Je suis au collège et je suis en stage dans le bâtiment.
Je travaille avec des hommes du Maghreb qui dorment dans des baraques de
chantier, ils sont très gentils, il y en a un avec de grosses moustaches
qui me regarde avec un drôle d'air.
Le chef, qui est aussi mon responsable de stage, me dit :
- Je ne veux pas te voir en short comme la semaine dernière, même s'il fait chaud. Tu travailles bien, ce
serait dommage que tu aies des problèmes. Tu collabores avec des types qui
n'ont ni chèvres ni femmes, ne viens pas te plaindre. Et retourne au travail.
Il me donne un bleu de travail et des chaussures de sécurité. Je ne comprends rien à ce qu'il me
dit.
Quelques semaines plus tard, je regarde des images de femmes nues
collées dans les WC en me branlant, quand je m'aperçois qu'on me regarde
par un trou dans la cloison.
Je me rhabille vite fait et sort prestement. Il est là devant moi, me
barrant le passage, se lissant la moustache. Le regard dur, sans un mot, il
prend ma main fermement et la plaque sur la bosse que fait son sexe sous
son pantalon. Je me sens rougir et la retire prestement.
Il dégrafe sa braguette et sort une généreuse queue au gland décalotté. Il
pose ma main dessus, mes doigts se referment instinctivement sur sa hampe,
doucement il les fait coulisser sur toute sa longueur.
- Branle-moi !
Je m'active, son regard planté dans le mien.
- C'est bien, tu es drôlement mignon !
Il déboutonne mon bleu et le baisse avec mon slip à mi-cuisses.
- Tu es encore plus mignon comme ça !
Je suis tétanisé, il me pétrit les couilles et la queue avec vigueur. Sous ses caresses je ne tarde pas à
bander, malgré la peur d'être surpris. Comme s'il avait lu dans mes
pensées, il me pousse dans les WC, place sa queue sous mes couilles,
saisit mes hanches et fait coulisser son gros gland dur et chaud entre mes
cuisses. Je suis impressionné par la dureté de sa queue, je bande.
Très vite, il murmure des mots incompréhensibles, grogne, inonde mon entre-cuisses et le bas de ma raie de chaude liqueur, il remonte mon slip, mon
pantalon et me plante là en criant "à la prochaine !".
Les fesses et l'entrejambes englués de son sperme, je retourne au boulot. Personne ne me regarde, je travaille soulagé.
Depuis ce jour, il ne se passe pas une journée sans que sa main frôle
discrètement mes fesses et mon sexe. À table, quand il est à côté de moi, il
tripote ma braguette ou prend ma main et la pose sur la bosse de son
pantalon, je me sens rougir j'ai peur que les autres s'en aperçoivent et
n'ose retirer ma main. De plus en plus entreprenant, Moustache m'entraîne
dans les endroits isolés et sombres.
- Allez, mon mignon !
Paralysé par la peur, je le laisse baisser mon pantalon et sa queue vigoureuse coulisse
entre l'entrejambes enduit de sa liqueur. Je retourne au boulot.
Au 5ème sous-sol, occupé à nettoyer un regard, un bruit me fait sursauter. Je
me redresse, il est devant moi.
Terrifié, je le regarde ouvrir sa braguette et sortir sa queue, pointer
son gland énorme vers mon visage. Il effleure mes lèvres, ne laissant aucun
doute sur ses intentions.
- Allez mon mignon ! Suce !
Son gland frappe mes joues et presse mes lèvres. Épouvanté, je desserre les
dents. Son noeud envahit ma bouche, il passe une main derrière ma nuque et
enfonce sa bite au fond de ma gorge, ce qui me fait tousser.
- Ouvre ta bouche !
À chaque aller-retour, son gland touche ma glotte, ce qui me fait éructer et
monter les larmes aux yeux. Les jointures de mes lèvres me fond mal. Un
jet brûlant frappe le fond de ma gorge. Surpris par la quantité je
m'étrangle, tousse et ingurgite sa liqueur au goût poivré jusqu'à la dernière goutte.
C'est les lèvres en feu que je regagne la surface.
Un autre jour, dans un local où sont entreposées des bobines de câbles,
il devient plus entreprenant :
- Baisse ton pantalon !
Je proteste, d'un geste sec il le tire vers le bas et déchire mon slip.
- J'aime que tu me résistes ! Tu es encore plus aguichant ! C'est charmant
de te voir bander quand ma queue glisse entre tes cuisses ! Tu es trop délicat pour me résister ! Tu mérites une fessée !
Il me pousse sur une bobine, des claques s'abattent à toutes volées sur mes fesses qui rougissent et me brûlent.
- Tu as un cul prometteur ! Bien rebondi !
Il m'oblige à me cambrer, sa queue coulisse entre mes fesses. Cette tige
douce, robuste et chaude me procure une drôle de sensation. Après un long
moment, sa liqueur inonde ma raie.
- Ça te plaît de te faire graisser le cul !
Je me sens rougir. Une main appuie sur mes reins puis glisse sur mes
fesses et les écartent, un doigt s'insinue dans ma raie, chatouille ma
rondelle enduite de sperme et d'un coup il l'introduit dans mon anus. Une
décharge électrique envahit mes couilles et je jouis d'un jet puissant.
- C'est bon de se faire taquiner la rondelle ! Hein ? Tu es de plus en plus dévergondé ! Tu m'affrioles avec ta rosette bien lisse ! Allez rhabille-toi !
Je retourne au travail, j'ai l'impression que tous me regardent. Ma raie
trempée de liqueur me rappelle la tige dure et chaude qui y glissait. Je
reste médusé par le plaisir que me donnait ce doigt introduit dans mon anus
quelques minutes auparavant.
Le dernier vendredi du mois de juin, une fête de fin de chantier est
organisée, les Portugais veulent que je goûte au porto, on mangent du
couscous, des Italiens que je ne connais pas me font boire du vin de leur
pays. Nous sommes tous plus ou moins enivrés.
Grisé, je me laisse traiter de coquine quand Moustache prend ma
main et me dit "Va jouer à la femme !". Tous rigolent.
- Quand le gland passe, tout passe !, plaisantent-ils de plus belle.
Trop ivre pour réagir, je le laisse m'entraîner vers une cabane sous leurs regards hilares. La porte refermée, il
me déshabille, m'allonge sur le lit et m'embrasse dans le cou. Je frissonne
sous ces baisers. Il glisse un oreiller sous mon ventre. Toujours le
cerveau dans les brumes, je sens à peine ses mains rugueuses écarter mes
fesses, sa tige chaude, dure comme de l'acier, glisse entre mes fesses. Cela
m'excite plutôt, je me détend, je m'abandonne complètement. Sa bite quitte
ma raie. Frustré, je grogne. Brusquement, son gland appuie sur ma rondelle,
une décharge électrique traverse mes reins. Dessoulé, je pousse un cri
strident de bête agonisante, mes poings serrent les couvertures. J'appelle au secours, j'ai l'impression que mes fesses se séparent.
Je crie "À l'aide ! À l'aide !"
J'entends une voix dire "Il s'est fait embourbé la petite lune !". Des
rires fusent.
Sans s'occuper de mes cris et encouragé par les gloussement du dehors, il
saisit fermement mes hanches et, d'une puissante poussée, s'enfonce
jusqu'aux couilles dans l'étroitesse de mes reins, bousculant tout sur son
passage.
Le souffle court, je me cabre, je rue, je ne pense qu'à ce tison ardent qui
brutalise mon étroitesse. Il reste un long moment immobile et se retire. Toute douleur disparaît, je reprends mon souffle et d'un coup il m'encule
jusqu'à la garde, il ressort et m'encule à nouveau plusieurs fois de suite, me clouant au lit.
Je crie ma détresse.
Dehors, des voix s'esclaffent : "Tu en prends plein ton cul ! Tu te fais
laminer la rondelle ? Articule !", et ils rigolent.
Sans s'occuper de mes cris, il me sodomise à fond. Plus je me lamente, plus
ça l'excite, il devient violent et me claque les fesses en me défonçant la
rondelle à grands coups de butoir.
De dehors me parviennent les rires et les quolibets.
Je n'ai plus la force de lutter. Sodomisé plus doucement, je me laisse
aller, je soupire. Je n'ai plus la volonté de crier, de protester. Il se
retire, masse ma rondelle et teste son élasticité avec son pouce. Il s'exclame :
- Tu as un beau cul ! Ta rondelle est très élastique ! Pousse ! Pousse ! Elle s'ouvre comme une jolie fleur ! Je ne peux pas résister à une aussi jolie fleur bleue !
Son gland appuie sur ma rondelle qui se dilate et l'engloutit, je ressens un léger picotement. Sa bite coulisse aisément dans mes reins.
Chevillé à ce pieu, je me détend. Tout en me sodomisant, il me susurre à
l'oreille :
- C'est mieux qu'un doigt ! Tu es une vraie libellule ! Ton silence en dit long !
Il me retourne sans un mot, les yeux brillants. Supérieur, le sexe
toujours en érection, il passe une main sous mon menton, m'oblige à
redresser la tête, dirige sa queue vers ma bouche, son gland appuie sur
mes lèvres. Résigné, je l'avale malgré mon dégoût. Après quelques allers-retours, le goût poivré de sa liqueur envahit ma bouche, inonde le fond de ma
gorge, m'obligeant à déglutir sa semence jusqu'à la dernière goutte.
Des larmes coulent sur mes joues, qu'il essuie avec son gland en
proclamant "il ne faut pas te plaindre, tout ce qui t'arrive est de ta
faute. Allez, met-toi à quatre pattes."
Asservi, je prend la pose. Je me crispe quand je sens son gland dur et chaud qui appuie sur ma rondelle.
- Tu ne gueules plus.
Sa queue s'enfonce dans mon étroitesse.
- Allez, crie, ça m'excite.
Il me sodomise profondément, écartant bien mes fesses.
- Allez, braille.
Il me claque les fesses à toutes volées. J'hurle à chaque claque.
Satisfait, il passe une main sous mon ventre et me branle tout en me
sodomisant, une onde de feu irradie mon anus, descend dans mes couilles,
une lumière éblouit mes paupières, je me répands en longs spasmes, je
chancelle et, au bord de l'évanouissement, je m'écroule.
C'est la première fois que je jouis avec une telle violence, je mets
plusieurs minutes à refaire surface, toujours rivé à son pieu. Doucement,
il reprend ses allers-retours, accélère ses va-et-vient, se retire et crache
sa sève brûlante sur mon dos en criant "putain que c'est bon de
t'enculer, tu me vides les couilles jusqu'à la dernière goutte. Tu as un cul super. Tu baises comme une vraie salope."
Puis, plus tranchant, il me dit "vas te laver le cul". Je vais me laver, vexé. Il
s'approche, me regarde et me dit :
- Tu as un beau cul, tu as la rosette encore ouverte. Si tu as encore un peu mal au cul, maintenant que le passage est ouvert, pas la
peine de te plaindre : dans une heure ça ira mieux. À moins que tu te fasses encore enculer, avec tout le ramdam que tu as
fais, tous ceux qui sont dehors sont au courant. Et saouls comme ils sont,
ça ne m'étonnerait pas qu'ils veuillent te baiser. Allez je me casse, et ne
reste pas trop longtemps à poil.
Je suis resté seul un peu désabusé.
À SUIVRE
Kado
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