TITRE : Aude et Delphin pour la vie
Catégorie : Histoire interraciale

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Delphin


Je suis un jeune black de 30 ans et ça fait trois que je suis marié avec une chaude.une très hot canadienne française. Le plus important, c'est que notre amour a survécu devant les préjugés de part et d'autres de nos familles respectives. Nous avons conçus à notre manière une culture telle que ce qui compte ce c'est ce qu'on ressent et je suis persuadé que notre amour a pris racine et qu'il n'y a que la mort qui pourra nous séparés.

Mon amour s'appelle Aude elle chaude et douce comme une aubade. Elle a réussit à elle toute seule à me faire oublier Patricia ma belle métisse d'Haïti tout autant sexy et chaude que mon épouse.la mère de ma petite Audrey qui ça fait deux années est venue dans ce monde pervers et corrompu.

Aude à cinq ans de moins que moi. Quand nous sommes connus, elle n'était qu'une gamine de 19 ans, son mont de venus était très touffu, mais sa vulve surplombait sa haute touffe. J'aime la lécher à quatre pattes, car la vue de ses deux trous me mets dans un état où je ne peux pas me retenir et je lâche des râles et des mots cochons.vulgaire comme une personne ivre de vin.

Ça m'a pris six mois avant de convaincre Aude d'un rendez-vous. Le soir de notre première rencontre, elle est venue avec un pantalon de taille basse qui dessinait si bien son corps de guêpe. Elle était sexy, sophistiquée avec une paire de fesses bien ronde telle une fille des pays ensoleillés. Depuis toujours quand je rencontrais Aude dans les couloirs de l'école, je la laissais exprès de dépasser pour mater ses fesses, mais quand on se croisait je me retournais pour voir ses fesses se balancer. Son corps, son regard, tout en elle était une perfection. Je ne rêvais que d'elle dans la mes nuits et il m'arriva souvent bien avant de la persuader de mes nobles intentions, de baiser des filles on m'imaginant que c'est elle que je suis entrain de donner mes puissants coups de rein.

Nous sommes allés au Mc do manger un hamburger, elle était toute timide, peut être peur de se faire juger par ce qui n'ont pas encore compris que l'amour n'a ni sexe, ni religion ni couleur, qu'il frappe qu'il veut et rend aveugle même les plus savant de ce monde. Je prenais ses mains dans la mienne assis face à face et je la sentais tremblante. Je voulais la mettre on confiance et la proposant de la laisser partir de peur que ses parents s'inquiètent, mais elle refusa en me rassurant qu'elle a averti ses parents qu'elle passera nuit chez l'une de ses amies.

Après la sortie du fast foot, je ne savais plus quoi faire ni quoi lui dire. Elle me proposa d'elle boire un coup avant qu'elle ne parte chez sa copine. C'est avec joie que j'ai répondu à son invitation. Devant la bière, elle paraissait plus buveur que moi et d'un coup elle n'était plus gênée, elle commençait à me regarder droit dans les yeux en me faisant les yeux doux et moi de mon côté, ma queue était prêt à craquer, j'avais envie d'aller faire pipi, mais j'avais peur qu'elle s'aperçoive de mon gros bâton et qu'à la fin elle ait peur. Je ne contrôlais plus mon érection, je n'arrivais pas à penser à autre chose qu'à l'envie de la prendre dans mes mains. Aucunes n'autres astuces ne me venaient à l'esprit pour éteindre le feu qui me consumait. J'étais comme emporté dans un tourbillon, je n'avais pas la force de résister.

Aude

Je m'appelle Aude, mon Mari Delphin et moi avions décidés pour le troisième anniversaire de notre mariage, vous faire le témoignage de notre belle et riche histoire de notre amour. De notre belle union est venue celle qu'on aime tant Audrey, jolie petite colombe qui a aujourd'hui 2 ans.

Je suis née dans une famille où l'on respecte toutes les races, mais qu'on mes parents on appris que j'étais folle amoureuse d'un black, ils sont capotés. Au fil de temps, il on a appris à connaître mon ange et je peux dire aujourd'hui nous leur éblouissons tant on respire le parfait amour.


Qu'est ce que je n'ai pas entendu a propos de mon mari pour me décourager! Le chien aboie la caravane passe. Le bonheur que j'ai dans mon foyer, si seulement j'avais écoutées les autres, je ne l'aurais sûrement pas trouvée ailleurs. Mon mari est beau, il a une grosse queue digne d'un acteur de porno et au-delà de ces attributs, il est très attentionné.

A l'école, je m'étais aperçu de son regard insistant sur ma chose (mes fesses). Aucun n'homme ne me regardait avec autant de ferveur que lui. Je ne savais rien sur les noirs jusqu'à ce que je découvre un film porno des blacks dans l'un des tiroirs dans la chambre de ma mère. Rien que la pochette de film m'avait donné des frisons et sans que je ne me touche, ma chatte était toute mouillée. Aujourd'hui encore je m'interroge si c'est pas ce film qui pas poussé dans les bras de mon ange et quand j y pense peut être que ma mère aussi rêve d'une grosse et lourde bite noire hein! Peut - être qui sait! On est en Amérique.
Quand, j'ai visionné le film durant l'absence de mes parents, incroyablement je me suis à chaque séquence en pensant à Delphin. J'avais 19 ans et j'étais encore pucelle je ne sais pourquoi!

Le lendemain, j'ai raconté a mon meilleur amie le plaisir solo que m'a procuré le film et sans hésitation, elle m'a avouée avoir déjà a plusieurs reprise baiser avec des blacks et que Delphin était sur sa ligne de mire.

J'étais décidé de sortir de mon couvant et de goutter enfin aux plaisirs, voilà pourquoi quelques jours après, je n'ai pas pu décliner l'invitation de celui qui allait être plus tard mon mari.

Le soir de mon invitation, je savais qu'elle est le risque je courrais en allant a ce rendez - vous que je savais n'allait guère être galant. J'ai mis un pantalon qui moulait mon corps est sous mon pantalon, je n'avais pas mis de culotte tellement que l'été était chaud aussi chez que mon imagination. J'allais dans un seul but.baiser, pour enfin baiser et comprendre ce lien qui nous enchaîne.

Delphin

Quand nous sommes sortis du bistrot, j'avais la main de Aude dans la mienne et nous marchions lentement et tendrement vers je sais où. Après quelques mètres, je ne pouvais résister de l'envie de faire pipi et je m'excusa auprès de Aude et m'éloigna pour faire sortir mon liquide, mais la surprise fût que Aude me rejoint et baisa sans pantalon pour faire la même chose que moi. On était dans le noir, l'un à côté de l'autre entrain de nous vider la vessie.

Tout d'un coup elle cria :
- je n'ai pas de mouchoir pour m'essuyer!
Et je restais là débout sans s'avoir qui faire. Au fond de moi, je me suis dis, il faut oser!
- Moi non plus je n'ai pas de mouchoir, mais si tu veux je peux te donner mon contre sueur comme ça tu me le remettra quand tu l'auras lavé!
- Non, je ne peux pas faire ça
- Pourquoi pas! Ça ne me dérange pas du tout
- Trouve un autre moyen, mais pas celui là
- J'ai une autre suggestion, mais je peur de te choquer et de gâcher la belle soirée que tu m'as offerte
- Qui ne risque rien n'a rien. Me répondit-elle.

Guidez par un peu d'ivresse me voici derrière elle et voyant qu'elle était demeurer sans bouger ses main tenant son pantalon qui jusque là était toujours à mi cuisse, je le prie de se courber, écartant ses pieds, je m'agenouille derrière elle et je passe ma langue sur sa chatte. Je découvre qu'elle ne se rase pas, qu'elle est mouillée pas seulement des urines, mais aussi d'un nectar gluant. Je découvre sa vulve, je le tire tendrement et là, j'entends des râles, des gémissements gourmands. des supplications à continuer et je m'évertue de plus belle, le balade ma langue dans sa raie, elle cherche quelque chose pour s'agripper. Elle n'arrive plus débout, elle se met à quatre pattes, pose sa poitrine sur le sol et dans cette position son raie s'ouvre largement, j'essaie de la doigter, je me rends compte que mademoiselle est pucelle. Je ne me décourage pas autant, je continue ma ronde, je continue mon exploration de ses zones inexplorées, je suis doublement satisfait tant j'ai la conviction d'être le premier gars à fouler sa virginité. J'ai envie de faire durer le plaisir, je le remets débout et je l'embrasse tendrement, je la retire le soutien gorge et je lèche ses deux mamelons, elle tarde pas à jouir. Nous avons passés mine de rien plus d'une demi heure dans cet endroit obscure avant que je retrouve mon esprit

Aude

Quand, nous sommes arrivés chez Delphin, je ne pensais plus qu'a une chose : devenir enfin une femme normale. J'avais hâte d'arrivée chez et que les choses commence. J'étais ivre de bonheur, je crois que jamais ivresse n'a été aussi doux quand enfin j'ai compris ma véritable vocation sur la terre.

Quand, j'ai vu l'engin de Delphin, il était si immense, il était si tendu, je voyais les veines tout autour de cette machine noire, mais au lieu d'avoir peur, la vue de cette énormité monstrueuse faisait jaillir en une fontaine. J'avais des tétons dures, je ressentais mon clitoris battre comme le cour et les muscles de mes fesses se dilater.

Delphin me poigne la tête et me donne sa queue à piper, il crie, il sort de sa bouche des mots dur, cru, des phrases qui traversait mes oreilles et ricochaient sur mes parties du corps sensible. Je ne savais plus qui j'étais et le contraste de nos peaux rendait encore l'atmosphère beaucoup plus électrique. Je jouissais sans répit.

Au bout d'un moment, Delphin s'allongea sur le dos et m'indiqua de venir sur lui en 69. Croyez - moi jusqu'à la fin de ma vie je n'oublierais jamais la sensation que m'a procuré cette position. Nous avions jouis ensemble et j'ai avalé tout son foutre.

Delphin

Nous sommes allés prendre un bain, mais Aude avait toujours envie. Elle me dit :
- je ne vais pas rentrer vierge chez moi.
- Mais il se fait tard, il faut maintenant rentrer, car je ne veux pas que tes parents s'inquiète.
- Si je sors ici sans que tu ne me baises, alors ça prouve que je ne suis qu'un objet pour toi
- Ne dis pas ça je t'aime.
Malgré son appétit, j'étais au bout du rouleau et j'avais peur qu'on pense qu'elle a fait une fugue. Je l'ai tant bien que mal convaincu de partir. Elle est partie en claquant la porte derrière, je l'accompagnais, mais elle ne m'adressait pas la parole. Elle a pris un taxi sans même me regarder elle est partie.

Aude

Quand je suis arrivée chez ma copine, celle-ci dormait déjà. Je n'ai pas eu le temps de la raconter mon fantastique histoire cette nuit. Je ne parvenais pas à m'endormir, je pensais à ma chance de soir. D'un côté je remercias mon beau étalon et de l'autre je le maudissais de m'avoir pas combler totalement, mais les quelques heures en sa compagnies était magique. J'étais demi frustrée, demi comblée. Tandis que ma copine dormait, je pensais la main dans la chatte à la queue et à la langue savant de Delphin. Je me masturbais et je crois que n'importe quel mâle qui pouvait me surprendre en ce moment aurait eu ma chatte et n'importe quelle caprice lui serait accordé.

Au levé du jour, j'avais envie d'aller retrouver Delphin, mais mon orgueil me défendit. J'avais toujours cette envie.baiser
Après un bain chez moi, je suis sortie dans le seule espoir baiser et ce que femme veut Dieu le veut, j'ai appelé Gary, un don juan, un séducteur de première classe. Aucunes filles ne le résistent. Il change les femmes comme on change les couches aux nourrissons. Il me draguait depuis longtemps, mais je ne voulais pas qu'il sache que j'étais pucelle, mais après les initiations de Delphin, je pensais bien qu'étant vierge, je peux aussi donner que recevoir.
J'invite Delphin chez nous, et je suis d'attaque. Je mets un body sans soutien et une jupe en jean sans slip. La jupe est tellement courte que je sais que Gary ne va mettre du temps pour s'en rendre compte.

Gary arrive, je vais l'ouvrir. Il sent bon, j'ai envie de lui sauter au coup, mais je ne sais pas ce qui me retient. Il me demande pourquoi je tiens à le voir et sans attendre, je le répond que je l'aime. Il se jette contre moi, me plaque contre le dos soulève ma jupe et sans préavis voilà sa queue (sa petite queue) heurte le paroi de cul. Monsieur veut m'enculer. Je retrouve mes esprits avant qu'il ne soit trop tard et je le dis de m'attendre au salon pendant que je vais appeler Delphin et lui dire que je l'aime. Je supplie Delphin de venir me rejoindre avant que je ne fasse une bêtise.
Je descends de la chambre et je trouve Gary totalement nu sur le sofa. Je m'assoie à côté de lui en attendant le secours de Delphin. Je le langui un peu question de faire passer le temps. Je le touche la queue et quand il veut autre chose, je trouve un prétexte. Quand la sonnerie sonne, je vais sortir Gary par en arrière et je courir ouvrir Delphin. Sans perdre une minute, je dis à Delphin ce que je ressens pour lui et là, en un temps record, il me déshabille, me suce les tétons, s'assoie sur le sofa et m'invite à m'empaler sur sa queue, j'exécute, mais quel calvaire. Je sens son gland à l'entrée de ma chatte, je sens qu'il va me déchirer. J'ai mal, mais c'est des douleurs nuancées, quelque chose d'extase .je suis à la frontière du mal et du bien. Petit à petit, la douleur fait place au plaisir. Je sens quelque chose d'extraordinaire, un corps étranger qui est entrain de se frayer un passage dans mes tripes. Je sens mon ordre intime soumis à des pulsions ravageur de ce qu'on peu dire la queue de cheval.

Je bouge mes reins les yeux clos, je divague, de gémis et maintenant je sens le piston entièrement dans mon ventre. Je suis en étau et mon homme a ses deux mains sur mes fésses , il me les a bien écarté, il m'aide a monter et à descendre, waouhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!





Aude et Delphin.

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