Tous nos amis sont unanimes : Gaëlle et moi
formons un couple modèle, une image vivante de l’amour et
du bonheur sans cesse renouvelé d’être ensemble. Nous sommes
à présent mariés depuis cinq ans, après deux ans de vie
commune et un an de flirt tendre. Je sais qu’elle a toujours
eu, et qu’elle avait encore, de nombreux soupirants, car
Gaëlle, sans obéir vraiment aux canons esthétiques usuels,
est particulièrement mignonne. Ses cheveux, d’un noir de
jais, coupés mi-longs à hauteur de ses joues roses, enchâssent
un délicieux et pétillant regard, qui semble vous fouiller
l’âme. Ses formes idéalement arrondies, généreuses sans
être lourdes, une jolie poitrine, et aussi une croupe fort
attirante, forment un ensemble très agréable à regarder,
et auquel on a aussitôt envie de goûter. Et elle m’aime
tendrement, fidèlement, de toutes ses forces. Ce n’est pas
qu’un amour platonique, car en vraie épicurienne, Gaëlle
apprécie beaucoup le sexe, et de ce côté aussi notre bonheur
est parfait. Depuis sept ans, presque pas une nuit ne s’est
écoulée sans que nos corps ne se trouvent, et nous nous
accordons régulièrement des week-ends « volets clos ». Cette
régularité n’implique nulle routine dans nos ébats, au contraire
! la passion est aussi forte qu’à la première étreinte,
et à chaque fois, nous réinventons notre amour charnel,
sans aucun tabou, avec l’aide d’une complicité parfaite
pour trouver de nouveaux moyens de nous emmener mutuellement
au paradis. Elle aime faire l’amour le soir (« mes rêves
sont tellement plus beaux après, mon chéri »), elle aime
faire l’amour le matin (« je me sens plus forte pour attaquer
la journée »), elle aime faire l’amour toujours et partout.
Depuis quelques mois, cette complicité a pris une ampleur
encore plus grande, de nouveaux tabous ayant sauté dans
les circonstances que voici.
Son anniversaire (27 ans)
tombait dans une semaine, un dimanche. Les idées de cadeau
ne manquaient pas, mais avec Gaëlle, il est plus sage de
lui en parler avant. Pour cela, je choisis toujours le moment
entre l’amour et le sommeil, où elle me confie plus volontiers
ce dont elle a le plus envie. Cette fois-ci, la réponse
mit un temps inhabituel à venir, je la sentais bizarrement
gênée. Devant mon insistance, elle finit par me lâcher,
lentement d’abord, puis avec une hardiesse croissante :
- Voilà, j’ai un fantasme
inassouvi, et… je suis désolée mon amour, mais je ne peux
pas l’assouvir avec toi. Je voudrais me faire sauter… niquer
(tu comprends, faire l’amour ne convient pas, il s’agit
uniquement de sexe, de baise, pas de sentiment) par un mec
très bien membré, un noir si possible… Tu comprends, avec
toi, c’est merveilleusement tendre, mais j’aimerais, une
fois, être prise comme une salope, comme une femelle en
rut, comme un vulgaire vide-couilles.
Je restai un instant sans
voix. Le silence se fit pesant, entrecoupé seulement de
la respiration haletante de Gaëlle, qui attendait ma réponse
avec anxiété. Je ne lui avais jamais rien refusé, mais là…
- As-tu quelqu’un en tête
? finis-je par lui demander
- Peut-être… Mon chéri, je
sais que je te demande beaucoup… Si c’est non, on n’en parlera
plus, c’est promis, et excuse-moi si je t’ai fait de la
peine.
Je réfléchis un court instant.
Comment refuser cela à ma femme, alors qu’elle me l’avait
demandé si tendrement ? Son amour ne fait aucun doute… mais
tout de même ! Son aveu venait cependant d’éveiller ma curiosité.
Je réalisai que je ne la connaissais pas totalement, qu’elle
pouvait m’apparaître sous un genre nouveau, qui au fond
ne me déplaisait guère. Je me décidai.
- Bon, c’est d’accord, mais
j’ai quelques conditions. Je veux avoir à l’avance le nom
et la photo de la personne. Il viendra te voir ici dimanche
prochain. Je vous laisserai l’après-midi, tu n’auras qu’à
lui dire que je suis parti voir des amis. En fait, j’attendrai
dans le square d’en face. On peut y voir la fenêtre de la
chambre, donc tu pourras me faire signe en cas de problème,
ou lorsque... vous aurez fini. Ensuite, moi aussi j’ai un
fantasme. A mon retour, je veux te trouver nue sur le lit,
exactement dans l’état où il t’aura laissé, et je veux avoir
un récit complet, détaillé et circonstancié de ce que vous
aurez fait. Ensuite, nous ferons l'amour.
- Oh, mon amour, comme je
t’aime ! Comme je suis heureuse !
Elle me regarda avec des
yeux émerveillés. Nous nous enlaçâmes tendrement. Peu après,
les doux feulements de plaisir de ma femme soulignaient
le silence de la nuit.
Le lendemain, le dîner se
passa comme d'habitude, et je commençais à penser que la
veille elle avait simplement plaisanté. C’était dans cet
état d’esprit que je me mis au lit, bientôt rejoint par
Gaëlle, vêtue seulement de sa nuisette la plus sexy (par
transparence, on voyait nettement sa toison pubienne, je
lui répétais que, lorsqu'elle la gardait pour faire l'amour,
elle me semblait encore plus nue que si elle n'avait rien
eu sur elle), et qui indiquait toujours que ma virilité
allait être grandement sollicitée. Mais, cette fois-ci,
elle tenait à la main une feuille de papier, qu'elle me
remit avec un large sourire.
Il s'agissait d'un CV officiel,
ornée de la photo d'un beau noir au sourire avenant. Le
nom avait été biffé, restait le prénom : Abdel. Il venait
d'avoir 20 ans.
- Il est beau comme un dieu,
me dit Gaëlle, il fait 1m80, il est très musclé. Il fait
un stage d'été chez nous. Depuis qu'il est arrivé, la semaine
dernière, toutes les filles de la boîte se font belles.
Elles ont toutes envie de lui, mais c'est moi qu'il préfère.
Je sais voir quand je plais à un homme, il me décoche de
ces regards ! Ce matin, je l'ai fait venir dans mon bureau,
et je lui ai dit : « Abdel, dimanche en huit mon mari doit
s'absenter l'après-midi pour voir des amis. Je serai seule
chez moi. Nous pourrions en profiter pour … enfin, j'aimerais
que tu en profites pour me niquer, mon beau, rien qu'à te
voir je mouille ma culotte » Ce qui n'était que pure vérité
! Il a de suite accepté ma proposition, en me disant que
j'étais une sacrée salope, et qu'il adorait ça. Tu seras
bientôt cocu mon amour. Comme je suis contente !
- Puisqu'il te plaît, et que
ce sera ton anniversaire...
- Entre Abdel et moi, il ne
s'agit que de baise. C'est toi l'homme de vie, et tu le
sais très bien ...
Elle m'embrassa tendrement
en s'allongeant près de moi. Ma main remonta sa nuisette,
à la recherche de son petit bouton. Mes doigts caressèrent
l'entrée de son sexe, que je sentais déjà humide, tandis
que sa respiration se fit plus lente, plus lourde. Mais
elle se détourna brutalement : "Ah non, interdiction ! Tu
ne me feras pas l'amour, ni ce soir, ni avant mon anniversaire.
Je dois rester fraîche et pure pour Abdel, alors abstinence
! Et je t'interdis aussi de te masturber. " Et tous les
soirs de cette longue et inoubliable semaine, le même rituel
eut lieu : ma femme s'allongeait près de moi, en nuisette
transparente, me parlait longtemps d'Abdel comme d'une bête
de sexe, « j'en crève de désir, je n'ai jamais eu autant
envie qu'un mec me prenne par tous les trous. Rien qu'à
penser que pour mon anniversaire, ma chatte dégoulinera
de son foutre... » Verdeur de langage inhabituelle chez
elle. Elle refusait même mes caresses et mes baisers, et
s'endormait en se masturbant doucement, tout en murmurant
voluptueusement "Abdel, viens juter dans ma petite chatte..."
Plus la date fatidique approchait,
plus l'excitation de ma femme était palpable. Le samedi
soir, elle mit beaucoup de temps avant de s'endormir, se
masturbant sans arrêt en pensant à son futur amant. Le dimanche
matin, je me réveillai le premier, et préparai le petit
déjeuner. Je m'arrêtai un moment au seuil de la chambre
; Gaëlle dormait encore, un beau sourire aux lèvres. Je
l'embrassai sur le front.
- Joyeux anniversaire, ma
chérie !
- Merci, mon amour. Quelle
belle nuit j'ai passée ! J'ai rêvé d'Abdel, quel beau cadeau
je vais avoir ! Une belle bite rien que pour moi !
A la fin du petit déjeuner,
avant de passer dans la salle de bain, elle me demanda si
elle pouvait utiliser mon rasoir. "Abdel veut que je m'épile
le pubis. Il m'a dit que ça le fait bander plus dur. Je
t'interdis de rentrer dans la salle de bain avant que je
me sois habillée, Abdel doit être le premier à voir mon
sexe sans poils". Le travail lui prit un peu plus d’une
heure. Elle finit par ressortir, seulement vêtue d'une guêpière
noire particulièrement sexy.
- Où t'es-tu acheté cette
guêpière ?
- Dans un sex-shop. Je suis
contente qu'elle m'aille, avec tous les mecs qui me reluquaient,
je n'ai pas pu l'essayer. Qu'en penses-tu ? Je t’excite
? Ta chère petite femme a-t-elle assez l'air d'une belle
salope ?
Je dus en convenir, essayant
de l'imaginer cherchant des dessous affriolants dans un
endroit aussi sordide. Elle se tourna de tous les côtés,
pour se faire admirer. La guêpière rehaussait magnifiquement
ses seins, les faisant former une vallée qui était une invitation
au regard. Le maillage très fin soulignait plus qu’il ne
cachait le rose de ses tétons, le creux de son nombril,
et se densifiait comme un string au niveau du pubis, cachant
sa vulve et sa raie tout en guidant le regard sur elles,
et découvrant totalement ses belles fesses. Son parfum délicat
complétait idéalement chez ma femme une irrésistible incarnation
du désir. A ce moment, le téléphone sonna, Gaëlle se précipita
pour répondre, et, se doutant probablement de l'identité
de l'interlocuteur, mit le volume pour que je ne perde rien
de la conversation.
- Salut, petite salope, c'est
Abdel
- Bonjour, mon beau salopard
- Alors ma petite salope,
t'as toujours envie de te faire prendre par tous les trous
par un black ?
- Oui, je veux que tu me baises,
je veux sentir ta bite en moi.
- Ta chatte est rasée ? Sinon
je ne te saute pas, tu ne serais pas assez cochonne.
- Oui, j'ai bien tout épilé.
- J'amène aussi mon frangin.
Il a 18 ans aujourd'hui, il n'a encore jamais niqué de blanche
salope comme toi.
Gaëlle eut comme un choc,
mais elle se ressaisit très vite.
- C'est quoi son petit nom
?
- Mourad
- Il est aussi beau et bien
monté que toi ?
- Pas de problème, on s'est
déjà farci pas mal de meufs ensemble.
Gaëlle mit un instant sa
main sur le combiné, et me regarda langoureusement, de ce
regard auquel je n'ai jamais pu résister, puis elle me susurra
à l'oreille : "C'est en dehors de nos accords, bien sûr,
mais j'en ai tellement envie. Dis oui..." Devant mon assentiment
- qu'y puis-je d'ailleurs ? – elle reprit la communication
:
- C'est encore mieux, deux
beaux mecs. Je serai au top, il va s'en souvenir, de ses
18 ans, ton frangin.
- Ok, salope, on est chez
toi dans 10 minutes.
Il raccrocha. Gaëlle resta
rêveuse un instant, puis sauta à mon cou en riant comme
une gamine. "Oh, mon amour, je t'aime, je vais te tromper
avec deux beaux blacks. Je suis une vraie salope. Tu m'aimes,
dis ?" Bien sûr, que je l'aime ! "Comme j'ai le trac ! C'est
qu'il s'agit d'être la meilleure salope qu'ils aient jamais
sautée, et ça a l'air d'être des connaisseurs ! Enfin, comme
ça fait dix jours que tu me délaisses, je sens que je serai
insatiable. Pars vite maintenant, ô mon ange, si tu savais
comme ta petite Gaëlle est amoureuse de toi..." Après un
dernier baiser passionné, je pris mes affaires et je sortis
de l'appartement.
Je trouvai facilement un
banc bien placé dans le square. De mon poste d'observation,
je pouvais voir la porte de l'immeuble, ainsi que la fenêtre
de la chambre. Je n'étais pas assis depuis cinq minutes
que je vis deux beaux garçons particulièrement athlétiques
sonner à la porte de l'immeuble. Je reconnus Abdel dans
le premier. Le second, un peu plus grand, et un peu plus
fin, devait être Mourad. La porte s'ouvrit devant eux. Peu
après, je vis Gaëlle à la fenêtre. Elle dut me voir, car
il me sembla qu'elle me faisait un petit signe de la main,
puis elle ferma les rideaux. Puis, plus rien. Rapidement,
mon cerveau se mit à s'emballer. Que faisait ma femme en
ce moment ? Elle me l'avait assez dit, bien sûr, cependant
je n'arrivais pas à l'imaginer offerte à ces deux garçons.
Elle les a seulement reçu en simple amitié de bureau. Amitié
! tu parles ! en guêpière ? Bon, peut-être fait-elle ça
pour me rendre jaloux. Ai-je été négligent envers elle,
ces derniers temps ? Il me semblait que non, mais peut-être
m'avait-elle senti moins empressé qu'avant ? Ah les femmes
! C'est sûrement ça. En fait, ils sont simplement là-haut
à bavarder. Après tout, je n'avais pas pu voir ce qu'elle
portait, tout-à-l'heure à la fenêtre. Elle aurait eu le
temps de se rhabiller. D'ailleurs, Abdel et Mourad sont
peut-être complices. Il ne se passe rien de spécial là-haut.
Tout ça, c'est pour me rendre jaloux, pour me montrer qu'elle
peut avoir des fantasmes délirants, pour m'émoustiller.
Il ne reste plus qu'à attendre tranquillement. Pas la peine
ensuite de lui dire que j'ai lu dans son jeu, je ferai semblant
d'avoir été dupe, comme ça elle sera contente. C'est son
anniversaire après tout !
Décidément, l’attente est
d’une longueur invraisemblable ! Gaëlle aime le sexe, certes,
mais là c'est clair que c'est une blague. Rien à craindre
! Et pourtant... Poussé par la curiosité, la jalousie, et
aussi par une bonne dose de voyeurisme, je rentrai dans
l'immeuble, et je collai mon oreille à la porte. Elle est
épaisse, et pourtant je discernai clairement un son, assez
lointain. Des gémissements de plaisir féminin... Ils regardent
un film X ? Non, le son vient plutôt de la chambre à coucher.
Le son monte progressivement. Et je distinguai des mots,
étouffés par l'épaisseur de la porte : "Oui... ah ! Mourad...
bitte... mon cul ! oui !" Puis, après un court silence,
les gémissements reprirent. Je redescendis dans le square,
les jambes flageolantes. Une fois assis sur mon banc, je
tentai de reprendre mes esprits, de me convaincre que Gaëlle
continuait de jouer la comédie pour me rendre jaloux, qu'elle
m'avait simplement vu monter et qu'elle avait simulé. Sauf
qu'elle ne sait pas bien simuler... Le cœur pris entre mille
sentiments, partagé entre la jalousie et un plaisir malsain
à imaginer ma femme se faire prendre par deux beaux blacks,
ce qui me donnait une trique d’enfer, j'attendis encore
pendant un temps interminable, jusqu'à ce que je voie enfin
Abdel et Mourad sortir, l'air épuisé mais joyeux. C'était
l'heure décisive, il me fallait rentrer voir Gaëlle.
Je sentais mes jambes faiblir
sous moi lorsque je rentrai dans notre appartement. Le coeur
battant, j'ouvris la porte de la chambre. Gaëlle était allongée
sur le lit, entièrement nue. Elle s'était assoupie, visiblement
ivre de fatigue. Son visage, son corps étaient constellés
de tâches luisantes. Ses cuisses, largement écartées, me
dévoilaient avec une totale impudeur son sexe soigneusement
épilé, sur lequel trônait son clitoris étonnamment rougi.
Ses petites lèvres, gonflées encore, baillaient légèrement,
et de l'ouverture s'écoulait un filet de liquide blanchâtre,
qui sur ses fesses se mêlait à un autre, plus fin, sortant
de son anus. Mes derniers doutes s'envolèrent, mais, à cet
instant, je restai surtout ébahi par la beauté de cette
femme, et par la sensualité exacerbée qui s’exhalait de
tout son corps offert à mon regard. Sans bruit, je m’approchai
d’elle et glissai mes doigts dans ses deux orifices. Ce
simple contact avec les parois de son vagin la sortit de
son sommeil. Elle me regarda avec son plus angélique sourire.
Son beau regard plongea dans le mien tandis que je léchais
le bout de mes doigts, reconnaissant le goût du sperme mêlé
à la cyprine de ma bien-aimée. "Oui, mon amour, ils ont
bien éjaculé partout et abondamment dans ta petite salope
de femme. Et sur mes seins. Et dans ma gorge aussi, mais
j'ai tout avalé, tellement c'était bon. La dernière giclée
de sperme était presque aussi abondante que la première,
mais il semblerait que ta douce, ta gentille, ton infidèle
épouse ait finalement réussi à vider complètement les couilles
de ces messieurs. Je présume que tu veux le récit complet,
détaillé et circonstancié de la séance de baise la plus
torride de ma vie ?".
Note : le récit qui suit
à été écrit peu de temps après par Gaëlle, à ma demande,
pour perpétuer le souvenir de cette folle après-midi.
«
Comme tu t’en souviens, j’étais
dans tous mes états quand tu es parti. Et ça ne s’est pas
arrangé, tellement j’étais impatiente ! Et en même temps,
j’étais folle de doute : allais-je réussir à combler ces
beaux garçons ? Allais-je prendre tout le plaisir que je
voulais ? La sonnerie de l’interphone m’a fait sauter au
plafond. « Troisième étage, deuxième porte à gauche de l’ascenseur»,
dis-je d’une voix aussi ferme que possible. Quand je leur
ouvris la porte, ce fut un ravissement mutuel. En tenue
décontractée, Abdel me semblait encore plus beau qu’au bureau.
Et son frère m’a plu dès le premier regard. Il faut dire
qu’avec ma tenue, je pouvais jeter des étincelles ! Je refermais
rapidement la porte derrière eux.
- Salut Gaëlle, vêtue selon
ta nature profonde à ce que je vois ! Je te présente Mourad.
- Bonjour, et bon anniversaire
!
En guise de bienvenue, je
me pendis à son cou et l’embrassai sur la bouche. Quand
ma langue a touché la sienne, j’ai eu comme une décharge
électrique dans le corps. Pendant que je roulais des pelles
à son frère, Abdel me caressait les fesses, et déposait
dans mon cou des baisers qui me donnaient la chair de poule.
- Bon, les garçons, c’est
pas tout, mais vous n’êtes pas là pour des salamalecs, mais
pour me niquer. Allons dans la chambre.
Je t’ai vu en fermant les
rideaux. Ca m’a complètement rassurée, je n’avais plus de
doute, je savais que j’allais avoir ce que je voulais. Je
me retournai vers les garçons. Apparemment, je devais leur
faire de l’effet ! Ils avaient déjà enlevé leurs t-shirts.
Je me suis collée contre Abdel, oh comme sa bouche est bonne
!, lui caressant la poitrine, tandis que ses mains, et celles
de Mourad, derrière moi, couraient sur mon corps, s’attardant
sur mes tétons qui durcissaient à travers la guêpière. Le
pantalon d’Abdel s’ornait d’une bosse de plus en plus visible
vers laquelle ma main descendait en faisant de larges cercles
sur son ventre, tandis que je faisais bander Mourad en lui
frottant mes fesses contre son sexe. Laisser emprisonnées
d’aussi belles bestioles était inhumain. Je me suis assise
sur le bord du lit, tirai les garçons vers moi et, détachant
leurs ceintures, libérai leurs queues qui déjà se dressaient
avec fierté. Comme elles étaient belles ! rien qu’à les
regarder, je sentais mon sexe s’entrouvrir et suinter de
mouille.
- Belles pièces, messieurs
! Moi qui adore les sucettes au chocolat, je sens que je
vais me régaler !
- Oui, emmène-nous au fond
de ta gorge, elles vont encore durcir !
J’en pris une dans chaque
main. Elles se ressemblaient beaucoup, mais celle de Mourad
me semblait légèrement plus longue et plus fine. En tout
cas, je n’avais encore jamais pris aussi gros, et deux comme
ça d’un coup, j’étais aux anges. Tout en massant délicatement
la bitte de Mourad, j’approchais ma bouche du gland d’Abdel,
et, tendrement, l’effleurais de mes lèvres. Il tressaillit
légèrement, tandis que ma langue parcourait ses bourses,
puis remontait le long de sa verge. Puis, après lui avoir
fait un beau sourire, je l’introduisis dans ma bouche, en
en palpant chaque centimètre. C’était tellement bon que
le gland a pu toucher le fond de ma gorge sans que j’aie
de réflexe de nausée. D’abord doucement, puis plus rapidement,
je lui administrais une fellation qu’il devait apprécier,
car je sentais son sexe gonfler sous ma langue.
- Oh qu’elle est bonne !
Elle suce comme une vraie putain !
Je passais à son frère, qui
me fit les mêmes éloges, puis rapidement de l’un à l’autre,
alternant les gorges profondes et les branlettes rapides.
Je me risquai même à mordiller délicatement, les veines
gonflaient sous ma langue, c’était délicieux ! Je sentais
que l’excitation montait, que je leur faisais naître un
désir incontrôlable, et cela me rendait fière. Mais pour
l’instant, je voulais surtout me laisser faire, m’abandonner
à eux.
Alors que je m’occupais de
la bitte de son frère, Abdel sortit mes seins de ma guêpière
et les couvrit de baisers. Tout en gardant Mourad en bouche,
je m’allongeai sur le dos, en me concentrant sur les lèvres
d’Abdel qui descendaient lentement le long de mon corps.
Mes cuisses s’ouvrirent, et il écarta délicatement le bas
de ma guêpière pour découvrir ma vulve. La peau lisse de
mon pubis l’enchanta.
- Je constate qu’on s’est
bien rasé le minou, c’est bien, obéis à Abdel, et il voudra
bien te fournir ta dose de foutre !
Je laissai un moment la verge
de Mourad, pour profiter de cet instant. Abdel embrassa
tendrement l’entrée de mon vagin, et remonta doucement sa
langue pour sortir mon clitoris, qu’il mordilla délicatement.
La chaleur de sa langue remonta le long de mon corps et
m’ouvrit les portes du paradis. Je me cambrai et poussai
un petit gémissement alors qu’il glissait deux doigts dans
ma grotte, tout en léchant mon bouton avec avidité.
- Oui, Abdel, prends-moi,
prends ma petite chatte ! J’ai envie que tu me baises, maintenant
!
- Mais tu es toute mouillée
ma belle ! Regarde, frérot, le jus coule jusqu’à son cul
! Et t’en crèves d’envie, hein, de nos bites ? On ne va
pas être méchant, on ne va pas te faire attendre. Frangin,
c’est ton anniversaire, à toi de commencer !
J’aurais préféré débuter
par Abdel, mais après tout, comme j’étais bien décidée à
me faire prendre par les deux… Abdel se mit à califourchon
au-dessus de ma tête, et saisit mes chevilles pour les monter
le plus haut possible. Mon vagin s’ouvrait alors que le
gland de Mourad l’effleurait, mais, alors que je me préparais
à jouir de cette première pénétration, fermant même les
yeux pour me concentrer sur ma chatte, je me rendis compte
avec un certain effroi que je n’avais pas prévu le sens
de l’attaque. C’est contre mon petit trou que je sentis
la verge de Mourad s’appuyer. J’essayai de me détendre,
mais mon œillet restait fermé. Mourad poussa alors son gland,
doucement, mais fermement. Ouf, ça s’écarte, ça y est, le
gland est rentré, le plus dur est fait. Mourad continua
de pousser, me faisant profiter de chaque millimètre de
son chibre. Enfin, je sentis son ventre contre ma vulve,
il était tout entier dans mon cul, comme c’était bon ! Tu
sais que j’aime bien la sodomie, là j’étais servie ! En
fait, sans lubrifiant, et compte tenu du calibre de la bestiole
qui me limait le fion, j’ai même eu mal au début, mais Abdel
m’a glissé son sexe dans la bouche, étouffant ainsi mon
cri. Mourad commença des va-et-vient rapides, et, très vite,
mon sphincter se dilatant, et sa queue se couvrant à chaque
sortie de la cyprine qui me coulait du con, la douleur fit
place à un plaisir intense, qui, remontant le long de mon
épine dorsale, me fit crier mon bonheur. Je me relâchai
totalement, m’abandonnant à Mourad, et cela ne fit que dilater
encore mon orifice.
- Oui, Mourad, vas-y, bourre-moi
le fion, j’adore ça !
- Vas-y frangin, plus fort,
elle en redemande cette salope ! Elle jouit du cul !
Mourad s’activa ainsi un
bon moment dans mon cul, puis je le sentis se raidir. Il
se retira presque, laissant juste son gland à l’intérieur,
et, en haletant, lâcha en moi de puissants jets de sperme
brûlant qui m’arrachèrent un cri de plaisir presque bestial.
Il me donna encore quelques coups de reins, puis retira
sa queue de mon cul et me la mit devant la bouche, toute
maculée de son jus.
- Une belle barre au chocolat
pour madame, enrobée de crème premier choix, elle est toute
chaude, elle sort du four !
- Hmm, ce serait dommage d’en
perdre une goutte !
Je l’embouchai aussitôt,
c’était délicieux, cette belle bitte bien chaude ! Mon anus
n’eut pas vraiment le temps de se refermer, car Abdel avait
remplacé son frère entre mes fesses, et s’y enfonça comme
dans du beurre, glissant sur le sperme tout juste déposé.
Il me conduisit vite à nouvel orgasme, tandis que je trouvais
à la verge de son frère sortant de mes entrailles une nouvelle
saveur, et m’appliquais à lui redonner toute sa rigidité.
Abdel me besogna aussi longtemps que son frère et ce fut
tout aussi bon, mais il n’éjacula pas dans mon cul. Il ressortit,
et s’allongea sur moi, embrassa goulûment mes seins puis
ma bouche.
- Abdel, mon amour, occupe-toi
un peu de mon minou, maintenant
J’avais tellement envie de
le sentir remplir ma chatte que mon bassin alla à la rencontre
du sien, et mon vagin aspira littéralement sa queue, jusqu’à
ce que son gland vienne toucher ma matrice. Je passai mes
jambes par-dessus son dos pour poser mes pieds sur ses fesses,
et m’appliquai avec mes muscles intimes à lui serrer au
mieux son engin qui me labourait et me menait irrésistiblement
à l’orgasme.
- Oh, comme j’en ai rêvé,
de ta bite dans ma chatte ! Vas-y mon beau, donne tout !
Ce traitement le poussa à
bout, car au bout de quelques minutes, je le sentis se raidir
dans mon sexe. Je le serrai bien fort contre moi pour qu’il
ne se dégage pas, et ma bouche alla à la rencontre de la
sienne. Qu’il était beau à ce moment ! Nos langues se trouvèrent
en même temps qu’il éjaculait abondamment tout au fond de
mon ventre. Mon plaisir n’eut pas le temps de retomber,
car Mourad remplaça son frère immédiatement pour mon plus
grand bonheur. Une longue, divinement longue série d’alternances
s’ensuivit, où, tandis que je suçais un frère pour lui faire
reprendre une érection, l’autre me pénétrait fougueusement,
dans la chatte, ou dans le cul, puis en changeant si vite
de fourreau que je finissais par ne plus faire la différence,
puisque l’un ou l’autre me maintenait dans un orgasme quasi-permanent.
Mon vagin bien lubrifié restait cependant assez ferme pour
me permettre maintenant de distinguer entre les verges de
mes deux amants, Abdel qui l’ouvrait davantage, Mourad dont
le gland appuyait sur ma matrice lorsque ses poils de pubis
touchaient mon clitoris. Toutes les positions y sont passées,
j’étais tantôt allongée sur le dos, sur le côté, sur le
ventre, à quatre pattes, ou bien chevauchant mes étalons,
jouissant des nouvelles sensations que me donnait chacune
des façons qu’ils avaient de me pénétrer. Finalement, alors
que, à nouveau allongée sur le dos, je suçais son frère
et qu’il m’enculait tout aussi vigoureusement que la première
fois après un nombre incroyable d’assauts, Mourad n’éjacula
pas en moi mais me présenta aussi sa verge à côté de celle
d’Abdel. Je les pris toutes les deux en bouche, les suçai
avec voracité, et, lorsqu’ils jouirent, Abdel n’eut pas
besoin de me tenir la tête pour que j’avale tout, tellement
c’était bon, tellement j’avais soif d’eux. Je les gardais
un moment en moi, les mordillais tendrement, tâchant de
distinguer le goût du sperme d’Abdel de celui de Mourad,
et de ma propre cyprine dont je les avais généreusement
enduits.
- Waouh, la meuf, elle a
tout bu ! oh, ce qu’elle est bonne !
- Ta chatte, ton cul, c’est
le paradis !
- Allez les mecs, il faut
arroser ça ! Champagne ! Après le sperme chaud, c’est ce
qu’il y a de meilleur à boire !
Mes deux beaux amants étaient
un peu fatigués. Mais ce qui m’étonnait moi-même, c’était
que, bien qu’ils m’aient labouré le ventre pendant des heures
et donné de nombreux orgasmes, mon désir sexuel était toujours
aussi grand. Il fallait pourtant leur laisser un peu de
temps pour se remettre. J’ôtais ma guêpière, en drôle d’état
et toute tâchée, et allais nue jusqu’à la cuisine pour chercher
quelques rafraîchissements. Hors de question en tout cas
de me laver, et pourtant j’en aurais eu besoin ! Pas besoin
de regarder pour savoir que ma chatte dégorgeait littéralement
de sperme, je sentais suffisamment que ça coulait le long
de mes cuisses quand je marchais. Cela dut exciter mes étalons,
car, après quelques verres de champagne, je vis que leurs
verges reprenaient une belle vigueur. Mais à présent, c’était
moi qui menais le jeu, qui les dirigeais par la force de
mon désir insatiable, et par celui que je faisais grandir
en eux. Ils étaient sur le lit, se masturbaient en me regardant
me dandiner, passer mes doigts sur ma vulve pour y recueillir
leur semence, et m’en pourlécher avec des ronronnements
de gourmandise. Quand je les jugeai à point, je fis signe
à Abdel.
- Abdel, viens me niquer,
j’ai envie…
Mon ton se voulait plaintif,
suppliant, mais c’était un ordre. Abdel se leva et vint
contre moi. Je me pendis à son cou, l’embrassai tendrement,
et, alors que ses mains se baladaient sur mes fesses, je
passai mes jambes autour de sa taille, m’abandonnant entièrement
à lui. C’est sans difficulté que sa queue trouva le chemin
de mon vagin qui l’y accueillait maintenant comme une vieille
connaissance. Les bras puissants d’Abdel me soulevaient
loin de la terre, puis, alors que je sentais son gland entre
mes lèvres intimes, me laissaient retomber et m’empaler
entièrement sur son pieu. Je ne tardai pas à jouir, mais
je faisais continuellement des œillades langoureuses à Mourad,
lui montrant de la tête ce que j’attendais de lui. Il comprit,
flatta ma croupe, et alors qu’Abdel écartait largement mes
fesses, il introduisit d’un coup sa bitte dans mon cul.
Au début de l’après-midi, je n’aurais jamais osé penser
à une double pénétration avec de tels engins, mais les dernières
barrières avaient sauté en moi, et puis leurs assauts avaient
franchement agrandi mes orifices.
- Oh oui, les mecs, dans
ma chatte et mon cul, en même temps, c’est trop bon, vous
me faites jouir mes salauds ! Oh quel pied !
Ne touchant littéralement
plus terre, je partis immédiatement au septième ciel. Ils
devaient avoir l’habitude, car ils adoptèrent un rythme
subtilement désynchronisé. Tantôt ils rentraient et ressortaient
ensemble, me laissant alternativement comblée puis vide,
tantôt Mourad se retirait presque alors que le gland d’Abdel
touchait ma matrice. Ils me besognèrent un bon moment comme
ça, puis Abdel dut fatiguer, car il s’allongea sur le lit,
mais en me maintenant la chatte empalée sur lui. Mourad
reprit aussitôt son poste dans mon cul, tout en me pelotant
les seins et en m’embrassant avec avidité. J’enchaînais
les orgasmes, me menant au bord de l’évanouissement tellement
les hurlements me faisaient manquer d’air, tandis que mes
étalons, qui avaient encore gagné en endurance en se vidant
copieusement en moi tout à l’heure, inversaient leurs rôles
et me pilonnaient inlassablement. Tout mon bassin était
dilaté, il me semblait que ma chatte et mon cul ne formaient
plus qu’un seul trou, non, que toute entière je n’étais
plus qu’un trou pour vider des couilles. J’étais saillie
comme une bête en chaleur, c’était ça mon fantasme, il se
réalisait au-delà de mes espérances. Avec une remarquable
simultanéité, ils éjaculèrent en même temps, Mourad au fond
de ma chatte, Abdel, qui venait juste de sortir de mon cul,
sur mes seins.
Epuisés, nous restâmes un
moment affalés les uns sur les autres. La bitte de Mourad
débandait doucement dans ma chatte, me procurant des sensations
d’une infinie douceur. Pourtant, je n’en avais pas tout
à fait fini avec eux. Après une courte détente pour reprendre
mon souffle, je les allongeais l’un à côté de l’autre et
m’appliquais à les sucer pour leur redonner vie. Je devais
avoir atteint une maîtrise parfaite de cet art, ou alors
ils étaient remarquablement vigoureux, car je sentis bientôt
une nouvelle raideur sous ma langue. Pour accélérer le processus,
j’enveloppai leurs verges entre mes seins juste couverts
de sperme, et entamai une cravate de notaire en bonne et
due forme. Quand l’érection fut complète, je leur dis ma
dernière exigence.
- Dites les mecs, après toute
une après-midi de défonce, je pense que ma chatte est suffisamment
agrandie et lubrifiée pour que vous y passiez à deux, non
?
- Punaise, elle est déchaînée
cette meuf ! A deux dans la chatte !
- Bien sûr qu’on va te bourrer.
Une occasion pareille, ça ne se loupe pas !
Je me mis à califourchon
au-dessus d’Abdel, en lui tournant le dos. Je lui pris la
bitte et l’introduisis dans ma chatte, et commençais à le
chevaucher tout en continuant une fellation pour Mourad.
Puis, alors qu’un nouvel orgasme montait en moi, je m’arrêtai,
profondément empalée sur Abdel, et m’allongeai le dos sur
sa poitrine. Mourad s’approcha, appuya son sexe sur celui
de son frère, et, écartant mes lèvres avec ses doigts, put
se frayer un chemin en moi. Mon dieu, ce que c’était bon
!
- Oh oui les mecs, vous allez
me faire exploser, défoncez-moi la chatte !
J’émis encore un flot de
cyprine, et vu le sperme déjà déposé, mes deux amants purent
coulisser sans difficulté, et adoptèrent vite un rythme
rapide qui me rendait folle. La sensation de dilatation
était extraordinaire, je sentais que j’allais être déchirée
en deux, mais plus ils me pénétraient, plus mon désir sexuel
montait. Je connus mon orgasme le plus intense de la journée,
tandis que les jets encore puissants d’Abdel et Mourad inondaient
ma matrice. Ma langue plongea à la rencontre de celle d’Abdel,
dans un baiser passionné.
- Alors, les mecs, on est
contents de sa petite Gaëlle ? J’ai été assez salope pour
vous ?
- Putain, tu es le coup du
siècle ! Je n’ai jamais joui comme ça !
- Et le petit Mourad, il est
heureux de son cadeau d’anniversaire ? Tu sais, des filles
comme moi, tu n’en auras pas beaucoup !
- Ouf, je ne suis pas près
de l’oublier, il me faudra bien une semaine pour pouvoir
de nouveau bander.
- Vraiment ? Quelle petite
nature… Allez, c’est pas que je m’ennuie avec vous, mais
mon mari va rentrer, et je suis couverte de foutre. Rhabillez-vous,
et ouste !
»
Le récit de Gaëlle m'avait
laissé sans voix. Elle, si douce, si tendre, si aimante,
s'être ainsi offerte avec une telle bestialité, et me raconter
cela sans aucune pudeur, comme si tout cela faisait partie
du quotidien. J'avais cru avoir tout pu imaginer, dans le
square, et j'étais pourtant loin de la réalité. Cependant,
deux sentiments montaient en moi. Le premier était la grande
fierté d'être aimé de cette femme merveilleuse. Le second
était un désir fou pour elle, né de son récit et de la beauté
que je commençais à trouver aux filets de sperme qui lentement
coulaient de son vagin. Elle semblait partager mon excitation,
et me déshabilla lentement. Elle s'empara de ma verge, et
commença une superbe fellation. Au moment où j'allais venir
dans sa bouche, elle m'offrit un baiser passionné. "J'ai
très envie de toi, maintenant, mon amour. Reprends possession
de ta petite salope de femme, et inonde- moi." Elle s'allonge
sur le dos, et ouvre ses cuisses comme un compas. Sa chatte
s'entrouvre encore, c'est fou de désir que je m'introduis
doucement en elle. La sensation est délicieuse, ma queue
glisse sans peine dans un mélange, inédit pour moi, de cyprine
et de sperme. J'avais pensé qu'elle ne sentirait rien, son
sexe étant inhabituellement dilaté, mais, dès ma première
pénétration, ma femme poussa un gémissement de plaisir,
plein de tendresse et sans vulgarité, comme ça a été toujours
le cas pour nous. En cet instant, sa sensualité touchait
à la divinité. Je n'avais jamais eu autant de plaisir à
faire l'amour avec elle. Excité comme je l'étais, je ne
tardai pas à répandre à mon tour ma semence tout au fond
de sa chatte, et les nuits d'abstinence qu'elle m'avait
imposées firent que j'éjaculai très abondamment. En me retirant,
je regardai mon propre flot sortir, se mêlant à ceux de
ses deux amants. Nous nous enlaçâmes tendrement. "Je t'aime,
mon chéri, quel bel anniversaire tu m'as offert." Puis,
après une pause : "Au fait, avant de partir, Abdel m'a invité
chez lui la semaine prochaine. Ne dis pas non, mon ange,
il aura fait venir tous ses amis, et je serai l’invitée
d’honneur. Et tu aimes tellement me prendre quand je suis
pleine de foutre..."
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