Nous sommes jeudi après-midi, il fait beau,
Hélène lit un livre dans son salon.
Elle est très détendue, le soleil, la musique douce, le
calme, tout pour être bien.
Hélène se met à penser qu'à cette heure, elle ferait bien
l'amour. La voilà partie dans des rêveries un peu coquines,
son corps commence à s'éveiller, un frisson parcourt son
corps, lorsque tout à coup la sonnette de l'entrée retentit.
Elle se lève et va ouvrir.
Deux hommes en bleu de travail se présentent :
- Bonjour madame nous venons pour la fuite de votre évier.
- vous devez faire erreur messieurs !
- c'est Serge qui nous a demandé de passer.
- ah bon ! Il ne m'en a pas parlé… alors entrez et
faites donc.
Hélène regarde les deux hommes entrer dans la cuisine,
ils se mettent a vérifier l'évier.
Puis ses pensées la reprennent. Elle en rougit mais elle
trouve la situation excitante.
Elle imagine les deux ouvriers nus sous leur bleu de travail,
elle les imagine ouvrant la longue fermeture à glissière
et sortir deux énormes engins. Ses pensées ne font qu'amplifier
son excitation et elle souhaite qu'ils partent pour pouvoir
se soulager toute seule en se caressant.
C'est à ce moment que le téléphone sonne.
- Salut mon amour tu vas bien ?
- oui mais tu aurais pu me prévenir pour les ouvriers !!!!!
- ne t'inquiète pas Hélène, ce sont deux amis a qui j'ai
parlé de la fuite et ils se sont proposés.
- oui mais quand même ! Je dois les payer lorsqu'ils auront
fini ?
- non, paye-leur un coup à boire et ça ira. À tout a l'heure
mon amour, je compte ne pas finir trop tard.
Au moment où elle raccroche le téléphone, Hélène s'aperçoit
qu'elle est toujours en peignoir, elle panique et court
à la chambre se changer.
Elle est en train de choisir ses vêtements quand soudain
une idée germe doucement dans son esprit. Si je m'habillais
sexy !! Serge ne rentre que dans 2 heures et ça lui mettra
le feu de penser que ses copains auront pu me voir ainsi.
Hélène choisit de mettre sa mini jupe avec un petit haut
bien échancré et pour finir des bas avec un porte-jarretelles.
Au dernier moment elle décide en plus de ne pas mettre de
petite culotte. Hélène se dit qu'elle seule le saura et
Serge lorsqu'elle le lui dira. Alors pas trop de risque
mais pour elle la situation devient de plus en plus troublante.
Ainsi vêtue, elle rejoint les deux ouvriers dans la cuisine
et elle surprend leur regard lorsqu'elle fait son entrée.
Le plus petit des deux ne peut retenir un sifflet d'admiration.
- Serge ne nous avait pas dit qu'il avait une si jolie
amie, dit il d'un air admiratif.
- voyons Roger tu pourrais éviter tes commentaires, dit
le plus grand.
- tu sais Jean, je ne fais rien de mal ! en lançant un
clin d'œil complice a Hélène.
Hélène sent ses joues se colorer, elle ne sait si c'est
de gène ou d'excitation.
Elle ne dit rien et passe au salon ; elle entend les ouvriers
commenter sa tenue :
- Tu as vu, elle est bandante l'amie de Serge.
- oui je la baiserais bien, moi.
Hélène entend ce discours de macho, cela ne la laisse pas
indifférente et elle est toute excitée de voir l'effet qu'elle
leur a fait. Maintenant elle sait que le petit est Roger
et le grand Jean.
Jean entre dans le salon et lui dit qu'ils ont fini.
- Avez-vous une serviette car on voudrait s'essuyer les
mains.
- je vous en donne une tout de suite.
Hélène prend un linge et leur apporte. Ils sont tous les
deux debout près de l'évier et elle est obligée de les frôler
en passant, Roger choisit ce moment pour se coller un peu
contre elle . Hélène sent contre ses fesses l'engin de Roger
qui n'est pas au repos.
Elle ne peut s'empêcher, lorsqu'elle est éloignée, de se
retourner pour regarder le bas ventre de Roger et là, surprise
!!! Elle y voit une énorme bosse alors elle se réfugie vite
au salon pour ne pas paraître trop vulgaire .
Elle s'assoit dans son canapé et pense à ce qu'elle vient
de voir, elle frissonne et se dit qu'elle aurait aimé voir
ça de plus près. Mais elle ne va quand même pas faire ça
avec des copains de Serge, cela serait déplacé pense-t-elle.
Ils la surprennent dans ses pensées.
- Bon… eh bien… madame, on y va.
- combien vous dois-je ?
- rien c'est par amitié pour Serge que nous l'avons fait.
- vous boirez bien un verre ?
- ah ! ça ! on veut bien ce ne sera pas de refus.
- prenez place je vais vous servir.
Les deux amis se mettent dans le canapé et Hélène va leur
chercher à boire. Lorsqu'elle pose les verres sur la table
basse du salon elle surprend les regards plonger dans son
décolleté.
- Venez vous asseoir près de nous, dit Jean.
- ils s'écartent et Hélène n'a pas d'autre choix que de
s'asseoir entre eux deux.
En s'asseyant sa jupe remonte plus haut sur ses cuisses
et les deux mateurs ne ratent rien du spectacle. Ils se
mettent à boire et à commenter la fuite de la cuisine alors
que tout le monde à ce moment s'en fout et pense à autre
chose. Plus ils boivent et plus la conversation devient
coquine. Hélène tremble de peur et d'excitation.
Elle est perdue dans ses pensées quand il lui semble entendre
Roger le petit dire à Jean :
- La mienne est plus grande.
Ce qui a pour effet de faire revenir Hélène sur terre.
- De quoi parlez vous Roger ? s'entend demander Hélène.
- de mon sexe Hélène, vous permettez que je vous appelle
Hélène ?
Hélène remue positivement la tête, stupéfiée par la réponse
de Roger.
- Hélène voulez-vous être le juge ? demande Roger.
Elle s'entend répondre oui. Elle entend de chaque côté
les glissières descendre.
Elle ferme les yeux, elle a honte, mais elle ne peut plus
reculer, que vont-ils lui demander à présent ? Roger prend
sa main et Jean de son côté en fait autant, elle sent ses
mains guidées vers un but qui déjà la rend toute tremblante.
Elle garde les yeux fermés et se laisse guider. Ses mains
se posent sur les objets chauds et palpitants, elle referme
les doigts autour.
Les yeux toujours fermés, elle serre ses deux queues et
là, elle comprend ce que Roger voulait dire. Il a une queue
énorme, ses doigts n'en font pas le tour ; celle de Jean
est plus longue et a l'air plus dure. La respiration d'Hélène
s'accélère. Elle sent ses mains guidées monter et descendre
sur ses deux bites tendues pour elle.
Elle est fière d'être la cause de cette excitation. Jean
lui demande d'ouvrir les yeux.
Elle les ouvre et regarde ces deux belles queues tandis
que les deux hommes commencent à la caresser.
Roger lui dit :
- Hélène tu es super bandante habillée ainsi. Je ne peux
résister à une femme aussi sexy ! Suce-moi !
Il passe une main sur la tête d'Hélène et la pousse vers
son énorme bite
Hélène pose ses lèvres sur ce gros gland rose et brillant
et commence à le caresser, à le branler. En le glissant
dans sa bouche elle sent cette queue battre, elle gonfle
encore sous ses caresses. Hélène se demande quand elle va
s'arrêter de gonfler.
Pendant ce temps Jean en a profité pour se glisser entre
ses jambes. Elle sent la langue de Jean glisser le long
de ses cuisses, remonter doucement entre elles, elle les
écarte plus, pour laisser le champ libre à la bouche qui
se pose sur son sexe.
Son minou est trempé, la bouche de Jean se pose dessus
et commence à y faufiler sa langue au plus profond, puis
la langue remonte sur son clito, la bouche se referme sur
celui-ci et le suce. Hélène gémit de plaisir.
Roger la pousse de plus en plus vite sur sa bite, Hélène
sent la queue prête à exploser dans sa bouche, les couilles
de Roger sont pleines dans la main d'Hélène, qui les masse,
alors elle décide d'arrêter. Ce serait dommage de ne pas
profiter de si belles queues.
Elle se relève, les deux hommes sont admiratifs devant
la beauté sexy d'Hélène, elle le voit car elle voit ses
deux gros membres se redresser et battre d'excitation. Elle
ne peut s'empêcher de s'empaler sur la bite de Roger, elle
s'assoit doucement. Le gland glisse entre ses lèvres et
doucement commence à la remplir. Elle le sent si bien qu'elle
peut sentir les battements des veines qui entoure cette
belle bite.
Elle le fait pénétrer à fond en elle puis doucement commence
un doux va-et-vient ; elle le sent buter au fond d'elle.
Elle se colle à Roger, elle veut le sentir encore mieux.
Pour Jean le spectacle du beau cul d'Hélène qui monte et
qui descend ne le laisse pas de marbre.
Il s'approche, la saisit par les seins qu'il presse et
caresse et doucement passe sa langue sur le dos d'Hélène
; puis la langue descend, glisse entre ses fesses pour doucement
lécher son beau petit trou ; il la lèche, monte, redescend,
lorsqu'il la sent assez humide il glisse un doigt qu'il
fait tourner comme pour masser une entrée a venir. Comme
s'il voulait l'élargir, mais sans brutalité !
Lorsqu'il la sent assez ouverte, il dit à Hélène de se
lever. Debout sur ses talons hauts, elle est superbe. Il
la pousse pour la faire reculer et s'asseoir sur la bite
de Roger le gland est entre ses fesses et commence à glisser
en elle ; Hélène est surprise de le sentir la pénétrer sans
aucune douleur. Au contraire elle sent un doux plaisir l'envahir,
alors droite comme un i, elle descend et monte sur la queue
de Roger.
En face d'elle, Jean lui caresse les seins durs et fermes,
lui mordille les bouts puis il se redresse et lui tend sa
longue bite. Hélène la prend dans ses mains et la caresse
; elle se saisit de ses couilles pleines et gonflées, se
met à les masser en suçant cette belle queue, elle salive
bien sur le gland avant de se mettre à le branler.
Ils sont tous les trois en train de gémir de plaisir, Roger
dit à Jean :
- Laisse-la se retourner, j'ai envie de me sentir au chaud
dans sa belle chatte.
Hélène ne se fait pas prier et s'empale de nouveau sur
la bite de Roger
; Jean de voir le cul tendu d'Hélène ne peut résister à
la sodomiser. Hélène sent ces deux queues la remplir, elle
hurle son plaisir. Ces quatre mains qui courent sur son
corps, ses seins, ses cuisses, ses fesses la font vibrer.
À ce moment, Jean se retire et dit qu'il va se laver pour
qu'Hélène puisse le sucer.
Pendant qu'il se lave Hélène danse comme une folle sur
la bite de Roger qui frappe au fond de son sexe. Jamais
elle n'aurait penser que sa chatte pouvait être si gourmande.
Jean revient, monte s'asseoir sur le dos du canapé pour
pouvoir mettre sa bite dans la bouche d'Hélène. Tout en
s'empalant de plus en plus fort sur la bite de Roger, qui
la rend folle, Hélène s'empare de la bite de Jean et se
met à le sucer.
Tout à coup la porte d'entrée claque. Hélène veut se retirer
mais les deux hommes la maintiennent et redoublent leurs
coups de rein. Hélène gémit de plaisir et de peur.
Serge est là qui s'avance vers eux, Hélène ne sait plus
quoi faire. Alors Roger qui la tient aux hanches la soulève
et la redescend à toute force sur sa queue Avec sa bite
tendue dans la bouche d'Hélène, Jean la bloque en lui tenant
fermement la tête. Elle a peur de la réaction de Serge.
Surprise, elle le voit se dévêtir, son sexe est tendu.
Il s'approche se saisit de ses fesses et sans un mot glisse
sa bitte entre ses fesses et se met à la sodomiser à grands
coups. Elle sent ses testicules frapper contre ses fesses,
elle sent la bite de Roger et de Serge frotter à travers
elle. Les coups des trois hommes redoublent de puissance,
ils sont prêt à jouir quand Hélène crie son propre plaisir,
elle hurle son plaisir, elle sent les trois bites gonflées
prêtes à exploser. C'est à ce moment que Serge crie stop
!
Les trois hommes arrêtent et se dégagent d'Hélène. Serge
toujours sans un mot prend Hélène et la fait s'agenouiller
devant eux. Les trois hommes, la bite tendue vers elle,
sont debout.
Elle est là, nue devant eux. Elle sent le fruit de sa jouissance
couler le long de ses cuisses. Ensemble les trois hommes
se branlent face à elle. Elle voit ces trois bites secouées
devant son visage. Elle ne peut s'empêcher de glisser sa
main entre ses cuisses et se caresse. Elle voit ces trois
queues dressées, les trois hommes se branlent et tour à
tour la font sucer.
Lorsqu'elle à la queue de Serge dans la bouche, elle la
sent gonfler de plus en plus par pulsion. À ce moment elle
sait que Serge va jouir, elle sent de longs jets frapper
le fond de sa gorge pendant qu'un liquide chaud lui emplit
la bouche. Les deux autres poussent des gémissement en jouissant
sur son visage. Elle sent de longs jets frapper ses yeux
et ses joues.
Lorsque les trois queues sont vides, Hélène se relève et
part se doucher.
Et quand elle revient nue, elle voit les trois hommes qui
se mettent à rebander.
Alors, Serge prend les choses en mains.
- Hélène mets-toi à quatre pattes !
Hélène ne se fait pas prier. Son cul bien en évidence,
les trois hommes tour à tour la prennent et se vident de
nouveau en elle. Roger et Jean, sans un mot, se rhabillent
et partent, pendant que Serge continue à la caresser. Il
la plaque contre lui et l'embrasse à pleine bouche, leurs
deux corps chauds et ruisselants se collent l'un à l'autre.
Pendant le baiser de Serge, Hélène sent son membre palpiter
contre son ventre. Au moment où elle va lui poser la question,
Serge la soulève et la pénètre avec une violence tendre
et dure à la fois ; il se met à la baiser comme jamais il
ne l'avait fait auparavant.
Hélène ne saura jamais si c'est Serge qui a préparé tout
ça ou si il les a réellement surpris. Mais jamais elle n'oubliera
la fuite de l'évier.
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