Cette histoire s'est réellement passée.
J'ai 35 ans, je suis plutôt belle femme et très sportive.
Mon mari est plutôt pantouflard, mais très mignon.
Ce que mon mari préfère en moi (physiquement) c'est mon
petit cul et mes seins ; ce que j'aime en lui, c'est ses
épaules carrées, ses yeux et sa taille.
Souvent, je titille mon mari en lui disant que j'aimerais
bien vivre autre chose que la routine dans notre vie de
couple et que je voudrais redécouvrir le plaisir des premiers
mois de notre rencontre. Mais lui semble toujours indifférent
à mes remarques.
Un jour, à ma grande surprise, je trouvai sur la table
de nuit, à mon réveil (lui travaille et moi je suis au chômage),
une lettre cachetée à l'ancienne dans laquelle il me donnait
des instructions.
Voici les instructions que tu dois suivre à la lettre :
Je te demande pour demain soir de mettre ta guêpière noire,
De ne pas porter de culotte ni de string,
De mettre ta robe courte en jeans et ton chemisier blanc.
Tu te feras belle, très sexy et très provocante.
Pour 23 heures, tu iras dans la zone industrielle de ....
Où tu trouveras un Formule 1.
Je t'enverrai par SMS le code d'entrée et le numéro d'une
chambre.
Tu te rendras dans la chambre.
Tu fermeras la porte de la chambre sans mettre la sécurité
Tu mettras sur tes yeux le bandeau que tu trouveras sur
le lit.
Tu le serreras bien, tu ne dois rien voir.
Tu te coucheras sur le dos en travers du lit et tu attendras
ma venue.
Je te réserve une surprise si tu es prête à tout pour pimenter
nos amours.
Je te demande d'être très obéissante et de ne pas parler,
pas un mot.
En plus je veux que tu m'écrives un mot que tu déposeras
au pied du lit :
"Je serai totalement obéissante et prête à assouvir tous
vos fantasmes."
Tu signeras.
Attention, c'est peut-être un autre que moi qui viendra
abuser de toi.
Je te le répète, sois très obéissante !
Je vous l'avoue, c'était vraiment inattendu, mais terriblement
excitant. Moi qui lui trouvais pourtant si peu d'imagination,
pour le coup j'étais surprise !
Le soir venu, mon mari, lui qui rentre toujours à l'heure,
n'était toujours pas là à 20 h. Inquiète, je tentai de l'appeler
sur son portable, mais rien n'y faisait, je tombais toujours
sur sa messagerie.
Vers 21 h, il m'envoya un SMS avec un numéro de code et
un numéro de chambre ( la 207, je m'en souviens encore).
Je lui renvoyai un SMS avec un petit mot doux, mais il n'arriva
pas à destination, il avait dû éteindre son portable.
Je me disais que, puisque c'était ça qu'il voulait vraiment,
eh bien j'irais à son hôtel. Je verrais jusqu'où il pourrait
aller. Je me préparai donc et à 23 h précises j'arrivai
au Formule 1.
J'avais un peu peur d'être reconnue ou de faire une mauvaise
rencontre mais, plus je m'approchais de cette chambre, plus
je me sentais mouiller de plaisir. Je fis le code à l'entrée
du Formule 1 et je montai rapidement les escaliers jusqu'à
la chambre 207. Je refis le code et refermai rapidement
la porte derrière moi.
Je repris ma respiration et trouvai effectivement sur le
lit un bandeau noir, une feuille blanche et un stylo. Après
un petit moment, je me dis que j'allais continuer à jouer
le jeu, c'était si terriblement érotique et si excitant
à la fois.
J'écrivis d'une main tremblante: "Je serai totalement obéissante
et prête à assouvir tous vos fantasmes, je suis à toi."
Je mis le bandeau sur les yeux (je ne serrai pas trop,
car j'avais un peu peur tout de même, cette situation était
tellement inhabituelle) et me couchai sur le dos
Au bout de trente minutes, j'entendis du bruit, la porte
s'ouvrit et la lumière se fit plus faible. Je ne bougeai
plus, je me sentais toute mouillée. La porte se referma
et j'entendis des pas qui se rapprochèrent. Mon mari devait
lire la lettre, je suppose. Puis je sentis sur le bras une
caresse et une main s'empara de mes poignets.
Avec un foulard, il me les attacha de chaque côté du lit,
je respirai de plus en plus fort. Je sentis une main remonter
le long de mes cuisses et une autre me remonter la jupe
à la taille. J'écartai machinalement les cuisses, une langue
se posa sur mes lèvres intimes, les caresses se firent rapidement
plus précises. Je me sentis partir.
Tout à coup, je m'effrayai, car je venais de sentir une
troisième main sur mes seins. J'essayai de sortir de là,
mais pas moyen, j'étais bien attachée. J'appelai mon mari
d'une voix peureuse, mais c'est la voix d'un inconnu qui
me répondit de me taire et d'être obéissante, sinon je risquais
de le regretter. Ils étaient, je suppose, au moins deux.
Un des inconnus monta sur le lit et me mit son sexe sous
le nez. Je me débattis, sentant en même temps un doigt entrer
en moi, et à nouveau cette voix qui me demanda plus autoritairement
:
- Reste obéissante, Elisabeth, sinon tu ne sortiras pas
d'ici entière.
L'inconnu m'expliqua que c'était mon mari qui avait tout
organisé et que c'était par une annonce sur Internet qu'ils
avaient été recrutés. Je me débattis alors de plus belle.
Mais là, je reçus une claque magistrale en travers de la
figure, je restai sans voix et me dis que ce n'était pas
possible, que c'était un cauchemar
L'homme insista, me fit ouvrir la bouche et me mit sa bite
en bouche. Je la sentis grossir. L'autre avait fini de s'amuser
avec ma moule, il monta sur le lit et me pénétra en force,
je poussai un cri de douleur. Je fais rarement des fellations
à mon homme, ça me dégoûte totalement. Mais sa bite à lui
m'étouffait, je suffoquais. Il se retira et me la passa
lentement sur les lèvres. Il se leva du lit, l'autre continuait
à me pilonner avec ardeur, je me sentis jouir. On me déporta
sur le côté et un des deux types se mit dans mon dos pour
me pénétrer tout en me caressant le sexe. Je reconnus la
position préférée de mon mari, c'était lui qui me pilonnait.
J'en étais persuadée.
Le bandeau n'étant pas très serré, du coin de l'œil,
je pus le reconnaître. Je me laissai aller alors à ses caresses.
L'inconnu revint à la charge et me présenta à nouveau sa
verge sur les lèvres, mais cette fois j'ouvris de moi-même
la bouche et me mis à le sucer ; son gland devint énorme.
Il la ressortit au bout de deux minutes et me passa à nouveau
sa queue sur les lèvres. Elle était vraiment énorme.
Je fini par jouir sous les caresses savantes de mon mari.
Mes mains furent détachées du lit et immédiatement attachées
dans le dos. J'avais à peine eu le temps de me remettre
de mon orgasme que mon mari me mit sur lui. Il était en
travers du lit et moi je me trouvais à genoux sur lui, les
bras attachés dans le dos, il n'avait pas encore joui.
L'inconnu me caressa les seins et me courba le dos. J'embrassai
mon mari avec fougue, sa bite était prête à jouir dans ma
moule, je le sentais se tendre de plus en plus à chaque
pénétration dans mon vagin. L'inconnu continua ses caresses
en descendant. Maintenant, il caressait mes fesses et mon
clito ; il savait y faire, car je sentis monter en moi un
nouvel orgasme. Ses caresses se précisaient sur mes fesses,
il introduisit un doigt dans mon anus encore vierge de toute
pénétration, je grimaçai, mais j'avais envie qu'il continue
ses caresses. Il monta sur le lit, je sentis sa bite à l'entrée
de mon cul.
Je criai « Non, non, je ne veux pas » et pour toute réponse
mon mari m'embrassa et m'écarta encore plus les fesses avec
ses mains. L'inconnu avait du mal à s'introduire, je sentis
sa bite glisser sur mes fesses et, tout à coup, je me sentis
m'ouvrir ; la douleur était atroce, je serrais les dents,
son gland était à présent dans mon cul. J'avais mal et en
même temps j'y prenais du plaisir. Mon mari accélérait ses
va-et-vient. L'autre me rentrait lentement sa bite au plus
profond. Je me laissai aller à mon orgasme et m'écroulai
sur mon mari qui lui aussi avait joui en moi. Pendant encore
deux minutes l'inconnu me pilonna et finit par jouir sur
mes fesses qui, apparemment, lui avaient vraiment bien plu.
Je restai là et eux s'en allèrent.
Avant de partir mon mari m'embrassa et me dit merci à l'oreille.
Je finis ma nuit à l'hôtel et, au petit matin, je rentrai
à la maison où mon mari m'attendait dans notre lit conjugal
où nous refîmes l'amour.
Je ne sais toujours pas qui était l'inconnu mais, en tout
cas, je sais aujourd'hui que j'aime la sodomie et ce genre
de surprise.
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