TITRE : Antilles
Catégorie : 
Histoire interraciale
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Au bout de dix ans de séjour dans cette île des Antilles, je puis vous dire que son principal intérêt réside dans la découverte du corps de ses habitants, hommes et femmes.

Je suis quadragénaire mais, dit-on, bien conservée, par l'oisiveté et les soins de beauté. Mon mari est à la banque du matin au soir tandis que nos deux enfants sont scolarisés de sorte que je passe mes journées seule à la maison. L'entretien de mes fleurs me prend la plupart de mon temps et le reste de la journée je le passe, nue, au bord de notre piscine à l'ombre d'un arbre du voyageur ou encore à la plage.

Pour le service de la maison nous disposons de deux serviteurs. Une jeune femme qui s'occupe du ménage et de la cuisine, et un gardien qui est assis sur une chaise à la grille d'entrée.

Quand mari et enfants sont absents, j'ai l'habitude de circuler nue dans la maison et dans le jardin sans me soucier des deux serviteurs lesquels trouvent cela parfaitement naturel et sont infiniment moins complexés que nous autres européens.

Rituellement, je passe une heure ou deux allongée sur une chaise longue, non pas au soleil bien sûr, mais à mi-ombre. Mais il faut néanmoins se protéger et c'est ce qui m'a donné l'occasion de mieux connaître mon personnel. C'est venu tout naturellement. Je voulais m'enduire de crème protectrice et dans ce but j'appelais Gertie. Vingt ans, jolie poitrine, longues jambes fuselées et un adorable petit derrière qu'elle balançait adroitement.

J'étais étendue sur le ventre et Gertie vint s'agenouiller au bord de la chaise pour commencer à étaler la crème sur mes épaules. Elle ne disait rien et faisait son travail doucement, consciencieusement en répandant un parfum troublant. Je fermais les yeux et appuyais mon front sur mes avants bras pour suivre, avec ma sensibilité en éveil, les mouvements de ses doigts. Elle ne se contentait pas d'étaler le produit, elle en profitait pour faire une sorte de massage.

Je suivais avec beaucoup d'attention les trajets qu'elle empruntait avec ses mains expertes, trajets qui semblait avoir un but précis. Elle allait du haut vers le bas.

Après avoir terminé avec les épaules, elle descendit sur mes flancs et passa à plusieurs reprises sur le bord de mes seins. Etait-ce une idée mais elle sembla s'attarder plus que nécessaire sur ceux-ci. Puis elle arriva à mes reins qu'elle enduisit, mais de là, alors que j'attendais avec une certaine impatience qu'elle s'occupe de mes fesses, elle alla directement à mes mollets. Je l'attendais à la remontée maintenant ; il faudrait bien qu'elle y vienne. Elle y vint. Gertie m'enduisait les fesses délicieusement en les massant fermement mais délicatement, avec tendresse dirais-je.

J'écartais mes cuisses comme pour l'inviter à n'oublier aucun recoin. Elle n'oublia rien et passa dans ma raie à plusieurs reprises. J'avais le sentiment qu'elle prenait plaisir à son travail, et moi aussi. Elle termina par mon petit trou, quand je me retournais sur le dos pour lui présenter l'autre face. C'est ce côté là qui m'intéressait le plus. C'était là que j'allais pouvoir vérifier la véracité de mon impression fugitive.

Je gardais ostensiblement les jambes ouvertes mais elle commença aussi par le haut, par mes épaules et mes seins. Mais cette fois elle s'attardait beaucoup plus que nécessaire sur ceux-ci. Mon impression se confirmait. Son massage devenait une véritable caresse qui avait une autre finalité que d'étaler de la crème. Elle me fit durcir les pointes de seins sous ses doigts. Je laissais échapper quelques gémissements de bien être pour lui faire comprendre combien j'appréciais son massage.

Elle descendit sur mon estomac et fut bientôt sur mes aines. Elle resta en bordure de mon pubis, contournant ma fente pour faire mes cuisses, remontant vers mes poils qu'elle effleurait au passage. Visiblement elle n'avait pas assez d'audace pour caresser ma fente. J'ai vu le moment où elle allait se relever et retourner à la maison, son travail terminé. C'est moi qui ai alors pris sa main poisseuse de crème pour la conduire à ma chatte. Elle ne résista pas à l'invitation et entreprit de me branler la chatte.

Elle avait des doigts merveilleusement agiles, souples et savants. De ces doigts qui ont une longue expérience des chattes. Elle était en train de me faire gonfler le clitoris quand j'eus mon premier orgasme. Je crie dans l'orgasme. Je ne sais pas jouir silencieusement, il faut que je crie. J'ai crié mon plaisir en me cambrant.

Le veilleur avait entendu et regardait la scène. Gertie avait abandonné toute mission de protection solaire pour se consacrer à la jouissance de sa patronne et elle me fit ainsi jouir plusieurs fois de suite. Je mouillais tant et plus. Voyant cela Gertie s'en retourna à la maison et revint aussitôt avec dans les mains une banane verte qu'elle essaya de m'enfiler dans la chatte pour mon plus grand plaisir. Malheureusement le fruit encore trop mûr, se cassait, s'écrasait à l'entrée de mes petites lèvres, et ne remplissait pas du tout sa nouvelle fonction.

J'ai vu Gertie aller à la grille et parler à Toussaint, le gardien. Leur dialogue dura quelques minutes et je me demandais bien ce qu'elle était aller raconter à notre gardien qui avait parfaitement vu et entendu tout ce qui venait de se passer. Elle revint avec lui. Un grand gaillard musclé et torse nu. J'ai vu Gertie tirer le pantalon de Toussaint vers le bas, il ne portait rien dessous, et me présenter, comme elle l'aurait fait d'un fruit, une queue raide et énorme qu'elle prépara en dégarnissant le gland du gardien.

Puis elle le fit s'installer entre mes cuisses ouvertes et le conduisit à l'entrée de ma chatte. La scène était assez cocasse car Gertie se comportait comme une assistante de dentiste, toujours technique, seulement technique.

Jamais de ma vie je n'avais été investie pas une si grosse queue. Une énorme queue noire, raide, incroyablement horizontale, luisante, pointée vers moi, prête au service. Le double, largement, tant en longueur qu'en épaisseur, du membre de mon mari et des quelques amants rencontrés jusque là. C'est au point que le gland du gardien coinça au bout d'à peine un ou deux centimètres. La scène était drôle. J'étais là, ouverte en deux, attendant la saillie, devant mes deux noirs, un peu comme une jument à laquelle on présente un étalon..

Gertie donnait des conseils avec un naturel désarmant, comme si elle était en cuisine à préparer un repas. Elle me demandait de m'ouvrir encore plus. Elle élargissait ma fente avec ses doigts. Rien n'y fit le gardien ne pouvait pas me pénétrer. Gertie s'est alors mise derrière le gardien et, employant les grands moyens, a appuyé de tout son poids sur les fesses de l'homme dont le sexe se fraya un passage de force dans mon vagin.

J'avais les doigts crispés sur le bord de la chaise et souffrais de sa pénétration comme lors d'un accouchement. Mais une fois entrée, cette énorme bite, fut un régal pour mes sens. Il n'avait pas besoin de bouger pour me faire jouir, sa queue n'avait besoin de chercher à frotter mon clitoris, elle me remplissait de partout et je ne suis pas certaine qu'il ait pu tout faire entrer.

Quand il se mit à bouger, je fus obligée de m'agripper à ses fesses ; j'avais entouré ses cuisses avec mes mollets tandis qu'il s'était mis en appui sur ses mains pour soulever son buste. S'il arrivait à Toussaint de faiblir, Gertie reprenait alors ses efforts sur les fesses de mon étalon pour que sa queue reprenne son service. Tout pour mon plaisir. Il me baisa ainsi, longtemps, bien, fort ; il me lima, me laboura la chatte.

Gertie regardait, debout, attentive, encourageant le gardien, lui donnant des ordres, comptant mes orgasmes jusqu'à ce que Toussaint se vide. Comme ses couilles étaient proportionnées à sa queue, il était couru qu'il aurait beaucoup de semence à déverser.

Effectivement il mit beaucoup de temps à se vider entièrement dans ma chatte ; je fus véritablement inondée de son foutre ; tandis que lui parcouru par un frisson sans fin, effondré sur moi, n'en finissait plus de jouir, de se vider...

Anne

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