TITRE : A deux
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Il y a quelques années, j'étais un après-midi chez Gérard et nous faisions l'amour lorsque son interphone sonne. C'était un de ses amis qui passant par-là lui rendait une petite visite. Nous nous sommes rhabillés à toute vitesse pour le recevoir. On discute un peu puis je vais à la cuisine avec Gérard pour préparer quelque chose à boire. Il me prend aussitôt dans ses bras, m'embrasse et glisse une main sous ma jupe. Je n'ai pas eu le temps de remettre ma culotte. Etant restés sur notre faim nous sommes très excités tous les deux. Lorsqu'il ouvre son pantalon pour me prendre, je refuse catégoriquement. La présence de son ami à coté est un obstacle que je ne veux pas surmonter. Il me fait alors promettre de lui montrer discrètement ma chatte.
Revenus au salon, il s'assoit dans le canapé à coté de son ami, moi dans le fauteuil juste en face.
Bientôt, j'écarte un peu les cuisses. Il me fait signe de les ouvrir davantage. Placée comme je suis son ami ne peut rien voir, aussi j'obtempère. Ayant été interrompu dans nos ébats avant d'avoir jouis, fait que je suis très excitée. C'est donc avec plaisir que je lui montre ma chatte en attendant que son ami parte et qu'il me la baise.
Le temps passe et il ne prend toujours pas congé. Pour précipiter un peu les choses, je ramasse les verres afin de lui faire comprendre qu'il est temps de partir. Je les ramène à la cuisine aussitôt rejointe par Gérard. Il glisse immédiatement deux doigts dans ma chatte pendant que nos langues s'enroulent l'une contre l'autre. Je suis trempée !
« Tu as envie de te faire baiser petite salope »
« Oh oui, mets-le dehors et baises-moi »
« Et si je lui proposais de te baiser aussi. »
« Ca va pas !!! Il n'en est pas question. »
Malgré tout, il insiste me faisant miroiter les possibilités qu'offre ce genre de situation mais je reste ferme sur mes positions.
Il a toujours ses doigts dans mon sexe et me masturbe divinement bien. Je suis au bord du plaisir.
« Mets le dehors, j'ai envie de toi. »
Il me demande alors d'exhiber ma chatte à son ami tout en enfonçant ses doigts au plus profond de moi.
« Gérard, fais-moi jouir. » suppliais-je.
« Seulement si tu lui montre ta chatte »
Et, sans rien ajouter, il retourne au salon.
Lorsque à mon tour je reviens dans la pièce, je reprends ma place dans le fauteuil en face d'eux. Par signes, Gérard me fait comprendre qu'il faut que je m'exécute. Excitée comme je suis, je me tourne à nouveau vers lui et écarte les jambes. Il me fait non de la tête et d'un petit geste il montre son ami.
Très hésitante, je me tourne vers l'homme. J'interroge Gérard du regard. Il me fait un grand sourire et dresse son pouce en l'air.
J'écarte un peu les cuisses mais les referme presque aussitôt. Gérard m'encourage à continuer.
Progressivement la situation commence à me plaire. Je sens que mon ventre se tord délicieusement. Je regarde l'homme. C'est vrai qu'il n'est pas vilain.
A un moment nos regards se croisent. Tout en le fixant droit dans les yeux j'ouvre légèrement la fourche de mes jambes. Il ne s'aperçoit de rien.
Je dois avouer que je suis un peu déçue.
Un peu plus tard, je croise les jambes et son regard se pose sur mes cuisses. Je me dis que c'est le moment.
D'un mouvement ample et lent je les décroise. Un flot de désir envahit mon sexe. Je me conduis en salope et ça m'excite.
Il se raidit d'un coup. Il vient de voir ma chatte !
Je fais comme si de rien n'était et je le laisse profiter du spectacle.
Une bosse énorme gonfle son pantalon. Je pense à ce sexe que je ne connais pas et qui viendrait bien prendre la place que je lui montre.
Estimant que ça a assez duré, je referme les cuisses. Gérard s'en rend compte et me fait signe de recommencé. Je me tourne vers lui et lui montre mon sexe. Il me fait comprendre que c'est à son ami que je dois m'exhiber. Je refuse. Il insiste. J'hésite entre le fait de tout arrêter là et de me soumettre à sa volonté. J'ai tellement envie qu'il me baise que je cède une nouvelle fois mais je ne lui permets que d'apercevoir mon intimité bien que Gérard me fasse signe d'ouvrir en grand la fourche de mes jambes. Je vois l'homme s'avachir dans le canapé pour avoir une meilleure vue sous ma jupe. Je le laisse voir.
Maintenant ça suffit. Il faut qu'il parte.
Je me lève en disant qu'il est tard et l'homme fait de même en disant que lui aussi doit partir.
Nous prenons nos vêtements mais ne voulant pas sortir avec lui, je trouve un prétexte pour rester un peu plus.
A peine est-il sorti que je me jète sur Gérard. Sans autre forme de procès, il me prend debout, appuyée sur le mur de l'entrée. Dés qu'il est en moi un violent orgasme m'envahit.
Sans sortir de moi, il me porte jusque sur son lit où il me baise avec fureur me faisant jouir plusieurs fois tout en me disant à quel point mon attitude l'a excité.
Lorsque je le prends dans ma bouche pour lui donner ce petit plaisir supplémentaire, il m'affirme que la prochaine fois il ne se contentera pas de me voir m'exhiber.


Pendant la période qui a suivi, il est souvent revenu sur le sujet. Mais mon attitude restait ferme, il n'était pas question que je me donne à deux hommes en même temps. Lorsque j'étais jeune j'ai eu des rapports avec deux hommes et ça ne m'a pas laissé des souvenirs impérissables. C'était deux frères et il est arrivé qu'ils me baisent l'un après l'autre. Parfois, celui qui ne me prenait pas me caressait ou m'embrassait mais ce n'était pas génial. J'avais à l'époque une vingtaine d'année et j'avais accepté de le faire pour faire plaisir à mon ami de l'époque mais son frère ne me plaisait pas vraiment. Nous l'avons fait quelques fois puis j'ai rompu avec lui.
Je n'avais pas envie de recommencer l'expérience.

Quelques temps plus tard, lorsque j'arrive chez Gérard, il est avec son ami entrain de jouer à des jeux vidéo. Ils ont déjeuné ensemble.
La console est installée sur la table de la salle à manger. Je m'assois au bout de la table et les regarde s'amuser. Ils jouent chacun à leur tour à des jeux dont je ne comprends pas bien l'intérêt.
Lorsque l'ami joue, Gérard vient s'asseoir à coté de moi. Je ne suis pas étonnée lorsque je sens une main se poser sur ma cuisse et remonter jusqu'à ma petite culotte. Comme son ami est occupé et que, là où je suis, il ne peut rien voir je laisse Gérard forcer l'élastique. Ses doigts savent ce qu'ils font. Il ne faut pas longtemps avant que je sente le plaisir commencer à monter. Il m'a souvent fait jouir avec ses doigts et je sens que l'orgasme n'est pas loin. Malheureusement son ami perd la partie et propose sa place à Gérard. Il m'abandonne et joue à son tour. Est-ce qu'il était troublé par ce qu'il me faisait ou l'a-t-il fait exprès il perd rapidement. Son ami lui dit qu'il est mauvais et le remplace. Gérard revient prés de moi et recommence à me masturber. J'ai du mal à ne pas gémir. Bientôt, j'atteins le point de non-retour. J'ondule du bassin pour le sentir encore mieux et l'orgasme arrive. Un petit orgasme mais au combien savoureux. A peine ai-je fini de jouir que l'ami termine sa partie. Ouf ! Un peu plus et on était découvert. Gérard le remplace et perd à nouveau très vite. Je n'ai pas eu le temps de me remettre du plaisir qu'il m'a donné qu'il recommence déjà à me masturber. Cette fois c'est deux doigts qui s'enfoncent en moi de plus en plus fort. Je vais jouir à nouveau et je sais que cet orgasme sera plus fort que le premier. Je ferme les yeux et me laisse aller. Je me mords les joues pour ne pas crier mon plaisir et ne pas éveiller l'attention de l'ami. Gérard glisse une main sous mon tee-shirt, sort un sein de mon soutien-gorge et le caresse pendant que sa bouche se colle à la mienne pour un baiser fougueux. Un formidable orgasme éclate dans mon ventre. J'ouvre les yeux pour qu'il voie à quel point je jouis fort mais c'est le regard de l'ami que je croise. C'est lui qui m'embrasse et caresse mes seins. Comme je suis en plein orgasme, je n'ai pas la force de le repousser et je continue à l'embrasser.
Après ça, plus moyen de reculer et plus l'envie non plus.
Sans quitter ma bouche il vient mettre sa main à la place de celle de Gérard. Il s'y prend bien le salaud.
Lorsque le baiser prend fin, il se redresse et fait tomber son pantalon. Une queue de bonne taille jaillit devant mon visage. Je la prends dans ma main puis je la porte à ma bouche. Toujours assise sur la chaise, je lui fais une pipe pendant que Gérard suce ma chatte. C'est divin mais la position n'est pas très confortable. Je glisse alors à genoux devant l'homme et je recommence à le sucer. J'y mets la plus grande application, n'hésitant pas à l'enfoncer le plus profondément possible. Gérard, ne voulant pas être de reste, se place à coté de son ami. Je comprends le message et je les suce à tour de rôle, masturbant celui que je n'ai pas dans la bouche. Bien que prenant un certain plaisir à cette double fellation, je pense qu'il est temps de passer à autre chose.
Je m'allonge sur le canapé et tout en pliant et écartant les jambes je dis à l'ami de venir m'y rejoindre. Il se couche sur moi et prenant son sexe dans la main cherche l'entrée de mon vagin. Dés qu'il l'a trouvée, il s'enfonce en moi d'un coup de reins. Sa queue me remplie bien.Il va et vient dans ma chatte et là encore il s'y prend plutôt bien. Je regarde Gérard comme pour lui dire : « tu voulais me voir me faire baiser par un autre, alors regarde. » Il me fait un grand sourire et s'approche. Il se met à genoux et me présente sa queue pour que je le suce. Il n'a pas besoin d'insister davantage. Je le prends dans ma bouche et lui fais une pipe avec une ardeur peu habituelle.
C'est comme ça que je jouis pour la première fois avec les deux. Mais pas la dernière.
Gérard prend bientôt la place de son ami entre mes jambes. Sa queue est plus petite mais tellement bonne.Il me baise sans ménagement me murmurant à l'oreille que je ne suis qu'une salope toujours prête à se faire baiser. Ca m'excite. Bien sur son ami désire se faire sucer encore. Je jouis une nouvelle fois avec une queue en haut et une queue en bas.
Ces deux orgasmes m'ayant fatiguée, je demande une trêve qui sera de courte durée. J'ai à peine le temps de récupérer qu'ils recommencent à me caresser. D'abord les seins, puis le ventre et enfin la chatte.
L'ami n'arrête pas de m'embrasser et moi qui ne raffole pas des baisers je réponds avec joie aux siens.
Progressivement, nous glissons sur la moquette. Ils me masturbent en même temps. Je ne peux m'empêcher de gémir. Ils glissent chacun un doigt dans ma chatte. J'adore.
Puis l'ami ramène mes genoux vers mes épaules. La position est acrobatique et pas vraiment confortable. Pourtant je me laisse faire. Je suis comme écartelée, le sexe complètement offert et grand ouvert.
Et les salauds en profitent.
Ils glissent maintenant deux doigts chacun dans ma chatte. C'est gros, c'est énorme, mais c'est bon. J'accompagne leurs mouvements en ondulant du bassin. Ils vont encore me faire jouir.Dire qu'ils s'acharnent sur ma chatte est un petit mot. Ils m'arrachent des cris de plaisir. La jouissance revient au galop. Elle est sur le point d'éclater lorsque simultanément ils écartent leurs doigts. C'est trop, ils vont me déchirer. Ma chatte n'est plus qu'un trou béant. Jamais elle n'a été ouverte à ce point. Ils sont fous de me faire ça et moi je suis folle de les laisser faire. C'est un cri puissant qui sort de ma gorge lorsque je jouis de cette façon. Je jouis tellement fort que des larmes me viennent.
A peine ai-je fini de jouir que l'ami me fait mettre à quatre pattes et me prend en levrette. Et que fait Gérard pendant ce temps ? Bien sur il se met devant moi et enfonce sa queue dans ma bouche. Une fois de plus je le suce pendant que l'autre me baise. Comme c'était prévisible, ils changent plusieurs fois de place. Malgré tout ce que j'ai déjà « subit » cette position m'excite. Je me fais l'impression d'être une chienne en chaleur.
L'ami est derrière moi lorsqu'il dit à Gérard : « Quelle salope ta copine ! Une vraie pute. On peut tout lui faire, elle prend son pied. » Et il me met de grands coups de butoir.
Il sort de moi et glisse entre mes cuisses pour dévorer ma chatte à grands coups de langue. Après la puissance avec laquelle il m'a baisée, c'est un moment de calme. Sa langue aussi est bonne. Bientôt, elle s'égard jusque sur mon petit trou. Je crois un instant qu'elle est simplement allée trop loin mais il saisit une fesse dans chaque main pour les écarter et se met à me lécher franchement le cul. Ca, je n'aime pas trop. Je ne le laisse faire qu'un peu puis lui demande d'arrêter. Il se replace alors derrière moi et s'enfonce dans ma chatte. Quelques va et vient et il ressort. Il entre et sort de ma chatte plusieurs fois. Puis il pose le bout de sa queue sur mon anus. Il va m'enculer ! J'arrête un instant de sucer Gérard, attendant la sodomie. A vrai dire je m'attendais à ce que cela finisse par arriver. Peut-être même que je l'espérais. Quand je suis très excitée j'aime bien être sodomisée et là je suis excitée comme rarement et peut-être même jamais ! Sa queue n'est pas du volume que je préfère pour ça. Je la trouve un peu grosse. C'est pourquoi je l'attends avec un peu d'appréhension. Il me saisit par les hanches et pousse en avant. Ca fait un peu mal mais il ne se précipite pas à entrer. C'est tout doucement qu'il s'enfonce là. J'ai le temps de m'habituer et lorsqu'il est complètement entré la douleur a disparu pour laisser la place à quelque chose de plutôt agréable. Pour lui faire comprendre que c'est bon, je recule le bassin pour venir à sa rencontre. Il comprend le message et commence à m'enculer réellement. J'aime bien sentir sa queue aller et venir dans mes fesses. A ce moment là, Gérard passe ses mains derrière ma tête pour me faire comprendre de ne pas l'oublier.
Je recommence donc à le sucer.
Comme je m'y attendais, Gérard prend bientôt la place de son ami dans mon cul. C'est la première fois de ma vie que je reçois deux sodomies consécutives. La queue de Gérard à une meilleure taille pour moi, c'est donc encore plus agréable. En plus ce n'est pas la première fois qu'il m'encule et il sait comment faire.
Le fait d'être à quatre pattes, une queue dans la bouche ( car évidemment l'ami me l'a remit là) et une queue dans le cul m'excite tellement que je sens que je vais pouvoir en jouir. Je ne jouis que très rarement en me faisant sodomiser mais là la situation s'y prête. Malgré la queue qui envahit ma bouche je pousse des petits cris d'excitation. Gérard comprend ce qu'il m'arrive et s'enfonce en moi très profondément mais avec douceur. Je sens que tout son sexe entre en moi. Ces mouvements sont lents et réguliers. J'aime. Il glisse alors une main jusqu'à mon sexe. Presque instantanément un violent orgasme éclate dans mon ventre. Si je jouis rarement comme ça, à chaque fois c'est avec une force et une durée peu ordinaire. J'en lâche la queue de l'ami.
Il est compréhensible qu'après ça je m'écroule sur la moquette épuisée. Mais ce n'est pas du goût des hommes et l'ami se couche sur moi pour me prendre à nouveau. Je sens sa queue qui cherche l'entrée de ma chatte. Comme je suis sur le ventre, il a un peu de mal à la trouver. Il m'attire alors sur lui. Je m'assoie sur sa queue mais je le laisse imprimer la cadence, trop fatiguée pour le faire moi-même. C'est la position que je préfère et Gérard le sait bien. Il me dit « tu vas encore jouir ma chérie » Je lui réponds que je suis trop fatiguée pour ça mais il m'affirme le contraire. Il me caresse le dos puis les fesses avec beaucoup de douceur déclenchant un frisson. Puis il m'embrasse le dos et le bas des reins. C'est très agréable, d'autant plus que son ami a ralenti le rythme. Je sens qu'effectivement je vais jouir pour la énième fois de la journée.
« Je vais t'aider à jouir » me dit Gérard.
Je le sens qui se glisse derrière moi pour s'occuper de mes fesses. Il sait à quel point j'aime être caressée là lorsque je suis sur le point de jouir. Effectivement ses mains empaument mes fesses et les malaxent tout en douceur. Un doigt chatouille mon anus qui après ce qu'il vient de subir s'ouvre comme pour l'inviter à s'enfoncer là. Tout en me caressant de la sorte il se frotte sur moi. Je sens sa queue contre ma hanche puis sur ma fesse. Il bouge à nouveau et place son sexe entre mes fesses. Je comprends tout à coup ce qu'il veut me faire. Une double pénétration !!! Là je ne suis pas d'accord du tout et je lui demande d'arrêter. « Mais si ma salope, tu vas prendre une queue dans chacun de tes trous » me répond t'il. Je n'ai jamais fais ça. J'aime avoir un doigt dans le cul lorsque je suis baisée mais de là à prendre une queue. Ca me paraît impossible. L'autre semble d'accord avec lui puisqu'il saisit mes fesses afin de les écarter pour faciliter le passage à son ami.
Au fond de moi je sais que l'expérience me tente mais j'ai peur d'avoir mal.
« Non, s'il te plait, ne fais pas ça » dis-je mais je ne fais aucun geste pour me défiler.
« Si, on va te baiser tous les deux en même temps et tu vas voir comme tu vas aimer ça. »
Je sens l'envie de sentir ces deux queues me posséder monter en moi. Pourtant je continue à dire non. Mais tellement mollement qu'il comprend que je vais le laisser faire.
Il a maintenant son gland posé sur mon anus. Je sais que je vais sentir cette nouvelle sensation. A nouveau je lui dis : « non Gérard pas ça » mais l'ami n'a plus besoin d'écarter mes fesses, je le fais moi-même.
Il pousse un peu et son gland commence à entrer. Je pousse un cri mais plus de crainte que d'autre chose car la sensation n'est pas désagréable.
Il entre doucement mais ne s'arrête que lorsqu'il ne peut plus aller plus loin.
Ca y est, j'ai une queue dans chaque trou ! Je me fais baiser et sodomiser en même temps ! Et j'aime ça. C'est bon. C'est excitant de se sentir remplie de partout à la fois !
J'ai toujours pensé qu'il n'y avait que les pires des salopes pour accepter d'être prises comme ça. Eh bien, j'avais tord car c'est diablement bon.
L'homme n'a pas bougé pendant toute la pénétration. Il ne bouge pas non plus pendant que Gérard commence à aller et venir dans mon cul. Puis progressivement il recommence à me baiser. Pendant que l'un entre, l'autre recule ce qui fait que j'ai en permanence une queue au fond de moi. C'est trop pour moi, mais c'est tellement bon que je hurle de plaisir.
Je croyais avoir atteint le summum tout à l'heure mais il n'en été rien. L'orgasme que j'ai est certainement le plus fort de ma vie. Je ne crie pas, je hurle mon plaisir les invitant à poursuivre ce qu'ils ont commencé. Je suis déchaînée. Je m'empale sur leurs queues les forçant à s'enfoncer en même temps en moi.
« C'est ça, baisez mes deux trous en même temps. Baisez-moi comme une pute. Faites-moi tout ce que vous voulez. Baisez mon cul et ma chatte j'aime ça. Je jouis du cul et de la chatte en même temps. »

En rentrant chez moi, mes jambes ne me portent plus.
Lorsque mon mari arrive à la maison le soir, il s'inquiète de voir les cernes que j'ai sous les yeux. Il me demande si je ne suis pas malade ou surmenée. Si il connaissait la nature de mon surmenage.
Marie

 

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