Assise, presque allongée, Martine avait légèrement écarté
ses cuisses rondes et pleines, gainées par des bas, accrochés
à des jarretelles. Elle devinait que le type, appuyé sur
le dossier du canapé, reluquait par-dessus son épaule, dans
le creux qui séparait à peine ses seins opulents, gonflés
de sève, mis en valeur par un balconnet qui leur en couvrait
à peine les pointes. D'ailleurs elle sentait le regard lourd
qui matait cette excitante partie de sa personne.
Elle en tirait une sorte de plaisir trouble et salace. Etre
regardée de la sorte la faisait se sentir salope…ce qu'elle
était en réalité. Une authentique salope, qui sous ses airs
de ne pas y toucher était obsédée par le sexe. Elle prenait
plaisir à voir les hommes lui tourner autour, lui faire
des compliments de plus en plus directs ; insistant sur
la forme de sa bouche, sur ses lèvres pleines, évocatrices
de plaisirs buccaux. Elle ne détestait pas, au cours d'une
soirée, mettre en concurrence les quelques mâles présents,
supputant leurs performances et salivant d'avance sur ce
qui allait se passer.
Sentir ces hommes la mater, avec des yeux pleins de concupiscence,
anticipant ce qu'ils pourraient lui faire s'ils la coinçaient
quelque part, la faisait mouiller.
L'homme, derrière elle, venait de se pencher pour lui parler
à l'oreille. Sa voix, grave, lui murmurait qu'il aimerait
bien se trouver ailleurs avec elle.
- Pourquoi faire ?
- Pour vous faire ce qu'un homme, qui vous trouve à son
goût, aimerait faire avec une belle femme comme vous.
- Mais encore ?
- Vous me plaisez, vous êtes belle, sensuelle, désirable.
Je sens en vous une ardente femelle qui doit pouvoir, hors
les principes rétro qui régissent notre société, accepter
que je lui rende hommage.
- Vous êtes audacieux, monsieur, qui vous dit que je suis
d'accord ?
- Depuis que je vous reluque et vous le savez, j'ai vu vos
cuisses bouger nerveusement, votre poitrine se soulever
amplement et surtout, j'ai deviné sous le chemisier, que
les pointes de vos seins devenaient turgescentes et gonflées.
Tout en parlant, l'homme avait glissé sa main droite dans
l'ouverture du vêtement et avait commencé à opérer un lent
massage du globe charnu qu'il avait empoigné. Martine aurait
du se lever, partir, l'engueuler ce con prétentieux…pour
qui se prenait-il ? Mais en fait, elle se sentait incapable
de se défendre. D'ailleurs en avait-elle envie…elle se laissait
aller à son inclination pour le sexe. Elle allait juste
faire durer le plaisir pour que son excitation monte encore,
ainsi que celle du type. Elle allait se faire désirer, tripoter,
malaxer, palucher, fouiller.
Ses cuisses s'étaient ouvertes un peu plus, dénudant la
chair brune au-dessus des bas. L'homme était venu s'asseoir
à coté d'elle ; déboutonnant le chemisier il en avait sorti
les deux pamplemousses de chair et avait commencé à en sucer
les pointes, pendant qu'une main remontait sous la jupe
pour venir caresser sa vulve qu'elle sentait gonflée et
trempée. Deux doigts s'étaient insinués sous l'élastique
du string et avaient commencé à glisser doucement sur son
clitoris.
Putain qu'elle était bien…
La pénombre de la pièce lui laissait tout de même deviner
l'érotisme de sa position. Dépoitraillée, troussée comme
une bourge qui s'encanaille, elle haletait, soupirant de
plaisir chaque fois que les doigts qui la fouillaient rentraient
dans son ventre, dont elle sentait les muqueuses réagir
en coulant comme une fontaine.
Je suis une vraie salope, une pute, je ne sais pas me retenir
devant une bonne séance de baise qui s'annonce. Et il sait
s'y prendre ce salaud ! Il me bouffe les seins, me trempe
la chatte, me fouille le vagin, me pince le clito à me faire
gueuler…quelle obsédée de bite je suis. Et si quelqu'un
rentre, je fais quoi ?
L'homme l'avait poussée, pour qu'elle s'allonge sur le canapé.
Sortant un sexe lourd, épais, au gros nœud bien rond, il
avait commencé à se caresser en la regardant droit dans
les yeux, en lui murmurant d'une voix sourde et excitée,
qu'il allait lui rentrer ce mandrin dans le ventre, écarter
les lèvres de son sexe pour s'enfoncer dans sa chatte trempée,
coulisser dans cette gaine qui n'attendait que ça ; qu'en
fait elle n'était venue à cette soirée que pour se faire
posséder, bourrer, défoncer, qu'elle voulait de la bite,
de la queue, du foutre ; se sentir remplie, pleine, repue,
gorgée.
Ce con savait y faire pour l'exciter. N'en pouvant plus,
elle lui avait, presque de force, pris le sexe d'une main
pour se l'enfoncer dans la bouche, en pompant goulûment
comme si sa vie en dépendait.
Son autre main avait empaumé sa chatte, pour la malaxer
à pleine main, en triturer le clitoris qu'elle sentait congestionné,
raide et presque douloureux.
La porte s'était ouverte tout doucement….
Deux ombres, imprécises, s'étaient faufilées en silence
en direction du couple qui tout à son affaire ne s'apercevait
de rien, cherchant un coin pour pouvoir satisfaire une envie
qui ne pouvait être accomplie en public, dans la pièce de
réception pleine de monde, même si d'aucun constatant l'absence
de une ou deux personnes se doutait bien de ce qu'il fallait
en penser.
Voyant les deux occupants précédents très affairés, la nouvelle
venue était allée s'adosser au mur de la pièce, relevant
sa jupe ample qu'elle avait serrée dans sa ceinture de cuir,
pour en faire comme une sorte de minijupe. Debout, celle
qui était connue sous le nom de Muriel, se laissait aller
à la vague de bonheur qui lui envahissait le corps. Les
doigts experts qui lui fouaillaient le sexe faisaient aller
et venir une houle qui irradiait, concentriquement, dans
chacun de ses nerfs.
Au début de son contact, elle avait essayé de ne pas venir
dans cette partie isolée de la maison, sentant qu'elle allait
encore céder à cette sorte de drogue qu'était pour elle
le sexe, et puis, une fois de plus, pleine d'un désir salace
et crapuleux elle se donnait en spectacle à deux inconnus
qui pour l'instant ne s'intéressait pas à elle…pas encore.
Elle se savait ainsi faite. Elle n'avait jamais pu résister
longtemps, quand on savait la prendre et son instinct de
salope prenait vite le dessus. Les mains de l'inconnue,
qui l'avait abordée au début de la soirée, venaient de se
poser sur sa poitrine, la caressant avec avidité, faisant
monter un fourmillement dans ses pointes qu'elle sentait
durcir.
Elle ne se reconnaissait plus…une femme…c'est une femme
qui la faisait soupirer et se tordre de plaisir. Pourtant,
jusqu'à présent, c'est uniquement aux hommes qu'elle se
livrait sans retenue, quand ils lui plaisaient, pour faire
jouir son corps de salope exigeante. A ces moments là elle
devenait autre, une sorte de pute en rut, avide de sexe
et de jouissance, pouvant se livrer dans la même soirée
à plusieurs mâles pourvu qu'ils soient bien pourvus coté
queues.
Les queues, elle les aimait lourdes, rondes du bout et turgescentes,
avec des couilles velues et pleines qu'elle pourrait griffer
délicatement tout en les pressant pour en extraire tout
le suc. La dernière fois, elle avait flippé comme une bête,
se faisant posséder allongée sur une table, les jambes à
la verticale, pour mieux sentir la poussée du sexe qui s'enfonçait
en elle. De ses mains libres elle s'était caressée les seins,
qu'elle avait pleins et lourds, aux pointes grosses et dures,
pendant que sa bouche recevait le poids d'une autre grosse
bite, qui lui balançait du sperme à gros jets épais. Ces
souvenirs, récents, et d'autres, qui lui revenaient mélangés,
la plongeaient dans une torpeur trouble qui la mettait en
situation d'hypnose. Pour l'instant, adossée et dépoitraillée,
Muriel se laissait aller à ces mains qui étaient sur elle,
la pinçait, la caressait, pénétraient dans les replis de
sa chair excitée, faisant monter encore plus la tension
qui l'habitait.
Une bite, il lui faudrait bientôt une bite. Il faudrait
qu'elle sente un pieu de chair chaude s'enfoncer dans son
ventre ; qu'une masse pesante l'envahisse en force, la remplisse,
la comble, pendant que des mains expertes continueraient
de l'exciter.
Muriel réalisa, à ce moment là, qu'apparemment, plus de
deux mains s'occupaient d'elle. Entrouvrant ses paupières,
elle vit dans la pénombre, un homme qui malaxait sa poitrine
en même temps que la jeune femme qui l'avait entreprise.
Aussitôt elle sentit monter la tension de plusieurs crans.
Martine s'étant poussée dans un coin du canapé, Muriel alla
s'y allonger, à plat ventre, sentant en même temps sa jupe
se détacher de sa croupe cambrée.
Un sexe long et épais vint s'appuyer entre ses fesses qu'elle
releva instinctivement. Elle ne voulait pas être pénétrée
tout de suite, mais plutôt être caressée par ce gland qu'elle
sentait vibrer contre elle.
Les mains de l'homme pétrissaient sa chair avide de caresses,
augmentant les frissons qui la faisaient jouir, comme une
belle salope bien bandante qu'elle était. Martine s'était
rapprochée, pour s'asseoir devant elle et, lui prenant la
tête à deux mains, l'avait appuyée sur sa vulve de brune,
qu'elle avait bien renflée et chaude.
Ne sachant plus où elle en était, Muriel se mit à embrasser
cette bouche velue qu'on lui imposait. Surprise mais habile,
elle agit comme sur un sein, se mettant à téter goulûment
le clitoris qu'elle avait dégagé d'entre les lèvres. Martine,
poussant un gémissement venu du fond de la gorge, se paluchait
les seins avec frénésie, en faisant grossir les pointes.
Ce que voyant, le type qui promenait son membre sur la croupe
de Muriel se pencha en avant pour les lécher et mordiller
copieusement. N'y tenant plus Muriel se mit à quatre pattes.
Comprenant immédiatement l'homme pointa son sexe raide et
turgescent au centre de cette croupe de rêve et s'y enfonça
d'un coup de reins long et puissant. Ses mains s'abattirent
sur les hanches fermes et rondes et s'y agrippant il se
mit à aller et venir à grands coups lents, amples, pénétrant
un peu plus profondément à chaque fois la femelle qui s'était
mise à gémir, sans toutefois s'arrêter de bouffer la chatte
de l'autre salope en rut.
Un sentiment étrange et diffus l'envahissait. Etre entre
ces deux personnes, qu'elle ne connaissait pas, qui lui
faisaient l'amour pour le plaisir de la baise, sans fioriture,
lui mettait le feu au ventre. Elle allait jouir. Elle n'en
pouvait plus d'excitation et de stupre. Elle voulait sentir
son sexe inondé de foutre ; sentir le membre vibrer nerveusement
pendant la décharge ; ressentir ce gonflement de la bite
quand l'homme se retient avant de tout lâcher.
Elle se mit à s'agiter plus frénétiquement encore, criant
son besoin de foutre, de bite, de queue, de décharge chaude
et puissante, oubliant l'autre salope, comme elle, qui commençait
à s'énerver en demandant aussi, à son tour, une bonne grosse
queue qui lui remplirait la chatte.
Un râle, sourd comme un rugissement, monta de la gorge de
son pourfendeur qui, dans une poussée qui la combla de bonheur
inonda son sexe dans un jaillissement de bite animale. Les
contractions de la pine allaient decrescendo, mais l'homme
restait bien abuté dans ses reins. Quel membre ! Elle en
voulait encore. Se désolidarisant du trio, elle se retourna
pour sucer cette verge encore gonflée, mais fut prise de
vitesse par l'autre salope, qui, cessant de palucher ses
gros seins lourds, venait de s'y jeter dessus, cramponnant
les hanches du mec pour bien se l'enfoncer dans la gorge.
Se laissant retomber sur le lit, Muriel se mit à mater,
intégrant pour son ego érotique tout le torride de la situation.
Son baiseur de tout à l'heure, les mains accrochées aux
cheveux noirs et frisés de la fille, donnait de grands coups
de reins, forçant la bouche distendue. Respirant à peine
tant l'action était rapide, Martine pinça les couilles de
l'homme, qui, surpris, eut un léger recul. Avec une agilité,
dont Muriel ne l'aurait pas cru capable, la petite salope
s'était relevée et enfourchant le mâle s'était planté sur
le gland rouge et gonflé qui était rentré dans son ventre
en la faisant gémie d'aise.
Ca y était. Elle était en train de se faire prendre. Elle
sentait, dans sa chatte, la bite du mec qui la remplissait,
lourdement, copieusement, pendant que l'autre blonde la
regardait avec des yeux lourds de salacité, les mains sur
les seins à fin d'entretenir l'excitation qui lui trempait
la chatte.
La fornication reprenait avec force et vigueur sur la colonne
de chair. Se faire baiser de cette façon remplissait Martine
de joie. Dans le fond elle était faite pour ça. Elle avait
toujours aimé la queue. Il lui plaisait de sentir des regards
en rut se planter sur sa croupe quand elle marchait dans
la rue ou au bureau ; elle mouillait comme une salope, en
racontant à son mari, pour l'exciter pendant le coït, qu'un
jour, elle se ferait prendre par un inconnu, qui, l'ayant
abordée, irait crapuleusement la saillir dans un recoin
de parking, au fond d'un couloir, sa jupe troussée sur les
hanches pour dégager sa croupe, bien cambrée sur des hauts
talons, le string écarté pour permettre la pénétration de
cette queue qu'elle souhaitait, disait-elle, grosse, dure,
lourde, gonflée et longue….Très longue, pour que ça lui
rentre bien dans la vulve, pour qu'elle sente sa motte se
renfler d'excitation. Puis cet inconnu soulèverait son pull,
ou son tricot, pour bien la dépoitrailler et se mettrait
à lui malaxer les nibards, lui triturant les pointes pour
les faite gonfler et durcir, la faisant gémir d'excitation.
A défaut d'un inconnu elle aimerait que ce soit son voisin.
Un mec plus âgé, qu'elle avait maté pendant des mois, l'été,
vu qu'il se baladait toujours à poil autour de sa piscine
et qui était monté comme elle aimait. En plus, ancien sportif,
il lui restait une allure assez baraquée bien bandante.
Mais pour l'instant la bite qu'elle se prenait dans la chatte
la faisait flipper à toute allure, car, salope comme ce
n'est pas permis, elle fantasmait en imaginant son mari
en train de zieuter en se branlant. Quel pied ! Elle s'était
pourtant déjà faite foutre dans toutes les positions, par
plusieurs mecs à la fois, mais ce coup là était encore plus
jouissif, car il s'en dégageait un érotisme lourd, une sensualité
à la limite du porno le plus dégueulasse. Cela tenait à
l'ambiance qui régnait dans la pièce, à la sensation qu'elle
ressentait en touchant la peau du gars qui la besognait
comme un forcené. Sa peau lui faisait un drôle d'effet.
Comme parfois les gosses de la maternelle quand ils voient
un sucre d'orge. Un de ces sucres d'orges que l'on suce
doucement, longtemps, en faisant durer le plaisir et qui
tel le tonneau des Danaïdes se recomplète à mesure que le
temps passe. La jouissance lui entrait par la chatte et
lui ressortait tous les pores de la peau, sa transpiration,
comme celle du pointeur qui la faisait jouir, remplissait
la pièce d'une odeur entêtante, qui, bien que différente
de celle d'un parfum provoquait une sorte d'étourdissement.
JPB
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