TITRE : Accrochage
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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Cela fait longtemps que je voulais raconter cette histoire qui m’est arrive il y a plus de deux ans.
Je partais au travail en début de soirée (je travail la nuit) quand je suis arrivé à un carrefour au feu rouge. Je ralentis et brutalement la voiture de derrière me percute.
Le choc a été assez fort mais je n’avais rien.
Je sors de la voiture et je vois une femme qui conduisait un 4x4 Mercedes qui me regarde avec des grands yeux. Je ne sais pas si elle croyait que j’allais m’énerver ou pas mais elle ne bougeait plus.
Je regarde l’arrière de ma A4 qui était complètement défoncé.
Je vais voir la femme et je lui demande si tout va bien. La elle se met à pleurer en disant qu’elle était désolé. Je la consolais tant bien que mal en parlant plutôt de sa santé que des dégâts matériels.
C’était une belle femme dans la trentaine d’année, brune avec des cheveux assez courts, un joli chemisier avec une jupe style tailleur.
Quand elle se remit de ses émotions je l’invitais à remplir le constat sur le bord de la route. C’est la que tout se compliqua.
Elle me dit que ce n’était pas le premier accident qu’elle avait et que l’assurance ne voudrait plus d’elle en cas de nouveau dommage. Sans compter mon mari qui en a marre de faire réparer la voiture.
Je lui dis que ce n’était pas mon problème et que pour mon assurance il fallait remplir le constat.
Elle me dit : on peut être s’arranger à la miable. Je vous donne de l’argent en échange on ne déclare rien.
Je lui répondis : Je ne suis ni carrossier, ni mécanicien et j’en ai aucune idée de la valeur des travaux qu’il va falloir effectuer.
De ce fait je n’ai pas envie de me faire avoir alors que le risque est grand que je ne rentre pas dans mes sous.
Je lui montre l’arrière de ma voiture pour bien qu’elle comprenne que ce n’est pas une aile froissé et que l’accrochage est sérieux.
Mais ce que je mis un certain temps à me rendre compte c’est que de plus en plus souvent elle me frôlait légèrement. Une fois elle passait derrière, une autre fois devant en mettant ces atouts bien en évidence.
Elle me dit : Je suis embêté pour moi mais vraiment je suis désolé aussi pour vous de vous avoir mis dans cette situation.
Je commençais à avoir le sang chaud car il est vrai que c’était vraiment une belle femme.
Elle continua : comment pouvons nous faire pour clore ce litige ?
Son regard et la position qu’elle prenait maintenant devenait provocateur.
C’est alors que je décidais de rentrer dans son jeu et surtout, je voulais savoir jusqu’ou elle comptait aller.
Je commençais donc moi aussi à avoir les mains baladeuses. En prétextant n’importe quoi je passais ma main sur ces fesses de façons juste à l’effleurer. La première elle fut assez surprise mais la seconde au contraire elle mit ses fesses plus en arrière afin que le contact soit plus franc.
Pour être bien sure de ce qu’elle voulait je lui retournais la question : Que peut on faire pour en finir maintenant ?
Directement elle me dit : L’argent n’est pas un problème pour moi, il suffirait de faire un devis et je vous paye les réparations. Je vous laisse mon N° de téléphone et on prend contact pour vous payer des que le devis est fait.
Je lui dis : Je ne vois pas d’inconvénient mais moi qu’est ce que j’y gagne ?
La en s’approchant quasiment contre moi, elle mit sa main sur mon sexe et approcha sa bouche de mon oreille et me dit : Je suis toute offerte à toi, est ce que cela te vas ?
Difficilement refusable comme proposition.
Alors je lui dis : ok mais on se trouve un hôtel maintenant.
Ok me répondit-elle.
On se trouve un hôtel très classe qu’apparemment elle connaissait déjà.
Elle paye et je suis gêné de la situation. Mais plus je la regarde et plus je la trouve bandante.
On prend l’ascenseur et à peine les portes fermés je lui dis de me montrer ces seins. Elle déboutonne rapidement son chemisier et j’aperçois une très belle paire de seins dans un soutient gorges très classe avec plein de dentelle. Je me mets derrière et je la tripotte en passant mes mains directement sous le soutif. Je me retire vite et elle a juste le temps de remettre son chemisier avant que la porte s’ouvre.
J’ai une trique de folie, elle marche devant moi dans le couloir et je ne regarde que ces belles jambes élancées ou se perche un cul bien rond.
On rentre dans la chambre et elle se retourne pour me dire : alors tu veux que je fasse quoi ?
La femme que j’avais connue sensible au volant s’était transformée en véritable petite pute.
Déshabille toi lui dis je mais doucement en me montrant bien ton corps.
Elle commença un streap tease dans les règles alors que je m’assis dans le relax avec un verre de champagne.
Et la franchement, vu que j’avais une esclave perso je m’en suis donné à cœur joie.
J’avais mal à la queue à force de bander, je lui ordonnais de me déshabiller. Elle prenait un certain plaisir elle aussi mais dans son regard je voyais des incertitudes sur la façon dont j’allais mener les débats et surtout jusqu’ou j’irais, ce qui m’excitais encore plus.
Je lui dis : assis toi sur le bureau, les jambes bien écartés et masturbe toi devant moi.
Je la regardais faire, ses mains parcouraient son corps impudique jusque sur son sexe qu’elle commençait à se frotter. D’une main elle écartait les lèvres et de l’autre elle se titillait le bouton rougit par le désir. Je la regardais en train de gémir pendant que je me branlais d’une main et que de l’autre je sirotais mon champagne. J’étais au top.
Quand je la vie au bord de l’orgasme, je lui dis de venir me sucer. Elle se mit à genoux à coté de moi puis doucement pris ma bite en main et lécha le bout du gland. Ce titillement me rendait fou, j’ai pris sa tète avec mes mains et je forçais pour qu’elle prenne toute ma queue dans sa bouche. Je sentais mon gland au fond de sa gorge et c’est moi maintenant qui lui limais la bouche jusqu’à la garde. Elle faillit vomir alors je lui laissé reprendre ces esprits. Suce mes boules maintenant et continu à me branler.
Je sentais la sève qui voulait sortir de l’arbre alors je l’ai pris par les cheveux pour qu’elle se mette en face « et branle moi fort maintenant ». Cela n’a pas duré longtemps, je lui ai giclé sur le visage et dans la bouche puis je lui ai rebaissé la tète pour qu’elle me nettoie. Tout cela sans un mot de sa part.
Je finissais mon champagne tout en reprenant des forces alors que la femme se masturbait sous mes ordres.
Une fois repris des forces, elle vint encore me sucer mais cette fois ci j’en profitais pour lui lécher la chatte. J’vais deux doigts dedans et la langue sur son petit bouton que je faisais tournoyer dans ma bouche alors que mes doigts la fouillaient le plus profond possible. Elle donnait des balancements à ses hanches, même avec ma queue dans sa bouche elle gémissait de plaisir. De deux doigts je suis passé à trois puis à quatre. Elle jouit si fort sous la pression qu’elle relâcha mon sexe de sa bouche.
Mais je ne comptais pas m’arrêter la, après avoir lécher son petit trou, avec l’autre main je lui enfonçais deux doigts dans le cul.
J’alternais les mouvements entre sa chatte et son cul et elle se remit à jouir. J’avais plein de mouille sur mes mains.
Je l’a fit mettre à quatre pattes et je lui enfonçais ma queue dans sa chatte sans autre forme de procès.
Caresse moi les couilles en même temps je lui disais. Je la pilonnais comme un fou. J’introduis deux dans le cul en même temps. Il fallait l’entendre prendre son pied cette salope.
Apres quelques retournement de positions je lui enfilais ma queue entre ses fesses et bien décidé à me vider directement dans son cul.
Elle s’était mise sur moi et c’est elle qui venait s’empalait sur mon pieu.
Elle joui encore une fois ce qui resserra son petit cul sur ma bite ce qui me fit jouir à mon tour.
Je sortis ma queue et me mis devant elle afin qu’elle me nettoie avec sa bouche.
Elle me lava, me rhabilla, et je suis partit avec un merci dans le creux de mon oreille.

Depuis j’ai fait faire un devis mais le numéro de tel qu’elle m’a donné ne correspond à rien, ce n’est pas grave car j’ai passé la un des plus agréables moments de ma vie.

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