Aurélie, superbe blonde de vingt deux ans, sort de la piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans la glace, ses seins magnifiques, hauts perchés, son minou, fraichement épilé. Une bombe. Tout près d'elle, le couple de doberman, Safran et Lady se prélasse sous le murier platane.

Soudain, la téléphone sonne. Aurélie s'enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Lady, surprise, part après elle.. Arrivé près de l'appareil, la sonnerie s'arrête. En se retournant, elle reçoit Lady de plein fouet, qui voulant s'amuser La projette sur la moquette. La serviette s'ouvre. Aurélie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe l'entre cuisse de la jeune femme en passant sa langue sur ses babines.

-Mais çà va pas Lady, dit Aurélie. Qu'est-ce-qu'il t'arrive, tu as eu peur. Mais c'est juste le téléphone.

La tête de Lady et déjà entre les jambes de sa maitresse, et renifle la fente.

-Lève toi de là, gronde Aurélie, tu entends, allez, couchée.

Aurélie saisit la chienne par les oreilles, et essaie de la repousser. Mais Lady a plus de force que sa patronne. C'est un combat inégal qui s'engage. Petite à petit, Aurélie perd pied.

A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres d'Aurélie, jusqu'à décalotté le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu'elle sent entre ses jambes, l'agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes.

-Oh mon dieu, gémit Aurélie, que tu es vilaine. Qu'est-c-que tu fais à la petite chatte de maman? C'est bon tu sais..ha..ha..vas-y..gouine moi ma chérie..bien sur le petit bouton..là..oui..je joui..oui..

Aurélie se prend les seins en hurlant de plaisir. Lady, pensant avoir fait mal à sa maitresse lui lèche la e visage, puis se couche docilement à côté d'elle.

Aurélie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Lady, et l'embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle monte à sa chambre pour s'habiller. Elle ôte son peignoir, se retrouve toute nue. Elle s'assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.

"Mon dieu, comme je me suis faite sucer, quelle garce je suis. Mais c'était tellement bon".

Aurélie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains, et aperçoit le couple de molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Safran à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.

-Alors mes bébés, on surveille maman? Toi, je te suis fâché Lady. Tu as été polissonne avec moi.

L'odorat du chien, est en général, très développé.Si Aurélie s'est bien lavée, l'odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Safran, Aurélie comprend qu'il a besoin de quelque chose. Il avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes de devant sur sa poitrine. Aurélie bascule sur le lit, jambes écartées. Elle sent la queue de Safran, devenue énorme, buttée contre sa chatte, il est vrai, encore humide. Elle essaie de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l'animal est trop important pour elle.

-Pas çà Safran, supplie-t-elle, tu as une chienne. C'est pas bien ce que tu fais.

Mais la queue a commencé à s'introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va et vient dans la chatte d'Aurélie. Celle-c- hurle de douleur. Lady, impassible, assiste à le scène.

-Aie..aie..arrête Safran, implore-t-elle.Tu me fais mal..Aie..tu es fou, assez..assez..

Comme si elle l'a plaignait, Lady s'avance de sa maitresse, et lui lèche le visage. La douleur, qui jusque ici lui tenaillait les entrailles, s'estompe pour laisser place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu'au knot. la boule est énorme.

-Ha.. salaud..comme tu me niques mon chien, vas- y..régale ma petite chatte..ha..ha..Il te nique comme çà Lady? Quelle chance tu as. Quel coup de queue putain..Comme je suis en train de me le faire mettre..oui..ha..oui..

Aurélie ouvre la bouche est embrasse Lady. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Safran vide sa semence dans la chatte d'Aurélie. Elle sent le liquide chaud envahir ses entrailles. Il retire sa queue pleine de mouille, bouscule Lady, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Aurélie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Lady, elle, s'est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.

Aurélie va se faire prendre tout l'après midi. Le couple de dobermans a décidé de s'amuser avec elle. L'a léchant de partout., l'a faisant hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Safran l'encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s'écroule sur le lit. L'après midi a été torride, intense, riche en rapport érotique. Aurélie a pris gout à la zoophilie. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie vitrée du salon, et fait renter les deux chiens. Elle s'accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Instinctivement, Safran passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Lady, elle, arrache la serviette. Aurélie se retrouve entièrement nue. Puis, lentement, les trois amants regagnent la chambre.


Frankie