TITRE : Au collège on s'éclate
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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J'étais en 3ème, à 15 ans, je découvrais les plaisirs de la chair, et aussi les plaisirs solitaires.

Etant un élève assez peu discipliné, je me retrouvai un mercredi après-midi, avec au programme 4 heures de colle.

Le mercredi après-midi, le collège est relativement désert, et je me retrouvais seul en retenue avec un pion. Au bout de 2 heures de copiage de punition, celui-ci me dit que j'en avais assez fait, qu'il avait son emploi du temps chargé et que je pouvais m'en aller.

Nous quittâmes donc la salle, mais je ne voulais pas partir sans avoir eu l'occasion d'assouvir un petit fantasme d'adolescent. Ayant les hormones en ébullition, j'avais dans mon cartable une revue porno, et il m'arrivait de me masturber dans les toilettes du collège.

Pour m'amuser un peu plus, j'allai, comme j'étais seul, dans les toilettes des filles. J'eus notamment la surprise de voir écrit sur le mur mon nom, avec "je t'aime", ce qui m'excita d'autant plus. Je m'installai dans un cabinet, qui, manque de chance, avait le loquet endommagé, et ne fermait pas à clé. Considérant que j'étais seul, ça ne me gêna pas, et je me déshabillai, et commençai à me pignoler en feuilletant le magazine.

Seulement, ce que je ne savais pas, c'est qu'il restait une femme de ménage, qui devait passer nettoyer les toilettes. J'étais très concentré dans mes plaisirs solitaires, et je ne l'entendis pas arriver. Elle entra et me vit peu après, la main sur mon sexe rougi, avec une belle érection, avec mes habits par terre.

Sur le moment, je ne savais quoi faire, je risquais le renvoi. En fait, je ne me posai pas de question, et de façon totalement impulsive, n'ayant plus grand chose à perdre, je m'avançai vers elle, qui ne bougea pas ni ne dit mot. La porte d'entrée des toilettes s'était refermée d'elle même, et je pris la main de la femme de ménage.

Elle était brune, yeux noirs, 35 ans environs, 1m70, bien en forme sans être grosse du tout, mais avec de gros seins et une belle bouche. De la main gauche, je l'ammenai vers moi, et sans mot dire, je la serrai contre moi et lui mis l'autre main sur les fesses. Elle avait sa robe tout sauf affriolante, et je commençai à lui caresser le corps de ma main gauche, en lui roulant de grosses pelles bien baveuses.

A présent, tous deux savions ce qui allait se passer, puisqu'elle m'avait donné, dans son mutisme, son feu vert. Je lui pelottai vigoureusement les seins tou en l'embrassant, et elle posa ses mains sur mon torse puis mes fesses. Dans notre précipitation, nous fîmes de rapides présentation, et j'appris qu'elle s'appelait Louise. Je posai ma bouche à hauteur de ses seins, et les gobai comme si je la tétais, faisant apparaître de grosses auréoles au niveau de ses mamelons. Elle, pendant se temps-là, avait pris mon sexe en main et me branlait assez puissamment, sans trop maîtriser son geste. Je passai ma main sous sa robe, et découvris sa petite culotte, dans laquelle je me glissai pour la caresser. Alors qu'elle m'embrassait et me léchait le corps de plus en plus goulûment tout en me travaillant la verge (heureusement que je m'entraînais, pour être bien endurant), je déchirai sa petite culotte, qui me resta dans la main et que je mis dans la bouche de Louise, qui la recracha bientôt. Je frottai mon sexe contre sa robe, que je faisais frotter contre son entrejambe, puis la doigtai assez profondément, mettant jusqu'à quatre doigts simultanément. Elle enleva d'elle même sa robe, alors que nous étions toujours debouts dans la pièce commune des toilettes des filles, et la jeta avec négligence sur la partie de la pièce où le sol était le plus sale.

Je baissai sa tête, et elle se mit à me sucer, tout en me branlant, au début du bout de la langue, en me titillant le gland, puis en essayant de rentrer ma verge en entier dans sa bouche pleine de désir. Je fis tomber son soutien-gorge, son dernier vêtement avec ses chaussures, pendant la fellation, découvrant un 105 D de toute beauté. Nous enlevâmes nos chaussures, puis je l'assis sur les lavabos centraux de la pièce, en forme de fontaine, pour lui faire un petit cunni de remerciements. Je sentais sa mouille sur ma langue, son corps était brûlant, comme le mien d'ailleurs!

Comme tous les adolescents de mon âge, j'avais toujours une capote dans mon portefeuille, qu'elle me fit le plaisir d'enfiler buccalement. Ensuite, je la portai à bouts de bras et, debout, je commençai à l'abaisser, alors qu'elle était assise sur mes bras, et j'entrai en elle, alors qu'elle m'aidait d'un geste de la main. Nous fîmes l'amour, au début lentement, puis crescendo, pour atteindre un rythme très cadencé, bestial, qui ne nous quitta pas jusqu'à la fin. Elle s'accrochait contre moi de toute sa force, me griffant le dos, m'embrassant à pleine bouche, bavant même, lorsqu'elle ne gémissait pas ou criait "oui, vas-y, c'est bon". De mon côté, je prenais un plaisir jamais ressentis, et plus elle bougeait et exprimait sa joie, plus j'avais enviede lui en donner. Ensuite, je la reposai sur le sol, et nous continuâmes en levrette, toujours violemment, mes couilles frappant contre sa peau. Elle était cambrée, ce qui me faisait presque mal à la verge, mais comment peut-on parler de mal dans des instants pareils. Je lui enfonçai quelques doigts dans l'anus, et voyant qu'elle ne repoussait aucune de mes initiatives, après l'avoir bien lubrifiée par un bon cunni anal, je la sodomisai. C'était sa première fois, mais elle ne la regretta pas. Elle criait de plus en plus fort, et je priais pour qu'aucun de mes professeurs ait décidé de faire des heures supplémentaires ce jour-là. Lors de cette partie, elle jouit à deux reprises. Nous avions finis par nous poser sur le sol moite, posés sur les flancs, intervertissant sans cesse entre son vagin grossi par le plaisir et son anus dilaté.

Elle finit par me faire une branlette espagnole, qui me fit éjaculer comme jamais auparavant. Elle avala mon sperme, et nous partageâmes celui qu'elle avait sur le visage en se roulant des galoches tout en caressant nos sexes ivres.

Nous échangeâmes nos sous-vêtements, trophées de cette expérience si voluptueuse, mais qui ne fut pas sans lendemain. En effet, mon année de troisième fut marquée par un rapport privilégié avec les lieux (il nous est arrivés de nous voir en dehors de l'établissement), et c'est avec regrets que je dus me résoudre à aller au lycée, non sans avoir visité avec Louise le bureau du principal. J'avais eu une prof exceptionnelle pour l'éducation sexuelle, que je conseille fortement.



L'étudiant

 

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