TITRE : A l'arrière du Car
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites
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C'était dans le car qui nous ramenait d'un séjour en centre de vacances, auquel j'avais participé en tant qu'animateur. Nous avions fonctionné en duo durant tout le mois et ma partenaire, Virginie, m'accompagnait. Nous nous étions bien entendus, elle était grande, fine, châtain clair aux yeux bleus. Elle avait un peu l'allure d'un garçon manqué avec ses cheveux toujours attachés en arrière, le port permanent de jean et une poitrine réduite au minimum. Elle était toutefois jolie.

Virginie avait eu deux aventures de quelques jours durant le séjour. Pour ma part, je ne l'avais jamais envisagé et je m'étais amouraché d'une autre animatrice, sans jamais avoir tenté quoi que ce soit.

Nous occupions des places à l'arrière du car. Le voyage devait s'achever dans deux heures et il ne restait que peu de voyageurs, la plupart étaient descendus aux arrêts précédents. L'ambiance de fin de séjour et de séparation orientait nos conversations autour d'un bilan de ce que nous avions vécu, des gens avec qui nous avions travaillé. J'évoquais mon pseudo amour déçu, ce qui l'amusa, elle me parla de ses amourettes. Je ne sais comment ni pourquoi, mais le sujet glissa sur les relations sexuelles et nos expériences. C'est ce point qui avait été sa plus grande déception durant ce séjour. Elle me détaillait sans gêne les éjaculations précoces de l'un et de l'autre, leur indélicatesse timide... J'évoquais quelques fantasmes, mais toujours avec réserve, n'étant pas particulièrement habitué à le faire, et encore moins avec une fille. On riait, on se moquait l'un de l'autre, nous nous provoquions un peu. Il me semblait cependant que tout cela restait bon enfant. Nous en étions aux plaisirs buccaux.

Elle me dit gaiement :

- Seb ne sait même ce qu'est un cunnilingus et, quant à Fred, c'était sa seule forme de préliminaires, passage qui durait généralement trente secondes.

- Désolé pour toi. De mon côté, je dois avouer qu'il n y a pas grand-chose à dire.

J'avais haussé les épaules, un peu gêné.

- Tu veux dire quoi ? Tu n'as jamais pratiqué ou aucune fille ne t'a jamais...

- Hum... Les deux, mon capitaine.

Elle me regardait tendrement, sourire aux lèvres.

- Je te mets dans un drôle d'état, non ? J'suis désolée.

- Pourquoi tu dis ça ?

Elle s'approcha de mon oreille et me murmura :

- Tu veux que je te suce ? Dis oui, dis non, il n'y aura pas de soucis, tu sais.

J'eus du mal à avaler ma salive. Elle avait volontairement approché, jusqu'au contact, ses lèvres de mon oreille. Sa voix était suave. Je lui répondis d'un ton un peu moqueur et de défi à la fois. Ainsi, si sa proposition n'était qu'une provocation de plus, c'est elle qui se dégonflerait, et si elle était sérieuse, les choses suivraient leur cours. Après trois secondes de réflexion, je lui répondais :

- Tu en connais beaucoup qui te diraient non ?

- Non.

J'étais du côté fenêtre. Elle porta ses mains sur ma ceinture et les boutons de mon pantalon. Je m'attendais à tout instant à une moquerie de sa part, je me disais que la plaisanterie allait s'arrêter là. Elle avait ouvert mon jean et passa la main sur mon caleçon. Je compris qu'elle irait au bout. Elle caressa fermement ma bosse, vint chercher ma verge repliée pour la sortir de son espace étriqué. Elle continuait à gonfler et grandir dans sa main. Elle me décalotta, puis commença à me masturber doucement.

- Ca va ?

Sa question naïve m'exista encore. Elle me regardait dans les yeux, attendant une réponse.

- Oui, plutôt bien, je te remercie.

- On passe aux choses sérieuses, alors...

Elle se pencha, je ne voyais plus que sa queue de cheval sous ma poitrine. Je sentis sa langue douce et chaude me caresser le gland, en faire de nombreux tours, puis ses lèvres l'entourer suavement. Elle descendit ensuite lentement, pour remonter à la même allure. Elle accéléra doucement, une main malaxant tendrement mes testicules.

Je fis un tour d'horizon dans le car, ceux qui restaient nous tournaient le dos.

Je sentais qu'elle me tétait. Je n'allais pas tenir encore longtemps, à ce compte là. Nous bénéficions au dernier rang de plus d'espace pour nos jambes que pour ceux qui précédaient. Malgré cela, lorsque Virginie vint s'accroupir à mes pieds, elle se retrouva dans une position bien étriquée. Nous en avons un peu ri, puis elle me reprit en main.

Elle passa plusieurs fois en remontant le plat de sa langue tout le long de ma hampe, avala ensuite ma verge presque entièrement. Lorsqu'elle la ressortait, comme pour admirer son travail, je voyais mon sexe luisant de salive. Elle posa ses deux pouces sur mon frein pour y pratiquer un massage tout en petits mouvements rapides. J'étais étonné de son savoir-faire et entre deux gémissements, je lui en fis part.

- Je n'ai pas connu que Fred et Seb, tu sais. J'ai eu d'excellents professeurs. D'ailleurs, si tu as des suggestions à me faire, n'hésite pas.

- Ho non, tu le fais mieux que si je me le faisais à moi-même.

Elle émit un éclat de rire qui contrasta violemment avec nos chuchotements. Je refis des yeux un tour de notre environnement. Deux ou trois personnes s'étaient retournées, curieuses. Je leur souris, puis ce fut tout.

Virginie me serrait le gland entre sa langue et son palais, tout en me branlant rapidement. Elle avait décidé de m'achever. Elle y réussit parfaitement. Je sentais la sève monter, je la prévins. Elle s'immobilisa et me garda dans sa bouche lorsque j'éjaculais. Je lui tins la tête, immobilisé par le plaisir, une vingtaine de secondes. Elle replaça mon sexe dans mon caleçon, en silence et réussit à fermer mes boutons et ma ceinture pour s'asseoir à mes côtés. Elle porta ses lèvres et sur les miennes pour m'embrasser. J'eus un mouvement de recul en m'apercevant qu'elle avait gardé une partie de ma semence, qu'elle avait clairement l'intention de partager avec moi. Je me fis un peu violence et nos langues se mêlèrent.

- Après le prochain arrêt, ce sera à ton tour !

Ses yeux pétillaient en me disant cela. J'étais impatient de commencer.

- Pourquoi pas maintenant ?

- Il faut que je me change. Je mettrai une robe, ce sera plus facile.

Nous nous embrassâmes de nouveau.

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