jolie
sans la dépanner, dis-je.
- Je m'appelle Brigitte, et vous ?
- Damien et Philippe.
- Je ne vous fais pas faire un détour, j'espère ?
- Non, on allait à Périgueux, faire deux-trois courses.
- Tournez là, j'habite la dernière maison de la rue.
Je tournai sur une petite route. On arriva à la dernière
maison, une jolie maison périgourdine avec un joli jardin
et une piscine. Cette Brigitte devait avoir pas mal de sous.
On gara la voiture et on descendit.
- Je vous offre un café, pour votre gentillesse ?
- Volontiers, Madame.
On la suivit dans la cuisine. Elle portait un pantalon
qui moulait parfaitement ses fesses, je pus me rendre compte
qu'elle portait une minuscule culotte.
Elle avait un charme fou et elle dégageait une odeur de
sensualité.
On discuta de tout et de rien autour du café.
On apprit qu'elle vivait à la maison. Son mari était directeur
d'une entreprise de la région et ils avaient suffisamment
de revenus pour qu'elle reste chez elle.
Elle nous demanda si on avait des copines.
- Non, on est célibataire tous les deux, depuis peu.
- Ok, à votre âge, il faut profiter, vous avez raison.
Elle nous regardait avec des yeux coquins.
- Moi, à mon âge, je ne profite plus beaucoup, donc éclatez-vous
!
- Comment ça se fait ? Vous êtes une belle femme ! Vous
devez plaire aux hommes.
- Je ne sors pas beaucoup, car mon mari est très jaloux,
donc je ne sais pas.
- En tout cas, si vous n'étiez pas mariée, je vous aurais
volontiers invitée un de ces soirs, à boire un verre.
- Vous êtes mignons, vous aussi.
L'ambiance commençait à devenir chaude.
Elle s'approcha de moi et m'embrassa. Mon pote Philippe
était stupéfait, autant que moi.
On alla dans le salon.
- Mon fantasme a toujours été d'avoir deux hommes pour
moi toute seule, les jeunes.
On se croyait en plein rêve ! Elle nous embrassait tour
à tour.
Je quittai mes vêtements et Philippe fit de même. Je couchai
Brigitte sur la table du salon et enlevai son pantalon.
Elle portait une jolie culotte en dentelle noire et un soutien-gorge
assorti.
- Oui, allez-y, faites-moi plaisir !
Philippe était sur le canapé et observait la scène.
Brigitte était sur le dos, j'étais entre ses cuisses. J'embrassai
sa chatte sur le tissu de la culotte, elle sentait bon.
Je lui retirai la culotte et découvris une adorable chatte
pratiquement toute épilée, il restait juste un petit filet
de poils. Brigitte se caressait les seins. Elle avait une
grosse poitrine. Ses tétons étaient gros. Je commençai à
lécher doucement sa chatte, qui devenait très humide. Elle
sentait bon la mouille.
- Oui, vas-y, lèche-moi bien, occupe-toi de ma minette
!
Sa chatte avait bon goût, mes doigts fouillèrent ses lèvres
et je la doigtai. Elle lâchait de petits cris de plaisir.
Pendant ce temps-là, Philippe avait sorti sa queue et se
masturbait. Il se leva et présenta sa queue à Brigitte,
qui la goba aussitôt. Elle le suçait avec énergie. On se
releva tous les trois et on alla sur le canapé. Brigitte
s'empala sur ma queue.
- Hmm, j'aime sentir une bite bien dure en moi !
Elle continuait à sucer Philippe.
Pendant ce temps, je passai un doigt entre ses fesses et
lui caressai le petit trou. Elle avait l'air d'apprécier,
elle remuait bien. Ses gros seins ballottaient et je les
tétais en même temps.
A ce moment-là, Philippe passa derrière elle et présenta
sa queue entre ses fesses.
- Oui, vas-y, encule-moi, j'aime être vicieuse, vous êtes
beaux et bons, continuez !
Je n'en croyais pas mes yeux ! Mon pote et moi étions en
train de faire une double pénétration à une femme inconnue
! Elle jouissait, la salope.
- Oui, j'aime ça, continuez, ouiiiii, hmm...
On criait tous les trois de plaisir. Brigitte était coquine,
elle aimait le sexe.
Au bout d'un moment, on se retira. Elle se mit à genoux
devant nous et nous branla. Elle nous suçait tour à tour,
nos queues sentaient sa chatte et ses fesses. Philippe et
moi éjaculâmes sur Brigitte, elle se délecta de nos spermes
car elle aimait avaler. On était épuisé.
- Merci, mes chéris, j'espère que c'était aussi bon pour
vous que pour moi. Ça restera entre nous.
- Oui, Brigitte, c'était bon !
- Ne bougez pas, je reviens, mes chéris.
Philippe et moi, on se rhabilla. Brigitte revint avec deux
culottes en dentelle. Elle s'essuya la chatte et les fesses
avec, et nous en tendis une à chacun.
- En souvenir de moi ! Et j'espère vous revoir...
- On repassera ! Et merci Brigitte !
On reprit la route, épuisés. On repartit chez nous, car
on n'avait aucune envie de faire les magasins.
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