TITRE : Au palais de justice
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Palais de Justice

Il est 9h du matin.

Je suis déjà là depuis un quart d'heure ; j'avais peur de ne pas réussir à me garer mais une place s'est libérée dans une rue adjacente alors que je faisais le tour du bâtiment.

Frein à main ; je coupe le contact, un dernier coup d'œil dans le rétroviseur intérieur : je n'ai pas très bonne mine. Une petite touche de rouge sur les lèvres : plus pour le moral que pour une réelle efficacité esthétique.

Je dois voir le juge et mon futur ex-mari pour la conciliation… Et bien sûr mon avocat.

Je ne sais pas ce qui me rend plus nerveuse : revoir Louis, pénétrer dans un lieu et un milieu inconnus pour une procédure plus obscure encore, ou revoir MON avocat ? Sûrement un mélange de tout cela : mettez le juge, l'avocat, le Palais, l'ex dans un shaker, remuez bien et vous verrez que ça fait de sacrées bulles dans ma tête. Si je fumais, je pourrais au moins me venger sur une cigarette. Je ne bois pas non plus. Mon seul vice est le sexe, et là ce n'est pas trop le moment… Quoique… pendant que je suis plongée dans ces pensées, je vois mon beau juriste qui me fait signe en haut des marches de l'escalier de pierres. Il y a plein de monde, une vraie fourmilière d'hommes et de femmes riant, criant, gesticulant. Mon cœur bondit dans ma poitrine. C'est la première fois que je le vois en robe. En d'autres circonstances, j'ironiserais sûrement, d'ailleurs sur un autre je trouverais sans doute ça ridicule. Mais lui, il porte beau et il m'impressionne.

Je me surprends à faire un parallèle sur les écossais qui sont censés d'après la légende, ne rien porter sous leur kilt. Et l'avocat alors ? Quid sous la robe ?

Il faut que je me calme.

J'ai encore 10 marches pour faire dévier ma pensée.

10, les couilles poilues des écossais en gros plan

9, une bite bien dure sous la robe

8, rien à faire, je suis focalisée sur les dessous de sa robe

7, je repense à son sexe en érection, je voudrais le voir pointer sous l'austère tissu noir.

6 marches, je me sermonne, me force à penser au noir comme couleur de deuil, triste, sois triste et sérieuse ma fille.

5, je mouille, est-ce qu'il bande ?

4, plus que 4 : ressaisis-toi.. oh oui, le saisir, l'empoigner, l'enfourcher…

3 marches, mon nez à hauteur des Westons, je relève la tête ; je sens son parfum ; j'ai envie qu'il me prenne comme l'autre jour dans son bureau

2, je suis toute mouillée

1, c'est foutu, il y a écrit bite, bite, bite dans mes yeux

Zéro : je croise son regard en lui serrant la main ; message reçu 5 sur 5


Mon cher Maître m'adresse son sourire qui me fait fondre auquel s'ajoute une once de lubricité qui ne gâche rien, bien au contraire. Il m'annonce que le juge aura du retard et me propose de nous trouver une salle tranquille pour faire une dernière mise au point sur le dossier.

J'ai bien une mise au point à faire mais c'est entre ma foufoune et moi : je dois lui dire deux mots à celle-là ; non mais elle n'est pas un peu folle de couler autant alors que j'ai un mini-string et des bas ? Je sens les gouttes qui dégoulinent le long de mes cuisses ; je suis sûre qu'un observateur attentif peut le remarquer quand je lève les jambes pour gravir l'escalier.

Mais je n'ai plus beaucoup de distance à parcourir ; nous empruntons un corridor au premier étage ; plus nous avançons, moins il y a de monde et plus il fait sombre. Oui, ce sera vraiment une « salle tranquille ».

Nous sommes au fond du Palais ; il y a de moins en moins de lumière, et les bruits nous parviennent étouffés.

J'ai eu le temps de ma calmer un peu.

Il ouvre une porte latérale ; nous sommes dans ce qui ressemble à une salle d'audience désaffectée : mobilier en bois, hauteur de plafond imposante mais aucune fenêtre ; il n'allume pas la lumière.

Il pose sa serviette sur un banc, l'ouvre et en sort un épais dossier.

Lorsque je reconnais la ficelle de mon string qui dépasse du papier cartonné, je rougis jusqu'aux oreilles.

Il me demande ce que je pense de sa tenue.

« - Intimidante.

- Pourquoi ?

- On se demande ce qu'il y a en-dessous.

- Venez donc vérifier par vous-même »

Je m'approche timidement ; il me saisit la main et la fourre dans ce que je crois être une poche : surprise : la poche n'a pas de fond ! Et je me retrouve en possession d'une belle bite bien dressée qui a déjà le crâne légèrement gluant.

Je me fais l'effet d'une petite fille à la sortie de l'école qui a été cherché un sucre d'orge dans la poche du vieux monsieur en imperméable.

Sauf, que je n'ai plus l'âge des couettes et des jupettes et que le sexe ne me fait plus peur. Au contraire ! Je saisis donc ce qui m'est si gentiment tendu à pleines mains et entreprends de branler l'animal. Sa bite durcit au contact de mes doigts qui montent et descendent, effleurent le gland, retournent à la base, caressent les bourses au passage. J'ai des envies primitives de sentir, et lécher l'objet de mes désirs.

Je me glisse sous la robe ; je m'agenouille. Il s'assied à demi sur le banc derrière lui et écarte les jambes en me caressant la tête à travers le tissu.

Je renifle l'odeur de son sexe mêlé déjà à celui de ma salive ; j'aime ! Je suis hyper sensible aux odeurs. Je distingue en arrière fond le parfum de la lessive utilisée pour son linge, mêlé à son parfum de grande marque. Je plonge mon nez comme un chiot : je distingue l'odeur brute de son sexe et je mouille comme une fontaine.

Lasse de renifler, je gobe à nouveau sa bite, je l'avale tant que je peux pourtant elle est si longue que je ne peux l'avaler jusqu'au bout, mais mes tentatives sont récompensées par ses légers gémissements ; je sens qu'il apprécie le traitement. Je l'inonde de ma salive, je lèche goulûment ; je sens la sève qui monte et sa queue qui prend encore du volume. J'ai la bouche pleine de son sexe et j'aime ça. Il ne dit pas non !

Mais ces apéritifs m'ont mis en appétit, il s'agit de passer à un menu plus consistant.

Je ressors de sous la robe.

Coucou, le petit oiseau est sorti !On se croirait sous le drap d'un photographe des années 1900 qui se cache pour effectuer son cliché !

Mon avocat a l'air bien excité : je vois le rictus de ses lèvres, la lueur de son regard.

Je sens que ça va être ma fête ; bingo !

A peine le temps d'émerger qu'il m'attrape et m'allonge sur le banc. Il relève ma jupe, découvrant mes bas et ma culotte-porte-jarretelles.

Il s'agenouille et embrasse mon sexe à travers le tissu ; ça fait chaud d'abord, puis froid quand il s'en va ; je ne veux pas qu'il s'en aille, je le chope par la nuque et l'invite ou plutôt lui intime l'ordre de poursuivre ses investigations. Il écarte mon slip et commence à me lécher autour du trou qui ouvre sur mon vagin ; il lèche le pourtour avec application, et à chaque tour, s'insinue un peu plus. Je suis en train de cirer le banc avec ma mouille ; encore quelques séances comme ça et je pourrai présenter ma facture au Ministère de la Justice pour avoir nettoyé avec application tous les bancs du Palais (voire le personnel avec) !

Mais je m'égare… Et sa langue aussi, elle s'engage de plus en plus profondément dans mon intimité ; je fais des sauts de cabri tant je ressens des décharges de plaisir ; Il est doué le bougre ! Ses mains ne restent pas inactives, elles sont passées sous le soutien gorge et me pétrissent les seins ; les tétons sont durs et rouges ; j'aime ses caresses, j'aime ses mains viriles sur ma peau. Puis sa langue abandonne mon orifice, remonte le long des lèvres jusqu'au précieux capuchon qui est déjà tout dressé, attendant son tour d'être agacé par cette langue experte. Il le caresse d'abord entre ses doigts, puis s'approche, le léchouille, et enfin l'aspire. Je crie. Il m'ordonne de me taire. Mais je ne peux pas me retenir tant la sensation est forte !

Alors, il dénoue sa cravate et me baillonne en quelques rapides mouvements. Mes gémissements sont étouffés et il peut jouer avec mon clitoris tant qu'il veut ! Je ballotte sur le banc, je ne sais plus où j'habite et comment je m'appelle, je suis aux ordres de cette bouche qui m'aspire, me suce, me lèche.

Mon corps se tend, mes mains battent l'air et je jouis violemment. Je retombe pantelante sur le banc.

Il se redresse, je le regarde : il a le menton et le bout du nez luisants de ma cyprine ; j'ai envie de lui lécher le visage pour le nettoyer ; on dirait un chat qui a bu une écuelle de lait… enfin, plutôt un truc genre huile ou margarine pour que ça brille comme ça !

A propos de félin, moi j'ai la chatte béante ; on pourrait y rentrer à plusieurs sans problèmes !

Mais Monsieur a d'autres plans.

Il sort de sa serviette un gros gode, qu'il me montre. J'ai le temps d'avoir peur de sa circonférence et il me l'enfile alors lentement puis d'un coup sec ; je m'arc-boute sous l'assaut. Il fait quelques va-et-vient avec l'objet ; j'ondule au même rythme.

Je suis de nouveau excitée. Il remplace l'objet par sa propre bite, revêtue d'un préservatif vert qu'il vient d'enfiler sous mes yeux. Je suis allongée sur le banc, jambes repliées, les genoux sur la poitrine et il me besogne.

Alors, il approche à nouveau le gode et alterne, il sort son sexe, enfile l'objet, le ressort, le remplace à nouveau par sa bite. Les deux bâtons sont bientôt luisants et gluants.

Il ressort, se met à genoux et m'écarte les fesses d'une main. De l'autre, il approche le godemiché et le présente à l'entrée de mon cul ; il pousse, un peu, beaucoup. Ça ne passe pas tout seul ; alors il me lèche un peu le trou et patine avec ses doigts ; au deuxième essai, l'arme s'enfonce m'arrachant un cri ; il l'enfonce aux deux tiers et le bouge lentement ; je miaule, mais la cravate retient l'essentiel de mes manifestations bruyantes.

Alors maintenant l'objet dans mon cul, il vient m'enfiler par devant et le gode lui caresse le périnée tandis qu'il le maintient de la main droite en me tenant la hanche de l'autre main.. Il pousse, avance, recule, revient à l'assaut, et le gode suit la cadence. Je me sens possédée par les deux trous, je suis une vraie salope, et je coule, je mouille ; sa bite est trempée de mon excitation.

Il me fait part de son propre désir en termes crus.

Eh oui, la salope aime se faire mettre (surtout par lui) et par tous les trous …

Il la possède. Elle est sous sa coupe, entièrement soumise à son désir et à la vigueur de son membre.

Je me surprends entre deux gémissements à jouer à Marabout-boutd'ficelle. Vous connaissez ?

Chez moi ça donne : avocat au gros membre - membre du barreau – barreau de chaise – chaise percée – perce-moi le cul … etc ….

Je suis écartelée entre des deux gros outils qui me remplissent et me comblent ; nous sentons l'orgasme monter…

C'est alors que je l'aperçois : elle est au fond de la salle, près de la porte d'entrée. depuis combien de temps est-elle là ? Elle a pu rentrer, refermer la porte derrière elle, sans que ni lui, ni moi n'y prêtions attention, trop empressés à combler nos désirs.

Elle, qui est-elle ? Cheveux longs et noirs, grande mais plutôt ronde : des formes pleines à remplir la main d'un honnête homme ; la croupe généreuse, les seins épanouis en fin de carrière car elle semble approcher de la cinquantaine, mais encore vaillants, un ventre un peu lourd mais le tout donne une impression harmonieuse et souple. Elle porte un pullover vert olive, très moulant qui souligne encore ses formes et une jupe noire, longue et fendue sur les côtés sous lesquels on devine de longues bottes.

Mon avocat a suivi mon regard et elle est entrée dans son champ de vision ; il n'a pas l'air plus gêné que ça. Coutumier du fait ?

La suite me donne raison.

« - Maître, toussote-t-elle, je pensais bien vous trouver là… Monsieur le juge vous fait dire qu'il vous recevra dans une demi-heure, il est retenu pour un placement d'urgence.

- Bien, nous serons prêts.

- Bon, je vous laisse.

- Mais vous pouvez rester et vous joindre à nous si le cœur vous en dit, ma chère.

- Est-il vraiment question de cœur ?

- Alors, si le cul vous en dit… »

La femme s'approche à petits pas tandis que mon avocat reprend son labeur ; je suis complètement refroidie par cette intrusion et n'ai qu'une envie : me rhabiller et me sauver à toutes jambes !

Maintenant elle est tout à côté de moi ; je sens son souffle et sa poitrine se soulève de plus en plus vite ; m'est avis que la situation commence à lui plaire.

Et zou, je vois sa main qui disparaît sous sa jupe ; je regarde les traits de son visage devenir de plus en plus expressifs au fur et à mesure que sa main s'active. Ce sont mes orifices offerts qui la stimulent. Car mon avocat ne s'est interrompu qu'un court instant et pistonne de plus belle mon sexe de sa bite dure et droite et mon cul de son godemiché qu'il agite fermement.

Madame commence à gémir : je vais devoir lui prêter un bout de cravate, si mâchonné soit-il si elle continue !

Mais moi aussi elle me fait de l'effet : j'ai envie de pétrir son opulente poitrine, d'aller voir sous les plis de sa jupe… Alors, je glisse ma main à la rencontre de la sienne et elle me cède la place ; j'avance à tâtons : je sens sa toison frisée qui crisse sous mes doigts, je passe doucement sur les lèvres qui s'entrouvrent un peu plus à chaque passage jusqu'à frayer une voie royale à mon index. Sa peau est douce et tiède. Mon doigt se mouille à sa source, tandis qu'elle se pâme en écartant les cuisses. Mon avocat se retire et ne maintient que le gode enfoncé dans mon fondement.

Je caresse son vagin de l'intérieur, puis je me dirige vers le clitoris et je le heurte très doucement. Jackpot ; elle fait un bond ! Sitôt redescendue, je vois son regard qui devient autoritaire ; elle ne me laisse pas le temps de m'interroger : elle grimpe sur la table à califourchon au-dessus de moi ; je suis sous sa jupe fendue et je constate qu'elle n'a pas de culotte ; elle me présente sa motte toute chaude et c'est à moi de jouer.

Je balance la cravate par terre et lui empoigne ses larges fesses.

Je la lèche avec application et mes coups de langue sont récompensés par une pluie abondante et des cris que notre avocat s'empresse de lui demander de ravaler. Elle chasse mon juriste et prend en mains le gode : c'est elle qui dirige le mouvement maintenant et l'enfonce avec un rythme lent mais régulier ; elle le tourne lentement en même temps à gauche puis à droite, prouvant par là un art consommé de l'usage de ces joujoux. En même temps, ses doigts jouent avec ma chatte.

Notre avocat n'a plus qu'à se mettre en retrait : bite en main, il se branle en nous regardant jouer entre filles à broute mi-broute moi . Car de temps à autres, elle se penche et sa langue remplace ses doigts sur et dans mon sexe.

Finalement, je sens ses lèvres qui gonflent, son clito tout dressé, la cadence de ses caresses s'accélère et tout son corps se tend, se cambre sous l'effet de la jouissance ; j'ai ma figure sous son sexe qui vient d'expirer de plaisir.

Elle reste quelques secondes interdite, immobile, le temps de reprendre ses esprits ; elle redescend de la table et regarde mon avocat : « voyons, je ne peux pas vous laisser faire ça tout seul »

Elle se baisse et s'apprête à le sucer quand celui-ci sans crier gare lui éjacule en plein visage.

La voilà repeinte et lui vidé.

Devant ce spectacle, je me termine à la main en m'aidant du gode toujours fiché dans mon cul.

A mon tour, je jouis et sans cravate pour m'arrêter, je manque ameuter le palais.

Mais, vite, Monsieur le Juge attend.


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