L'ambiance du bar est bonne.

La musique douce couvre les conversations des tables voisines et nous permet de parler de tout sans retenue.

Jean est curieux de découvrir tes limites.

Nous avons noté, peu de tabou et pas de limite une fois en action si bon feeling, sur notre annonce.

La réponse de Jean nous a attiré plus qu'une autre car il a un bateau amarré dans le port du Havre.

Il est quelconque, dans la cinquantaine, pas trop volubile, plutôt réservé.

Nous nous sommes donné rendez vous dans une pizzeria non loin du bar pour faire connaissance et décidé si il y avait feeling ou pas.

Nous sommes restés assez peu longtemps à table, juste le temps de grignoter un plat avec un bon verre de vin.
Jean est assit à coté de toi et moi en face de vous.
Son bras et sa jambe te frôlent lorsqu'il se tourne vers toi.

Nous parlons d'un peu tout, son bateau, nos voyages, nos rencontres.
Plus nous parlons et plus il s'enhardit.

Profitant d'un rire il pose sa main sur ta cuisse.
Son regard croise le mien et je lui fais un clin d'oil qu'il interprète positivement puisque qu'il refait le geste en insistant et ébauche une légère caresse.

Tu croises puis décroises les jambes et je peux voir d'où je suis que tu as profité d'un passage à la toilette pour retirer ta culotte.

Jean ne le sait pas heureusement il aurait peu être tenté des gestes déplacés.
Savoir que tu as la chatte à l'air me fait bander presque aussitôt.

Nos cocktails se finissent et Jean nous propose d'aller comme convenu finir la soirée au port.

Son bateau n'est pas très grand mais l'intérieur confortable.
Un petit salon avec un grand canapé qui prend presque toute la place.

Jean nous met une petite musique douce en nous invite à s'asseoir.

Pendant qu'il prépare trois verres, tu t'installes au milieu du canapé en posant les jambes sur un petit pouf.
Carrément une invitation pour Jean qui te fait face derrière son petit bar.

Il dépose les verres sur une table basse et s'assoit à coté de toi, nous t'encadrons.

J'avance ma main le premier vers ta cuisse en remontant ta robe doucement.
Jean fait de même.

Tu frémi sous nos caresses.

Il monte sa main plus haut que moi et découvre par le touché que ta chatte est sans protection.
Il joue avec, ce qui te fait gémir et glisser sur le canapé dans une position qui nous invite à profiter de toi.

Jean se place entre tes jambes et relève ta robe.
Il embrasse tes cuisses en remontant vers ton entrejambe.
Sa langue cherche un chemin qu'il trouve vite pour s'enfoncer en toi et ressortir pour te lécher.
Il te fait pousser des petits cris.
Ce qui a l'air de l'exciter.

Le laissant à ta chatte je m'occupe des tes seins et de ta bouche.
Nos caresses durent assez longtemps tu jouies deux ou trois fois.

Puis Jean se relève, tu te mets à quatre pattes sur le canapé, je suis assis prés d'un accoudoir et tu me suces, le cul en l'air offert à Jean.
Sa langue se remet au travail.
Il fouille ton cul, entre sa langue le plus profond possible.
Il enfile des doigts dans ta chatte en même temps.
Une bonne feuille de rose pendant que tu me pompes goulûment.

Je sens que tu adores ce qu'il te fait, tu suces de plus en plus fort.
Jean ne lâche plus ton cul.

Il enfile deux puis trois doigts dans ta moule trempée.
Ta bouche s'active sur ma queue pendant qu'il tente d'enfiler quatre doigts en toi.
Tu soulèves tes fesses comme pour l'inviter à poursuivre sa pénétration.

La position n'est pas très confortable et Jean arrête un court instant juste pour te retourner sur le dos.
Il reprend place devant ta chatte et ses doigts te fouillent de plus belle.

Je me pose à genou les couilles sur ta bouche.

Jean positionne sa main de manière à pousser pour que tous les doigts te fourrent en même temps.

Tu me lèches les couilles et me suce de plus belle.

Tu te cambres de plus en plus sentant que Jean va enfiler sa main dans ta chatte.
Tu mouilles comme une fontaine sa main glisse puis tu l'avales avec ton con comme tu avales ma queue avec ta bouche.
Jean n'arrête pas de te branler avec sa main.

Tu jouies de nouveau puis cri lorsqu'il la retire doucement.

Il replace sa tête contre tes cuisses et te lèche comme pour te remercier.
Tu es allongée et ne bouge plus, comme fatigué par cette étreinte.

Nous t'embrassons sur tout le corps, tu ne réagis que par des petits râles.

Jean qui ne s'est à aucun moment servi de sa queue bande comme un âne.
Il avance son membre vers tes lèvres et frotte son gland dur comme dur bois.
Tu sors ta langue qui s'enroule sur son noud puis l'enfourne dans ta bouche.
Tu le pompes le faisant râler de plaisir.

Il est à genou les jambes de chaque coté de ton torse, ta main tenant fermement sa pine pour la guider.

Je soulève tes jambes et me pose à genou aussi la queue devant ta chatte.
Je t'enfile en soulevant tes fesses.
Nous te limons la bouche et la chatte en cadence.
Jean ne tient pas trop longtemps et gicle son jus dans ta bouche
Tu as un haut de coeur et laisse couler la semence le long de ton menton.

Je tire tes reins vers moi au même moment et lâche mon jus en toi.
Nous jouissons ensemble.

Quel bonheur.

Jean et moi nous relevons et tu vas faire un petit tour dans la minuscule salle de bain du bateau.

Nous te suivons pour également un petit nettoyage qui tourne vite à une série de pelotage.
Nos main te tripotent de tout coté tu portes une main sous nos couilles glissant de temps en temps un doigt le long de notre cul.

Jean te dis que si tu veux jouer à se petit jeu il est d'accord pour te remplir le fion.

Il s'agenouille et te lèche le trou de balle.
Tu te cambres pour laisser entrer sa langue.
Il te savonne la raie puis glisse un doigt entier et te branle vigoureusement.

Nous sortons de la salle de bain.
Je m'assoie sur le rebord du canapé.
Jean te dirige vers moi et t'invite à t'empaler sur moi.

Tu glisses ma queue en toi et esquisse quelques va et vient.
Je suis semi allongé sur le dos, Jean te pousse doucement en avant pour dégager ton cul le mieux possible.

Je te serre contre moi.
On s'embrasse à pleine bouche.

Jean te badigeonne la raie de vaseline.
Il enfile deux doigts dans ton cul et lime rapidement.
Puis il présente son gland durcit par le désir contre ton petit trou.

Au bout de trois ou quatre poussées tu pousses un petit cri, il est fourré au plus profond de toi.
Tu tends les fesses vers sa pine pour qu'il te prenne le mieux possible.
Je ne bouge pas et te tire vers moi pour que nous restions en toi ensemble.

Il t'astique le cul et je sens sa bite contre la mienne en toi qui entre et sort de plus en plus vite.

Tu râles à chaque mouvement de Jean en toi.

Rien que l'idée de cette queue en toi m'excite au plus haut point.

Je sens la sève qui monte en moi.

Jean se retire de toi et t'assoie sur le canapé.

Nous te faisons face et nous branlons vigoureusement devant ton visage.

Nous crachons notre jus en même temps sur ton visage.

Le sperme chaud coule sur tes joues.

Tu passes ta langue sur tes lèvres.

Jean s'approche de toi et t'embrasse à pleine bouche.

Il lèche tes joues et enfile sa langue dans ta bouche mêlant nos jus à vos salives.

Je m'approche de vous et nous finissons par une gamelle gluante à trois.

Nous sommes comme dans un autre univers sans savoir ce que nous faisons.

C'était écrit, pas de limite si feeling.

Je crois que nous n'avons pas menti à Jean.


toshulin