Tout se passe lors de la fête de fin d'année
du bureau. Il faut que je vous parle d'Anaïs. Elle doit
avoir à peu près 30 ans, assez costaude, brune, mais surtout
très timide. Comme moi en réalité ! À Noël, au bureau, je
prends mon courage à deux mains et je vais lui parler. Je
la bouffe des yeux. Elle a mis une petite robe rouge moulante,
assez sexy. Je lui offre un petit verre de vin blanc. On
parle surtout du travail. Dans ma tête, je n'arrête pas
de chercher un moyen d'être seul avec elle. Tout d'un coup,
elle me dit qu'elle veut me montrer un dossier dans son
bureau. Moi, je me demande si c'est un prétexte pour autre
chose ou si elle veut vraiment me montrer ce dossier sur
lequel elle travaille.
En la suivant, je regarde ses hanches qui se balancent.
Je me mets à bander comme un dingue. J'entre dans son bureau
en essayant de cacher la bosse dans mon pantalon. Elle a
un bureau vitré et les stores sont baissés. Elle me demande
de m'approcher pour qu'elle puisse m'expliquer. Je suis
derrière elle. Je sens son parfum. Il me rend comme fou.
Là, je fais quelque chose qui n'est pas dans mes habitudes.
Sans penser une seconde à la réaction qu'elle pourrait avoir,
je me penche et je l'embrassé dans le cou en tenant ses
épaules. Anaïs se retourne vers moi et elle me dit :
- Je me demandais bien quand tu te déciderais !
Ensuite, elle colle ses lèvres sur les miennes. Nous nous
embrassons passionnément. J'ai envie de lui faire l'amour
maintenant. Elle relève les fesses et m'offre son sexe Je
la couche sur le bureau. Je remonte sa robe puis j'enleve
sa petite culotte. Je lui lèche la chatte pour lui mettre
l'eau à la bouche. Anaïs me caresse la tête en me la tenant
collée sur elle. Ça me rend dur comme un étalon de sucer
son bonbon rose. Elle relève les fesses et m'offre son sexe
pour que je puisse aller plus profond avec ma langue. Je
l'entends respirer de plus en plus fort. Je la lèche à lui
en faire perdre la tête. Je défais ma fermeture éclair et
je sors mon cadeau de Noël, prêt à éclater. Je frotte mon
gland sur les rebords de sa chatte. Anaïs me dit dans le
creux de l'oreille :
- Vas-y ! Baise-moi... Plante-moi sur mon bureau !
À sa demande, je la pénètre d'un coup. Elle est assise sur
le bureau, elle pose ses belles cuisses autour de ma taille
en s'accrochant à mon cou. Elle bouge son bassin autour
de mon sexe pendant que je caresse son petit cul. Elle me
fait bander si dur. Je découve une vraie petite cochonne
! Je la soulève pour lui donner quelques coups de queue
debout. Elle gémit de plaisir. Je soutiens ses cuisses et
elle enfonce mon pieu en elle. Puis, je la rassois sur le
bureau et je la pompe solide. Je palpe ses cuisses dures
et ses mollets. J'adore ses jambes, elles me font un effet
monstre. Je les lèche, je les mordille. Anaïs râle de plaisir.
Elle se touche les nénés, la chatte, elle se câline le clito.
J'accélère mon tempo. Je donne de grands coups, très rapidement.
Elle jouit instantanément en râlant profondément. J'éjacule
presque aussitôt, une vraie bête ! Nous nous rhabillons
en vitesse et nous allons rejoindre les autres.
Personne ne s'est aperçu de notre absence. Après, j'ai une
idée. Je rejoinds Anaïs pour lui parler seul à seul. Je
l'entraîne vers le bureau de la patronne. La porte n'est
pas verrouillée. Tout d'un coup, nous entendons un bruit.
Nous avons juste le temps de nous cacher dans le placard
du bureau. Je me dit : " Merde ! C'est la patronne ! " Elle
est accompagnée de Thibault, le commis qui distribue le
courrier dans la compagnie. Tout ce que nous entendons,
Anaïs et moi, c'est la patronne qui dit :
- Allez, personne ne va le savoir, ils sont tous en train
de fêter !
Elle dépose son verre et elle se met à embrasser Thibault
dans le cou, sur la joue, puis sur les lèvres. Je vois sa
main toucher l'entrejambe du commis. Il déboutonne la blouse
de la patronne. Pendant ce temps, je caresse Anaïs juste
devant moi. Je palpe ses fesses, ses hanches et je remonte
jusqu'à ses beaux seins. Je sens sa main tâter ma queue.
Thibault couche la patronne à plat ventre sur son bureau.
Pendant qu'il baisse le pantalon de la patronne, je relève
la jupe d'Anaïs qui me tend déjà son cul. Je les vois se
branler mutuellement tout en s'embrassant. J'ouvre alors
ma braguette, je libère mon sexe dur pour l'enfoncer lentement
dans la grotte d'amour de ma partenaire. Thibault pénètre
maintenant la patronne avec une ardeur incroyable. Il l'a
besogne de plus en plus rapidement tout en caressant ses
fesses. Je fais la même chose avec Anaïs. Ça m'excite de
la regarder se faire bourrer par Thibault pendant que je
fais la même chose avec Anaïs. J'ai la bite comme du béton
et Anaïs mouille comme un ruisseau. Le commis met ses mains
sur les hanches de la patronne et il lui lui laboure le
sillon frénétiquement. Elle se fout la main sur la bouche
pour ne pas crier. Je m'aperçois alors qu'Anaïs fait la
même chose. Je la sens au bord de l'orgasme. Je me mets
à donner des coups plus forts et je sens qu'un grand frisson
la traverse de part en part. Tout d'un coup, la patronne
gémit et jouit très fort. Elle lance de petits cris aigus
à chaque coup de queue que Thibault lui envoie. Lui aussi
jouit en lâchant un long râle. Il se rhabillent tous les
deux et ils sortent rapidement. Nous aussi. Plus tard dans
la soirée, on a le fou rire en entendant la patronne raconter,
pendant un discours, qu'il faut bosser ensemble le plus
étroitement possible ! Anaïs et moi, nous suivons déjà ses
conseils !
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