TITRE : A qui faire confiance ?
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Histoire Sado Maso

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An. avait réussi. Ag. était à sa merci. Un peu d'organisation et de préparation avait suffi.
Ag. n'avait pas été surprise outre mesure de l'invitation à descendre au sous-sol. Elle venait régulièrement chez An. et J. son marie. Arrivées au pied de l'escalier, An. s'était glissée derrière elle, puis prestement lui avait emprisonné les poignets dans des bracelets déjà reliées par deux cordes à des anneaux fixés au plafond. Un petit treuil manuel que J. utilisait parfois pour bricoler, avait permis de tendre ces cordes. Ag. avait opposé une vaine résistance, mais rapidement avait accepté cette situation. Quelques cris que personne ne pouvaient entendre , avaient rapidement été maîtrisés par un bâillon. Ag. était maintenant debout , les bras légèrement écartés, tirés vers le plafond, chaque pied maintenu à un agglo. An. allait pouvoir réaliser son projet.

En regardant Ag. dans les yeux, elle lui dit qu'elle savait qu'elle était la maîtresse de J.. Ag. agitait la tête en signe de négation. Pourtant An. en était convaincue. Ce n'était pas que J. ne s'intéresse plus à elle, au contraire, mais leur proximité professionnelle, leur amitié, leur connivence souvent affichée lui laissait supposer une plus grande intimité. Elle expliqua à Ag. qu'elle en souffrait et se sentait humiliée, qu'elle voulait qu'elle sache, elle aussi, ce qu'était la souffrance et l'humiliation. Ag. roulait des yeux horrifiés, tout en secouant la tête en signe de refus. An. s'approcha d'elle, avec tendresse lui caressa la joue, lui disant :

- « Ne soit pas inquiète, tout ceci restera entre nous » Ag. parut se calmer, ferma les yeux et appliqua d'elle-même sa joue sur la main d'An., puis l'embrassa, malgré son bâillon, ce qui ne manqua pas de la surprendre.

An. entreprit de déshabiller Ag. en commençant par le buste. Le chemisier léger que portait Ag. fut rapidement déboutonné et enroulé sur les cordes qui maintenaient les poignets. C'est avec plus de lenteur que An. fit disparaître le soutien-gorge, découvrant une magnifique paire de seins. Elle en profita pour en effleurer le bout de l'un d'eux, faisant naître un frisson qui parcouru tout le corps d'Ag.. Elle ne put résister à répéter son geste sur l'autre sein. Cette fois, Ag. émit un petit gémissement de satisfaction. An. suspendit le soutien-gorge, puis revint s'occuper des seins d'Ag.. Les mamelons étaient saillants et An. ne put résister à l'envie de les pincer. Cette fois Ag. gémit, mais ce n'était pas de plaisir. An., excitée, ne résista pas à l'envie de les tordre. Elle le fit plusieurs fois, arrachant à chaque fois des gémissements de douleur. Elle retira le bâillon, puis se baissant, retira la jupe portefeuille, laissant apparaître un petit slip. Au passage elle mordit un téton arrogant. Ag. laissa échapper un petit cri plus de surprise que de douleur. An. s'agenouilla aux pieds d'Ag. pour déplacer les deux agglos afin de lui écarter les cuisses. Elle se saisit d'une paire de ciseaux et fit disparaître le dernier vêtement. Ag. poussa un soupir, baissa les yeux, fit un sourire à An., puis ferma les yeux.

Ag. était entièrement nue. An. pouvait maintenant la détailler et préparer son programme. Les seins étaient beaux , un peu lourds, malgré les bras relevés ils avaient une certaine tendance à être tombant. An. se dit qu'il sera bon de les fouetter, mais de bas en haut pour que, après le choc des lanières qui les relèveront, suive un second choc celui de la chute. Les fesses étaient petites, à peine proéminentes, si bien que la raie était un peu écartée laissant paraître une partie de l'intimité d'Ag.. An. passa doucement la main sur l'une d'elles, la peau en était douce et fraîche, mais ce qui la surprit ce fut le frisson qui parcourut tout le corps d'Ag.. An. commençait à s'interroger sur les réactions de sa victime, si au début il y avait eu quelques résistances, celles-ci avaient place à une sorte de soumission consentie. Il fallait maintenant franchir un degré dans l'humiliation. An. revint se mettre face à Ag.. Elle détailla son pubis . Celui-ci était couvert d'une épaisse toison. Une idée lui vint.

An. monta à l'étage chercher tout le matériel de rasage de J. ainsi qu'une bassine d'eau tiède. Elle installa Ag. les fesses sur le bord d'un petite table afin de la forcer à se cambrer et permettre ainsi un plus libre accès à l'objet visé. An. utilisant les ciseaux puis le rasoir, dégagea tout le tour du sexe, la petite fente était bien visible et d'elle pointait un petit clitoris. An. était subjuguée par le spectacle, même dans ses moments de plus fortes excitations elle n'avait jamais eut l'impression de posséder un appendice de cette taille, soit Ag. avait été généreusement dotée par la nature, soit elle bandait. An. effleura discrètement ce morceau de chair, la réaction fut sans équivoque : AG. bandait !
Elle verrait cela plus tard, pour l'instant elle devait se consacrer à ses fonction de barbier. Au dessus de la fente subsistait un magnifique triangle noir, An. entreprit d'en raser la moitié droite. Elle jubilait d'avoir eut cette idée : devant quel dilemme Ag. allait être placée ? Quel explication donner à ses amants pour justifier cette singularité ? Ne risquerait-elle pas de passer pour un dévergondée, une provocatrice ? Ou humiliation suprême, ne serait-elle pas obligée d'achever elle-même le travail ? Accepterait-elle de se présenter nue avec un sexe glabre ? Quand elle eut finit, elle releva la tête, deux larmes coulaient sur les joues Ag.. An. se releva, les essuya, puis porta le doigt à ses lèvres le suçant comme s'il s'agissait d'un pénis. Ag. eut un léger sourire. Maintenant, il fallait passer à la souffrance.

An. retira la table et se saisit du martinet qu'elle avait acheter pour l'occasion. Elle le montra à Ag. qui eut un mouvement de retrait de la tête, avala sa salive, puis émit un timide « non, je t'en prie ». An. passa derrière elle et attendit quelques instants. Elle entendait sa respiration courte ainsi que les légers tremblements qui secouaient le haut de son corps. Soudain le premier coup s'abattit sur les fesses. Un coup sans violence, juste pour laisser une trace sur la peau. Ag. se cambra et tourna la tête pour regarder An. droit dans les yeux. Un regard de défit. Un second coup s'abattit sans que Ag. ne détourne son regard. Sans augmenter la violence des coups, An. continua à frapper, s'interrompant parfois pour caresser la peau suppliciée, seul instant où Ag. fermait les yeux en inspirant profondément. An. se plaça face à Ag..
Elle se mit à lui frapper alternativement les seins, le sexe, l'intérieure de cuisses, là où la peau et si sensible, le ventre, attaquant les seins soit par dessus, soit par dessous. Maintenant, Ag. réagissait, se débattant, tentant d'échapper aux coups, mais rien n'y faisait, de rose la peau devenait rouge. An. était excitée, elle se rendit compte que les coups devenaient plus violents Elle se résigna à cesser lorsqu'elle vit les larmes couler sur les joues d'Ag. Elle s'approcha d'elle, les essuya en lui disant que tout était fini. A cet instant, un bruit parvint du rez-de-chaussée. J. venait certainement de rentrer. An. l'appela, lui demandant de descendre au sous-sol.

Lorsqu'il déboucha dans le sous-sol, J. eut un regard atterré, et demanda immédiatement des explications à An., mais ce fut Ag. qui répondit. Elle lui expliqua qu'An. était persuadée qu'elle était sa maîtresse. Avant qu'il ne puisse réagir, elle continua confirmant que cela n'était pas vrai, mais qu'elle en avait toujours rêvé et que somme toute, An. n'avait fait qu'anticiper sur l'avenir, qu'il ne fallait pas lui en vouloir car elle avait sut décrypter ce que lui, le premier concerné, n'avait jamais vu. An. sentit que la situation allait lui échapper, alors sans analyser les conséquences de ce qu'elle disait, sous l'effet de l'excitation, elle se tourna vers J. et lui dit :

« Fait moi l'amour, j'ai envie que tu me sodomise »
Elle se surprit à demander une sodomie. Cette pratique, elle ne l'appréciait guère. Ils l'avaient pratiquée deux ou trois fois au début de leur mariage, An. n'y avait trouvé aucun plaisir, mais surtout de la douleur. J. n'avait pas insisté, bien qu'il ait reconnu avoir découvert ainsi une grande jouissance. An. ne pouvait plus reculer, d'autant que J. s'était déjà éclipsé sans doute pour aller chercher un tube de vaseline dans le pharmacie familiale. Lorsque J. revint, An. était sur la table qu'elle avait remise devant Ag.. Elle s'était entièrement déshabillée, assise sur les talons, face à Ag., se caressant les seins, laissant parfois une main s'égarer sur son sexe. J. resta quelques instants à contempler le spectacle. An. ne se contentait pas de s'échauffer, mais de plus elle provoquait Ag. dont la respiration courte, la bouche entre ouverte, les yeux demi-clos ne laissaient guère de doute sur l'état d'excitation. J. se déshabilla et se plaça derrière An..

Après avoir mis un peu de vaseline autour de son anus, il s'apprêtait lorsque celle-ci se releva légèrement pour détacher le poignet droit d'Ag.. Cette dernière d'un mouvement rapide saisit An. par le cou et projetant sa bouche vers ses lèvres lui donna un long baiser passionné. An. se laissa faire sans déplaisir attendant qu'Ag. relâche son étreinte. Lorsqu'elle le fit, Ag. lui dit simplement: « Je t'aime », puis dirigea sa main enfin libre sur son sexe rasé et commença à se masturber. An. se mit à quatre pattes face à elle, se cambrant pour offrir son petit orifice à J. et suçant ou mordillant des seins maintenant gonflés de désir.
J. se mit en demeure de dilater avec délicatesse le petit orifice qui lui était promis, s'assurant régulièrement que cette préparation n'était pas douloureuse et qu'An. réagissait toujours aux caresses discrètes sur son sexe. J. se préparait maintenant à recueillir le fruit de sa patience lorsqu'un hurlement le fit se redresser. An. surprise se releva aussi. Ils virent alors Ag. les yeux révulsés, la tête balançant de droite et de gauche, le corps secoué de spasmes violents, la main crispée sur son sexe, Ag. en pleine jouissance. J. avait déjà vu An. jouir, il se rappelait même la première fois qu'elle avait joui dans ses bras en se masturbant, il avait presque eut peur et avait compris le sens du mot petite mort.
Mais ceci n'était qu'une pâle répétition de ce qu'il venait de voir. Même An. était troublée car elle se redressa et appliqua son dos sur le buste de J., passant ses bras derrière elle pour le serre contre elle. Après quelques instants, Ag. sortit de son semi-coma, elle les regarda et dit :

- « J'ai honte, mais je n'ai pas pu résister à l'envie qui me tenaillait. Je n'ai jamais connu une jouissance pareille. »
- « N'ai pas honte, lui répondit An., c'était la dernière humiliation que je voulais te faire subir, te forcer, sans contrainte , à te masturber et à jouir. Mais si j'éprouve une grande satisfaction, ce n'est pas de t'avoir humilier, mais t'avoir amener à cette jouissance, je t'envie »

Sur ce, An. libéra les pieds d'Ag., se coucha dos sur la table, glissa la tête entre ses jambes afin de titiller son clitoris qui avait pris des dimensions impressionnantes et releva les jambes sur sa poitrine pour que J. puisse accomplir le sacrifice qu'elle s'était imposée, elle pourrait ainsi au moins contrôler la pénétration du sexe de J.. Elle avait, dans un instant d'égarement, souhaité être sodomisée, mais elle ne voulait pas être totalement transpercée.

Pendant ce temps, traîtreusement, J. avait libéré la seconde main d'Ag.. Celle-ci se laissa doucement glisser sur le ventre d'An. lui maintenant les cuisse largement écartées. Son sexe était béant, son anus totalement offert. Elle saisit le sexe de J., savourant de serrer dans sa main un objet défendu, fit quelques va-et-vient, le porta à sa bouche, l'avala pour bien l'humidifier, mais prendre aussi symboliquement la possession de J., puis le présenta à l'entré de l'orifice.
Elle mit les mains sur les hanches de J. et l'attira vers lui, elle vit le pénis pénétrer lentement, c'était comme si elle sodomisait An.. J. la pénétra entièrement, puis entreprit un va-et-vient qui excita Ag., d'autant qu'An. s'occupait merveilleuse de sa chatte, jouant de sa langue et de ses doigts. Ag. ne put résister à l'envie de lui rendre la pareille, introduisant même deux doigts dans son sexe. Petit à petit An. sentait monter dans son bas-ventre un plaisir inconnu, son sexe était humide et commençait à couler tandis que son anus était pris de palpitations. Soudain une douleur fulgurante la tétanisa, un sentiment de plénitude la remplit, elle flottait dans un monde irréel, secouée de spasmes que Ag. et J. tentaient de maîtriser tout occuper à jouir eux-mêmes. Elle goûtait les sécrétions d'Ag. se déverser dans sa bouche, tandis que ses intestins se remplissaient des jets de sperme libérés par J.

Après avoir repris ses esprits J. se retira, satisfait d'avoir donné du plaisir à An.. Ag. se releva, dégagea la tête d'An. d'entre ses jambes et la mit sur ses genoux, lui caressant le visage. Elle déposa un baiser sur ses lèvres, lui sourit et lui dit :
- « D'habitude pour prouver son amour, on offre sa virginité. Il y a longtemps que je l'ai perdue. Je n'ai plus qu'une virginité celle de mon anus, je voudrais t'offrir ma défloraison anale »

An. sourit et rendit son baiser à Ag.. Elle bascula Ag. sur le dos, lui ramena les jambes de chaque côté des épaules et se saisit du tube de vaseline dont elle tartina généreusement l'anus d'Ag.. J., assis sur une chaise, ne perdait pas un miette de la scène et pressentait qu'il allait assister à un spectacle passionnant. Avec douceur, An. commença par circonscrire la cible, tout en surveillant les réactions d'Ag., s'occupant de temps à autre, de ses seins avec sa bouche pour entretenir le désir.
Lentement l'index s'approcha du petit orifice, puis en tournant sur lui-même commença à le franchir. Par une réaction réflexe, Ag. resserrait son sphincter pour s'opposer à cette intrusion contre nature. An. donna une petit coup de dent plus accentué dans l'un des mamelons, détournant l'attention d'Ag., tandis qu'elle forçait le passage. Ag. eut un petit cri et un rictus de douleur. Nul ne sut si la douleur venait du sein ou de l'anus. An. constata avec satisfaction qu'Ag. agitait maintenant son bassin pour engloutir plus profondément l'index. An. profita des bonnes dispositions d'Ag. pour décrire des cercles de plus en plus larges réussissant à faire pénétrer un second doigt, puis un troisième doigt. L'anus était maintenant largement détendu. An. a plusieurs reprises prit un malin plaisir à les sortir, puis à les réintroduire s'assurant ainsi de la défloration anale réclamée. Elle voulait maintenant passer à la véritable preuve d'amour.
Elle fit signe à Ag. de se relever et à J. devenir s'allonger sur la table. Ag. comprit vite ce que l'on attendait d'elle. Elle s'accroupit sur J., face à lui, saisit le sexe tendu et le plaça à l'entrée de l'orifice anal. Elle sentit la présence d'An. dans son dos qui lui appuyait sur les épaules pour favoriser l'intromission.

Petit à petit, Ag. se laissa descendre, sentant le membre viril la pénétrer profondément. Lorsqu'elle fut bien empalée, elle resta quelques instants sans bouger pour bien se familiariser avec cette nouvelle sensation, puis J. lui mit les mains sur les hanches. Ce geste déclencha un besoin de sentir coulisser la verge en elle. Elle s'employa à satisfaire avec douceur ce besoin. An. demeurée dans son dos avait passé les bras autour de son buste et lui malaxé les seins. Elle ne put s'empêcher de porter la main à son sexe et de se masturber. Peu à peu la réalité s'estompait, elle vit J. se redresser, saisir sa tête , l'embrasser, puis se rejeter en arrière comme tétaniser. Elle sentit alors des jets spermes chauds lui inonder le rectum. Pris dans la tourmente, elle se mit à hurler qu'elle jouissait.

Lorsqu'elle reprit ces esprits, elle était toujours à genoux. Elle laissa J. se retirer de sous elle, mais garda sa position, puis elle réclama à An. le matériel de rasage. A genoux, cuisses largement écartées, faisant face à An., la défiant du regard, elle entreprit de faire disparaître les derniers poils de son pubis. An. la regardait subjuguée, elle voyait se réaliser ce qu'elle avait penser être une humiliation, mais ce qui l'excitait encore plus était de voir couler entre les jambes d'Ag. des filets de sperme. An. ne put s'empêcher de porter la main à sa chatte, quelques caresses de doigts plus tard elle était secouée par un nouvel orgasme. Ag., le sexe glabre, un sourire de satisfaction, contemplait sa victoire. An. avait voulu la faire souffrir et l'humilier, mais elle lui avait révélé de nouveaux plaisirs, mieux de dominatrice, An. était passée au rang de soumise puisqu'elle lui avait offert J. comme amant. Pour matérialiser cette situation, Ag. vint s'asseoir près de J., posa tendrement la tête sur sa poitrine, puis négligemment caressa son sexe tout en regardant An.. Cette dernière, ayant rapidement compris la situation, s'approcha de l'autre côté de J, se blottit contre lui, posa sa main sur celle d'Ag. et lui dit :
- « Soit, mais uniquement en ma présence »
- « Soit, répondit Ag. avec un sourire, mais il faudra que je te fasse connaître la souffrance et l'humiliation »
An. eut un petit frisson n'osant imaginer ce qu'Ag. pourrait inventer, mais celle-ci se penchant par dessus J. lui donna un long baiser amoureux.

J. se dit que le grand gagnant, c'était probablement lui, mais il se ravisa rapidement lorsqu' Ag., saisissant ses testicules à pleines mains et les écrasant, soumis à An. l'idée qu'il serait qu'il soit également initié à ces nouveaux plaisirs. Elles éclatèrent rire et commencèrent à énumérer ce qu'elles qualifiaient de menus plaisirs et évoquaient en grand sacrifice.



Heureux.

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