Allongée sur le dos cette petite femelle de Géraldine sentait
un souffle chaud lui donner des frissons au creux des cuisses.
Venue pour boire un café chez son ami Germain, il y a
quelque temps, elle n'avait pas voulu, ou su aller, jusqu'au
bout de la satisfaction de sa sexualité de petite salope.
La séance avait pourtant bien commencé, avec roulage de
pelle et paluchage en règle.Elle s'était vite retrouvée
en train de masturber une queue assez longue, mais moins
grosse que celle de son amant habituel, puis dépoitraillée
et soufflante elle avait sentie des mains lui descendre
son jean, lui ôter le string qu'elle avait enfilé pour l'occasion
et sa chatte avait été investie par une bouche venue se
poser dessus pour commencer à bien la sucer, lui tirer le
clito pour le faire gonfler.elle était dans un état second
et pensait en même temps à cette autre bouche qui la faisait
jouir et mouiller comme une petite baiseuse.
Sa tête ne se libérait pas encore bien pour qu'elle accepte
de se conduire en salope qui va se faire sauter, pour jouir
du sexe d'un autre, tout en pensant à un salaud qui viendrait
ensuite lui bourrer le ventre en lui enfonçant sa grosse
bite dans la chatte.
Le temps faisant son travail elle envisageait mieux la
suite des évènements pour aujourd'hui, d'autant qu'elle
savait que son amant était d'accord pour qu'elle assouvisse
sa sexualité, qui devenait exigeante, impérieuse, depuis
qu'il lui avait libéré la chatte, la bouche, les seins.Elle
devenait de plus en plus demandeuse de sexe et les mecs
le sentaient bien, puisqu'elle se faisait brancher assez
souvent par des types qui lui proposaient carrément de la
sauter.c'était nouveau pour elle et ça lui mettait assez
souvent le feu au ventre, avec l'envie de sentir une bite
venir s'enfoncer dans ses chairs pour la faire gueuler de
plaisir.
Germain avait commencé par lui palucher les seins en la
complimentant sur leur taille et sur ses pointes, qui étaient
maintenant presque toujours en érection ; puis il avait
ouvert son jean et sorti un membre imposant qu'elle avait
prit d'une main, pour commencer à le branler, pendant que
de l'autre elle ouvrait ses vêtements pour ne pas perdre
du temps et surtout ne pas avoir envie de reculer.la queue
vibrait doucement, en suintant, et Germain se laissait faire
tout en suçant les pointes des nichons de Géraldine qui
sentait progressivement son ventre devenir lourd. Il avait
descendu une main à l'intérieur du string et avait saisi
le clitoris pour commencer un léger gamahuchage qui la fit
frissonner, en lui donnant envie que ces doigts là aillent
plus loin.
Ses vêtements à terre elle s'était laissée aller sur un
canapé et Germain se mettant à genoux avait commencé à sucer
les lèvres de son sexe qui maintenant coulait pour de bon.
Les cuisses écartées elle ne se reconnaissait plus, elle,
la petite Géraldine, qui, il y a un an ne suçait personne
et branlait encore moins.là elle était prête à se faire
saillir pour le rut, la baise.elle allait jouir.elle le
savait, elle le sentait, même s'il lui restait encore un
peu de conscience de son époque d'avant.
Maintenant elle gémissait, en regardant cette tête entre
ses cuisses, qui allait et venait en la faisant gémir. Germain
s'étonna de la pilosité soyeuse de cette chatte bien bombée,
qui était un fait rare aujourd'hui, mais elle lui dit que
son amant aimait ça et que donc il fallait qu'il fasse avec.
Ce qu'il s'empressa d'accepter, trop content d'être entre
les cuisses de cette belle petite salope qui se faisait
reluire en parfaite femelle qui assume ses envies de sexe.
Replongeant, il enfouit son visage entre les lèvres trempées
de cette vulve et se mit à mordiller le clitoris qui était
devenu gros et saillant ; Géraldine était sur un nuage,
sa gêne du début faisait place à une sourde excitation bien
salace, bien salope, qui la mettait dans un état bizarre.elle
jouissait maintenant. Doucement le plaisir montait de ses
reins pour lui exciter les nichons, elle se sentait salope,
pute, en pensant à JP, à qui elle avait dit à quelle heure
elle irait voir son collègue. Il devait se branler en ce
moment, tout en gardant dans ses couilles du foutre lourd
et gras qui viendrait lui tapisser les muqueuses quand il
la reprendrait pour la refaire sienne.
Remontant doucement Germain venait de se positionner,
la queue devant la chatte coulante et trempée de Géraldine
qui n'en pouvait plus d'envie. Rapidement il avait enfilé
un préservatif. Il fallait qu'il lui mette son membre dans
le ventre, qu'il l'ouvre en s'introduisant dans cette gaine
chaude avide de baise.elle en mourait d'envie. Jouir, elle
sentait qu'elle allait jouir avec cette queutasse, elle
devinait qu'elle allait sentir sa tête exploser au moment
où le gland allait lui investir le ventre. Une nouvelle
bite se préparait à la pénétrer.nouvelle sensation, nouveau
plaisir de femelle qui passe d'une queue à l'autre, sans
complexe, sans gêne ni honte, maintenant qu'elle sait qu'elle
n'est salope que quand elle baise. Après elle redevient
mademoiselle.Mais pour l'instant, mademoiselle est écartelée
sous un mec qui vient de poser le bout de sa verge sur sa
motte et commence à pousser.Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, salaud,
c'est bon, pousse doucement que je le sente bien rentrer,
bien s'enfoncer dans mon ventre.ouiiiiiiiii, ooooooh, vas
yyyyyyyyyyyyyyyy, vas yyyyyyyyyyyyyyyy, lààààààààààààà,
aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh, ça y est, tu es au fond,
pousse, pousse, encore, plus loin, plus loiiiiiiiiiiiiiiin..oh
que je suis salope, oh ouiiiiiiiiii que c'est bon.je prends
une autre queue et en plus je jouis..je suis salope, j'aime
ça, j'aime la baise.j'aime me faire rentrer dedans.Ouiiiiiiiiiiii,
oooooooooh que c'est salaud. Oui c'est salaud de se faire
prendre, comme une adultérine femelle, alors que je ne suis
pas mariée. Mais c'est la même situation, j'ai un amant
qui me prend comme un sauvage et qui sait que, en ce moment
je suis en train de jouir sous la bite d'un autre.c'est
salaud et lubrique comme tout comme sensation.je n'aurais
jamais imaginé que ça me fasse jouir autant.
D'un coup, Germain s'était reculé, pour de nouveau s'enfoncer
dans cette chatte trempée et coulante ; sa bite glissait
et glissait pour venir buter au fond de cette matrice qui
semblait l'aspirer, puis ressortait dans un mouvement de
piston.ses mains avaient cramponné les hanches rondes et
sensuelles de la belle salope, qui maintenant gémissait
en continu, laissant filer sa jouissance en se mettant,
elle aussi, à donner des coups de reins de plus en plus
violents qui étonnèrent son partenaire. Il devait penser
que la petite Géraldine était encore la demoiselle d'avant.oui.
sauf qu'elle avait fait du chemin et que maintenant elle
se prenait de la queue, bien salope, bien grosse, bien juteuse
et qu'elle allait même à l'hôtel se faire sauter.s'il savait,
qu'en plus, elle avait un copain électrique.alors là.
Soufflant comme un phoque le Germain limait à se faire
péter les artères, amplifiant ses coups de bite pour bien
écraser la motte de Géraldine qui recommençait à gémiiiiiiiiiiiiiiiiiiir,
ouiiiiiiiiiiiiiii gémiiiiiiiiiiiiiiiiir que c'est bon la
baise, que c'est bon la bite, que ça fait jouiiiiiiiiiiiiir.en
râlant elle se recula pour faire sortir cette queue de son
ventre et se mit en levrette à fin d'inciter Germain à venir
la posséder par derrière.en un seul coup tant elle était
trempée, coulante, la queue venait de l'embrocher à nouveau
lui faisant pousser un vrai cri de bonheur.putain que c'était
bon !!! Dans cette position la bite lui rentrait encore
plus au fond, les couilles lui tapaient sur les cuisses
et avec ses mains Germain lui pognait les nibards dont les
pointes durcissaient encore plus, au point de presque lui
faire mal.
Puis, la prenant bien aux hanches il se mit à pistonner
comme un malade, défonçant cette croupe de baiseuse qui
en voulait davantage, lui serrant la croupe, puis avec une
main écartant ses fesses pour commencer à lui travailler
l'anus. A cette caresse Géraldine ne pu plus se retenir
et se mit à crier son bonheur, sentant sa respiration lui
manquer.son ventre était plein, son cul était en train de
se dilater, ses fesses se faisait pilonner.elle jouissait,
jouissait, jouissait, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, je jouiiiiis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis,
âââââââââââââââahhhhhhhhhhh.
Elle venait de s'effondrer sur le canapé entrainant son
baiseur dans sa chute.surprit il ne pu se retenir davantage
laissant un orgasme ravageur lui vider les couilles, le
faisant crier dans les oreilles de la salope qui reprenait
doucement ses esprits.Géraldine était fière d'elle. Elle
avait épuisé un mec, s'était faite prendre comme une reine,
avait jouiiiiii, jouiiiiiii, jouiiiiiiiii et encore et encore.
Elle sentait dans son ventre les dernières vibrations de
la queue de Germain qui finissait de se vider dans le préservatif.il
soufflait comme un malade.repus de stupre, épaté, étonné
par la performance de Géraldine.laquelle lui disait : «
bon, maintenant faut que j'y aille, car j'en ai un qui m'attend
à la maison pour me faire ma fête.et crois moi, je vais
encore m'en prendre une bonne, grosse, raide, pleine de
jus et là je vais me faire remplir, remplir, remplir.je
vais le vider ce salaud crapuleux, en lui racontant comment
je me suis envoyée en l'air avec la queue d'un autre, comment
je me suis faite défoncer, comment j'ai jouis et comment
je recommencerai à la première occasion.
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