TITRE : A trois dans un van
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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La fille a les cuisses écartées, la chatte à l'air. Son pubis est assez bien entretenu, presque pas de poils ; je me dis que ça fait plaisir, cette nouvelle mode de se raser la chatte. Je préfère ça pour les cunnis.

Je viens de lui enlever son string, elle s'est bien laissé faire, ce qu'elle sait qui l'attend doit lui plaire ; ma tête est face à ses cuisses écartées, mais je me recule un peu, je vais quand même lui enlever ses chaussettes parce que baiser (ou même juste lécher) une fille avec des chaussettes, j'aime pas trop ça.

Je "déchaussette" la fille. Elle ne prête pas trop attention à ce que je fais car mon pote a sorti son sexe et lui a fait comprendre qu'il aimerait se faire sucer. La fille, gentille, s'exécute et fait quelques va-et-vient buccaux sur sa grosse bite. Elle a les yeux fermés, un visage assez mignon finalement. Le visage angélique d'une fille qui suce un gros pouce !

On est super bien dans ce van, c'était une bonne idée. C'est le van de mon pote, celui qui a la bouche de la fille autour de son sexe. Pour aller dans ce bal (en province), on a hésité entre prendre ma caisse et prendre son van. Et puis il m'a dit que le van serait un meilleur choix au cas où on trouverait des filles. Pas con, vu qu'un matelas est aménagé à l'arrière. On a pas mal bu, on a dansé (enfin lui parce que moi j'aime pas ça), on a dragué. Et on l'a trouvée. Une petite blonde (fausse ?), environ dix-huit ans, avec ses copines. C'est mon pote qui l'a abordée, qui l'a emballée. Moi j'ai suivi. On la pelotait à deux, l'air de rien, pendant le bal. Elle a pas mal picolé elle aussi, et de fil en aiguille la voilà dans notre joli van. On a à peine parlé de trip à trois, c'est toujours un peu gênant de mettre des mots sur ce genre de choses quand on se connaît pas bien, mais elle a bien compris dans quelle direction partaient les choses.

Mon pote est couché sur son matelas, la fille est couchée sur le côté, son visage sur sa queue. Elle est à moitié sur le dos elle aussi et moi je suis en bas, à "la cave" (je plaisante !).

Avant de passer aux choses sérieuses, je caresse un peu son clito pour l'exciter et pour la mater en train de sucer mon pote ; ça m'excite beaucoup. Et puis j'approche mon visage de sa vulve, j'écarte les lèvres avec mes doigts et je commence à agiter ma langue. Je m'applique. Je veux lui faire du bien mais surtout bien l'exciter pour la suite. Je veux qu'elle soit bien chaude et bien salope.

Je suis un peu bourré, pas évident de bien se concentrer mais je m'applique. J'écarte sa chatte, je bouge les doigts sur les côtés pour faire vibrer la chair et je m'acharne sur le clito pour ne pas lui laisser de répit. La petite cochonne commence à gémir, je l'entends. Les gémissements timides sont étouffés par la grosse bite de mon pote, qui ne quitte pas sa bouche. Mon pote a la main dans ses cheveux, il n'appuie pas vraiment sur la tête mais guide le va-et-vient. Je vois son visage, de profil, ses yeux fermés et par en dessous les couilles de mon pote. Trop fort !

J'adore me faire sucer, mais j'aime presque tout autant mater une fille qui suce un autre mec. Je sais pas pourquoi, c'est une vue vraiment excitante. Pour moi la fellation est un plaisir autant physique que visuel. Quand une fille me suce, ça me fait beaucoup moins d'effet si c'est dans le noir, j'ai besoin de la voir.

Bref ! Je continue de lécher la fille, son sexe est bien mouillé de sa mouille et de ma salive mêlées. Ma queue dure me titille un peu mais je reste encore quelques minutes à m'occuper d'elle. Et si je lui mettais un doigt dans le cul ? On va voir si elle moufte. Je passe mon majeur sur ses lèvres pour le rendre glissant et puis je l'approche de son petit trou, en continuant de caresser sa chatte. J'enfonce le doigt, petit à petit. Elle continue de sucer, ça a pas l'air de la traumatiser ! Eh bien, branlons-lui le cul en la léchant ! Je fais re-gigoter ma langue sur son clito, en bougeant mon doigt dans son trou du c'. Je change de doigt, j'approche mon pouce, je l'enfonce ; ça rentre. Toi, ma coquine, on va bien s'amuser avec toi !

- On tourne ?

C'est moi qui viens de dire ça. C'est pas tout ça, mais moi aussi je veux prendre mon pied. Mon pote se redresse, il bouge. La fille se tourne un peu, je viens à son niveau. Là, je lui roule une grosse pelle, bien profonde, en lui tenant la nuque. Je continue ma grosse pelloche, je prends sa main et la pose sur ma queue pour qu'elle me branle. Je la lâche la main et lui caresse la chatte, en continuant de tenir sa nuque et de l'embrasser profond.

- J'ai envie que tu me suces...

Je viens de lui dire ça en tenant toujours sa nuque, mais sans la forcer. Je veux pas lui faire peur, maintenant il faut aller jusqu'au bout.

La petite cochonne descend et prend mon sexe dans sa bouche. C'est parti pour une pipe. Derrière, mon pote est en train d'enfiler un préservatif. Il va sûrement la pénétrer. Il laisse les autres capotes sur le matelas, à mon intention.

Elle suce pas mal, en tout cas elle y va sans rechigner. À dix-huit ans les filles sont pas encore au top et ça se ressent, ça reste une pipe de fille un peu jeune, mais elle se débrouille. Pour faire une bonne pipe, la qualité première est quand même de montrer qu'on aime ça, et elle se donne sans compter.

Mon pote écarte ses fesses, prend la fille en levrette. On se regarde, on est presque mort de rire. Trop bon, je suis en train de me faire sucer et lui la prend en levrette, en lui agrippant les fesses. Putain que c'est bon ! Je regarde son cul, la vue est top ; mon pote y va de plus en plus fort, de temps en temps il ralentit et elle continue de sucer en gémissant et en tâchant de ne pas arrêter.

- C'est bon ? je lui fais.

Elle hoche la tête, enlève un peu ma queue, dit :

- Oui.

Et elle la remet. Je vois sa tête, je vois son cul, je peux pas m'empêcher d'agripper sa tête et d'enfoncer un peu plus.

Mon pote a attrapé son paquet de clopes et s'en grille une. Il retourne en elle et continue de baiser en fumant d'une main. On se regarde, en se marrant presque. Et puis il attrape le cendrier et le pose sur le dos de la fille. Je suis plié de rire dans ma tête.

Il a fini sa clope, viré le cendrier. Il la baise bien, y va de plus en plus fort. Ah ça y est, je le sens partir ! Mon pote grogne un peu, semble cracher la purée et prendre un pied mortel. Il ralentit, relâche un peu les fesses de la fille. Pendant qu'il jouissait, j'ai senti que ça ne la laissait pas indifférente, ça l'a excitée de le sentir prendre son pied avec son petit cul.

Mon pote passe son tour, je prends le relais. J'enfile une capote, je la prends en missionnaire. Elle a enfin la bouche libre, elle peut gémir tranquille, et elle se prive pas. Pas des gémissements affirmés, dominateurs, mais des gémissements doux, qui viennent de l'intérieur, presque timides. Elle a la bouche ouverte, les yeux tantôt ouverts, tantôt fermés, et moi je la baise, je la bourre, je prends mon pied avec sa chatte. Combien de mecs l'ont baisée avant moi ? Est-ce que ses ex voulaient la sodomiser, lui giclaient sur les seins, lui demandaient d'avaler ? J'en sais rien, ça me passe par la tête et je me concentre sur le plaisir de baiser, moi et mon pote, cette fille que je connais à peine.

J'y vais un peu fort, je me retiens quand même, ça sert à rien de faire le bourrin. J'ai envie qu'elle kiffe cette petite salope, qu'elle kiffe de faire un trip à trois, qu'elle prenne un plaisir physique et mental en se sentant cochonne.

Je me retiens de jouir. J'aime pas jouir deux fois, je préfère une seule et bien forte. Une bonne éjac' à la fin.

On est sur le côté. Mon pote revient à la charge, il titille son petit trou avec ses doigts ; il se branle en même temps.

Il pousse ses fesses, pour qu'elle vienne sur moi. Mon pote a enfilé une nouvelle capote et vient se positionner derrière son trou du cul.

- Ouh là, attends je sais pas !

La fille vient de parler, l'air un peu anxieux. Mon pote :

- On peut essayer, non ?

Elle a pas l'air convaincue, elle hésite. Je peux comprendre, remarque.

- T'as déjà fait, la sodomie ? je lui demande.

- Oui.

- Et alors ?

- Ben ça va, mais deux en même temps je sais pas, ça fait beaucoup.

Ok, ok. Va falloir la motiver.

- On peut essayer... lui dit mon pote.

- Ouais, j'ajoute, on essaie et si t'aimes pas, on arrête.

Elle hoche la tête, ça lui dit aussi. Allons-y !

Ce qui est con, je me dis dans ma tête, c'est qu'elle commence pas avec la plus petite derrière ! Je suis plutôt bien membré mais mon pote encore mieux. Enfin bon, lui mettons pas le doute maintenant qu'elle est partante !

Je crois que mon pote met de la salive sur sa queue. La fille continue de bouger un peu sur moi et puis elle freine. Je sens que mon pote essaie d'introduire son engin. Putain ! ça me fait bander tout ça... Quelle putain de bonne soirée ! (Enfin il doit déjà être vers les minuit et demi une heure).

Aïe, mon pote s'enfonce ! Je vois la tête de la fille d'en dessous, je prends un pied mortel. Elle gonfle les narines, inspire en se concentrant. Elle se crispe un peu, ça fait un peu mal mais ça rentre. Et je sens la queue de mon pote ! Trop fort !

Je suis pas homo, même pas bi, j'ai aucune attirance pour mon pote mais ça me fait délirer de sentir sa queue de l'autre côté, à travers la paroi du cul de la fille !

Allez, on y va ! Le va-et-vient, lentement. Moi je ne bouge pas et la fille à peine. Pour moi, niveau sensations, y a mieux, même si c'est bien serré. Mais surtout, c'est mentalement que c'est tripant. Je regarde le visage de la fille, régulièrement, je touche sa peau, je touche ses seins fermes (un bonnet B, je pense).

Mon pote pousse de plus en plus vite, il a pris le rythme. Là, pour la peine, les gémissements de la nana ne sont plus timides, elle donne de la voix ! Elle est en train de se faire faire une double pénétration et ça lui fait de l'effet, mélange de plaisir et de douleur.

- Ça va ?

Elle hoche la tête, elle dit oui.

Putain, j'ai besoin de gigoter, c'est trop bon. Mon pote aussi, il y va. Elle fait des "Ah ! Ah !", elle est dedans et nous aussi.

Mais soudain elle se crispe et nous arrête. Elle dit qu'elle a quand même un peu mal.

- Tu veux qu'on arrête ?

Là on est emmerdés parce qu'elle dit oui. Mon pote hésite, puis se retire. Elle souffle.

Mon pote :

- Je peux continuer derrière, seul ?

Moi (j'hésite) :

- Ouais, vas-y.

Oups, c'est moi qui ai répondu alors que c'était plutôt à elle, mais elle dit pas non. Elle se remet en levrette et mon pote la sodomise.

Moi :

- T'as moins mal ?

Elle (en train de se faire enculer et un peu choquée) :

- Ça va !

Mon pote y va, varie le rythme. Bon, et moi, qu'est-ce que je fais ?

Tant pis pour la sodo, je préfère me faire sucer. Je retire la capote et pointe ma queue dure vers son visage. Elle comprend le message et la gobe à nouveau.

Comme tout à l'heure, sauf que maintenant la queue de mon pote est dans son cul. La fille semble avoir un peu transpiré, ses mèches sont collées sur son front.

Le petit manège dure depuis quelques minutes quand soudain mon pote râle et balance ses décharges dans son cul, dans sa capote.

La fille donne aussi un peu de la voix (ses derniers va-et-vient d'orgasme étaient un peu violents) et puis elle se calme, reprend son souffle. Elle reprend la pipe.

Bon, c'est pas tout ça, va falloir penser à éjecter toute l'excitation accumulée. D'autant que je crains qu'elle se fatigue et rechigne à sucer encore très longtemps. Je me concentre, je veux tout lâcher dans sa bouche.

Moi :

- Tu veux pas la lécher ?

Mon pote est un peu surpris.

Moi (en me marrant) :

- Allez, sois sympa, faut qu'elle jouisse elle aussi.

Mon pote finit sa clope, se rapproche du cul de la fille et la lèche dans cette position, à quatre pattes.

Et moi je me reconcentre, je sens que ça la re-motive pour donner de la bouche.

Moi :

- T'as déjà avalé ?

Elle sort ma queue de sa bouche.

- Oui, mais ça dépend avec qui"

Je me dis, ah ok. Est-ce que je repose une question ?

Moi :

- T'aimes bien ?

Elle enlève de nouveau ma queue de sa bouche.

- Moyen. (Elle va pour la remettre, mais poursuit :) Ça dépend avec qui.

Elle la remet.

Ok, qu'en penser ? Ben, on va pas poser trop d'autres questions, la réponse était évasive, on va rester évasif dans le doute. Elle a pas dit clairement qu'elle voulait pas, elle l'a déjà fait... Au moins, elle hurlera pas au scandale.

Allez, je sens mes couilles qui durcissent, qui approchent du point de non-retour. Je vois son visage angélique, son joli nez qui respire, je sens le souffle sortant de ses narines, sur toute la longueur de mon sexe. Tu vas me faire jouir, petite suceuse...

Je râle au dernier moment ; je serre mon poing dans ses cheveux, je n'appuie pas sur la tête, mais je tiens quand même un peu, pour lui montrer que je veux qu'elle reste. J'éjacule dans sa bouche, je me déverse dans un plaisir indescriptible, tout tangue autour de moi. La fille a freiné son va-et-vient, elle ne bouge presque plus, pas tout à fait suffisamment, mais elle ne s'est pas enlevée et c'est déjà ça. Je finis d'expulser tout mon sperme, toute ma jouissance, je desserre ma main, mes muscles. Mon désir chute d'un coup, je m'écarte presque d'elle.

Elle n'a pas l'air spécialement heureuse mais pas dégoûtée non plus. Elle se recule, recrache un peu de sperme dans sa main. Dommage, mais bon elle a donc avalé le reste.

Je me reprends, je lui souris. Je pose un bisou sur sa bouche, je caresse ses seins. Je fais signe à mon pote, qui s'était arrêté pour mater, de continuer.

On la caresse et, plus tard, mon pote la lèchera à nouveau. Difficile de dire si elle a eu un orgasme dans la soirée, mais je suis persuadé qu'elle a pris beaucoup de plaisir.

On ne l'a pas revue (pas spécialement envie). Je sais juste que cette fille sort avec un mec fixe, maintenant. Mais qui sait, un jour, peut-être...

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