Cette histoire remonte à quelques années. Je venais d'avoir 18 ans et j'étais très stressé par les révisions du bac. Mes parents hébergeaient depuis peu une de leur ancienne copine de fac. Elle s'appelait Jacqueline, elle était très sympa et très vivante. Elle galérait un peu niveau boulot et c'est tout naturellement que mes parents avaient décider de l'aider. Elle avait passé 40 ans mais elle restait très jeune d'esprit et très vivante. Physiquement, elle était petite et assez enveloppée, mais son visage restait très fin. Elle était complètement décomplexée et elle s'habillait toujours d'une façon très chic. Je n'avais pas de rapport très particulier avec elle. Je la trouvais très sympa sans plus.

Un jour elle est entrée dans ma chambre et déposa sur mon bureau une série de bouquins
-Tiens c'est pour te détendre un peu, il n'est pas saint à ton âge de rester plongé dans les livres de phylo.
Elle était ressortie sans que je puisse dire un mot. C'était des bouquins policier-espionnage ou le héros expliquait toutes les 10 pages avec beaucoup de détails comment il culbutait de nouvelles partenaires. Le lendemain au petit-déjeuner.

-Alors, tu as eu le temps de lire mes bouquins, tu as l'air plus détendu ce matin.
Je répondais d'un oui très timide. Je n'allais quand même pas lui avouer qu'après en avoir lu une partie, je m'étais masturber en pensant à elle.
Elle était devenue ma nouvelle obsession et je ne manquais pas une occasion pour la reluquer. Un jour, elle est entrée sans gêne dans la salle de bain alors que j'étais entrain de me doucher.
-Pardon, je viens de finir mon sport et je dois absolument me laver sans attendre.
Quel culot, je ne savais vraiment pas quoi faire et je plaquais mes mains sur mon sexe tout honteux en la regardant se déshabiller :
-Oh arrête un peu tes manières, tu oublies que j'ai changé tes couches quand tu étais bébé. Et tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège depuis quelques jours. Je n'aime pas les hypocrites.
Elle rentre dans la baignoire, prend le pommeau de la douche et commence à s'asperger d'eau bien fraîche.

-Allez, ne reste pas là sans rien faire, savonne moi le dos.
Je prends un gant de toilette savonneux et commence à lui caresser tout doucement le dos et les épaules.
-Allez, ne sois pas timide appuie bien fort et partout.
Je m'exécutais, passant le gant sur ses épaules, son dos, le creux de ses reins et puis finalement sur ses fesses. Son corps était tout en rondeur mais sa peau était ferme et je commençais à bander très fort. Elle se retourna pour me présenter une poitrine généreuse. Je commençais à les masser avidement toujours avec mon gant de toilette, puis je descendais doucement sur son ventre et arrivé à la naissance de son pubis, elle écarta ses jambes pour me permettre de nettoyer son intimité. Ce que je fis avec empressement.

-Eh doucement, c'est une zone délicate à prendre toujours avec légèreté.
N'empêche qu'elle avait poussé un gémissement ce qui prouvait bien qu'elle avait aimée ma caresse.
Satisfaite, elle repris le pommeau de douche et se rinça longuement. Je restais la les bras ballant sans savoir quoi faire, le sexe toujours en érection.

Quand elle eu terminer, elle me regarda des pieds à la tête et ses yeux s'arrêtèrent sur mon sexe.
-Je dois dire qu'il a bien poussé depuis l'époque où tu étais gamin.
Elle s'était approchée et elle avait pris à pleine main mes testicules et commençait à les masser. Délicatement d'abord puis de plus en plus rudement. Son autre main saisit alors mon membre en érection et commença à le branler. J'en profitais pour lui carresser ses seins, je l'embrassais goulûment, ses lèvres étaient brûlantes et nos langues se trouvèrent tout de suite. Elle commença à me branler très fort, je poussais des petits grognements de plaisir, ce qui semblait décupler son énergie.
Soudain mes mains se crispèrent sur se seins et je jouis abondamment entre ses mains. Mon sperme avait giclé sur son ventre, un peu même sur ses seins.
-Regardez moi ça, une vraie petite fontaine, je n'ai plus qu'a me relaver.

Cette fois ci, elle le fit toute seule. J'étais assis sur le rebord de la baignoire complètement exténué par la décharge de plaisir. Jacqueline sortie de la baignoire, passa une serviette autour de sa poitrine et en sortant :
-Tu manques encore d'entraînement et de résistance mais tu sembles très prometteur. Viens me rejoindre ce soir dans ma chambre. J'ai un tas de petits exercices en réserve.
Ce que je fis bien sur, vous devez bien vous en douter.

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