TITRE : 48H00
Catégorie : 
Histoire Travesti et Trans

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Je l'allonge sur le dos, le maintenant sous moi.
"Alors petite femmelle tu te rebelles"
Je me penche sur lui et l'embrasse. Ma langue entre profondement dans sa bouche. IL étouffe mais je ne lache pas prise.
C'est un jeu, et les jeux c'est toujours sérieux.
Je le laisse respirer enfin.
"Alors tu te soumets"
"Oui, je me soumet"
"Ca va je prefere ça". En recompense je lui caresse le sexe.
Lui c'est Alain. C'est mon mari. Moi, je suis Elodie.
"Ca te plait d'être une femelle" J'ai dis ca s'en y penser vraiment.
"OUI".
OUi ? Mais c'est vrai qu'il à l'air sérieux. D'ailleur je sent sa bite devenir dure d'un coup. Ben ca alors.
"Euh! tu es sérieux ?".
Il sent mon malaise.
"Non bien sur" il rit sans trop y croire. AH sa bite se ramollie.
Ca j ai l'habitude. Je l'aime bien mais question baise c'est pas un champion.
Si je veux du bonheur, il me faut chercher ailleurs.
Je me reprend.
"TAIS toi, ca t'exite d'être un gonzesse. Dit le"
"OUi ca m'exite". Incroyable il s'est remis à bander instentanement.
"Ben fallait le dire plus tot ma cherie"

Voila qui ouvre des perspectives. Je me donne quelques secondes pour reflechir. Puis je me décide.
Je me lève et vais vers ma commode.
"Si je dois avoir une fille dans son lit, je veux qu'elle soit sexy".
J'ouvre un tiroir et j'en sort une adorable parure en satin bleue que je vient de m'acheter.
"Tient"
Il hésite. L'instant est d'importance.
"Allez !" Un coup d'autorité ou de la douceur ? J'opte pour de la douceur. Je le caline un peu.
Je l'aide à enfiler le soutient gorge. Voila comme ca. Il n'y a plus qu'a le boucler. Et voila, l'oiseau est en cage.
Maintenant la culotte.
Il a l'air un peu perdu mais quelque chose me dit que ca ne va durer.
Je prend conscience que je suis trempée.
Je profite de ce qu'il est dans de bonne disposition pour le chevaucher. Oh oui! je jouis en trois seconde.
Pas lui.
"Je vais te caresser comme une fille" avec l'air de lui faire un cadeau.
Je lui met la main entre les cuisses et je le branle d'un doigt comme si c'était un clitot.
Il éjacule.
"Oh! ta petite culotte est toute mouillée ma chérie" Je m'efforce de ne pas rire.
"Tu peux en changer si tu veux, il y en a des propres dans le tiroir et les chemises de nuit sont dans l armoire !".

Le matin est la. les oiseaux chantent (nous habitons la campagne). Nous sommes samedi. J'ai deux jours devant moi.
Je coule un oeuil vers mon mari qui dort encore.
Il est mignon dans son deshabilé rose. Tient il faudra faire des photos.
Situation délicate. C'est qu'à la lumière du jour il risque de trouver la situation un peu difficile le Lapin.
Je me lève sans bruit.
D'abord moi : soutient gorge noir pigeonnant, bas résilles et portes jarretelles, string noir, talons hauts.
Installer une ambiance érotique. Le rassurer, c'est un jeu.
Pour lui maintenant. Je prépare la salle de bain. Cosmétiques. Maquillages. Rasoirs. Crème d'epilatoire.
Hum ca serait bien si je pouvais l'épiler.
Ah verni à ongle, c'est bien ca,le verni, ca reste. Ca suffira pour commencer.
Non les bijoux. Voila.
Les fringues maintenants : pastel, jolies, feminines, mais pas erotiques. Ca doit être du quotidien.
Jupe? Robe? ou pantalon?. Autant y aller fort jupe. Mini. Bas ? oui bas, ou collant. J'en ai un tres bien avec des motifs.
La perruque. J allais oublier. Cheveux noir au carré avec frange, tres "creazy horse".
Manque les chaussures, premier achat à faire. En attendant il devrait rentrer dans mes mules dorées.

Bon, il n'y a plus qu'a.
Je remonte mes seins, cambre les reins et durcie mes abdominaux (j'ai 26 ans, je fais de sport etje n ai pas de ventre).
"Bonjour mon chérie" Je suis plantée debout devant lui. Ca à l air de lui faire un certain effet.
Je ne le laisse pas respirer.
"Allez debout, villaine parésseuse, dans la salle de bain"
Il me suit comme un toutou. Profite mon chéri, tu sais pas ce qui t'attend.
La séance commence. Je le déshabille. Je le douche. Le séche. Le pauvre doit se croire arrivé.
J'en profite pour lui passer mon peignoir en satin mauve.
Rasage de la vilain barbe. Je le tripote. Le frole. Lui colle mes nichons chaque fois que c'est possible.
Je crois qu'il na jamais rêvé d'un pareil traitement.
Creme de jour, soins hydratant. On y va en douceur. Fond de teint. Ah! il tique un peu.
Mais je ne le laisse pas se reprendre. Baisé panoramique, caresses appuyées.
On passe au yeux : fard à paupière, Rimmel. Une bon rouge à lèvre et cest une bouche à tailler des pipes
On plaisante. Ah ah comme c'est drôle, rira bien ...
Je lui épilerai bien les sourcils mais c'est un peu tôt.
Je lui passe sa lingerie.
"AH ces vilains poils sur les jambes...Regarde comme c'est facile, personne n'en saura rien, ca repousse..."
J'étale la crême. Les jambes, le torse, les bras. Ca ne sent pas trés bon. "La prochaine fois avec la cire..."
Et oui on en est déjà à la procaine fois.

Deux heures plus tard, je ne reconnais plus la jolie brune un brin masculine qui se contemple dans le miroir.
Lui non plus d'ailleurs ne se reconnait pas. Il trouve que ca va un peu loin cette histoire. IL hesite.
"Tournes toi face au miroir les mains sur la tablette, allez "
Il se tourne. Ce qui lui faut c'est un peu d'autorité.
"Regarde toi femelle"
Je lui baisse sa culotte et je commence à le fésser.
"Regarde toi jouir espece de cochonne"
De fait il bande.
"Tu es faite pour ca salope, pour qu'on te baise, pour qu'on te prenne, pour qu'on t'humilie... Regarde toi, tu aimes ça"
Même avec le fond de teint, on voit qu'il a rougi.
"Dis le que tu veux être une pute.. Dis le"
"Je veux être une pute"
Je prend la brosse, l'enduit de crême Nivéa et je lui enfonce le manche dans son minou. Il résiste un peu puis accepte et se cambre.
"Voila, c'est bien... Branles toi pendant que je t'encule"
Le pauvre chérie ne sait plus ou il en est.*
"C'est bon hein ma chèrie..."
Il se met à jouir. Puis il pleure. Elle est trop mignonne. Je le prend dans mes bras pour le consoler.
Comme il a toujours la brosse entre les fesses j'en profite pour le branler un peu.
"Allez c'est rien, je vais te refaire ton maquillage".

Aprés l'effort, le réconfort. Petit déjeuner avec ma nouvelle compagne.
"Tu aurais pu le dire avant que tu voulais te travestir, tu sais j aime beaucoup ca, je te trouve bien mieux comme ca, et puis tu es une tres jolie fille"
Il ne sait comment prendre le compliment. Il bredouille.
"Je ne t'ai pas fait mal tout à l'heure?... En tout cas ca t'a plu"
Merci de me le rappeler il semble dire. Mais il ne dit rien.
J'insiste "Tu sais moi aussi j aime que tu me prennes ce n'est pas une honte"
Comme si c'était la même chose!.
"Tu veux que je t'appelle Aline ou tu préféres un autre prénom. C'est cool de pouvoir choisir son vrai prénom."
Choisir ?
"Remarques tu as le temps... En attendant je t'appelerais Aline... ET puis tu peux avoir plusieurs prénom, un pour la gentille copine d'Elodie, un autre pour jouer les cochonnes..."
Je le sent prét à se rebéler, mais ce n'est pas si simple quand on est en minijupe de jouer les males outragés.
"C'est pas la peine de faire cette tête, je te rappelle que ce n'est pas ma faute si tu jouis quand tu es baisées"

Mon travesti se fait à ses nouveaux habits.
On dit que l'habit fait le moine. C'est encore plus vrai que l'on ne le pense.
En quelques heures Aline a déjà commencé à changer son comportement.
Elle parle d'elle au féminin. S'essaye à des gestes féminins. Monte sa voix dans l'aiguée.
Je n'en reviens pas. Il faut battre le fer pendant qu'il est chaud.
"Va chercher un manteau, on sort acheter des chaussures"
"On sort ? mais..Je ne peux pas..."
"Juste en voiture idiote, j'irais acheter les chaussures et tu resteras danns la voiture. Il fait nuit"
J'insiste suffisament pour qu'elle accepte. Premiere étape les chaussures effectivement.
Je lui trouve des escarpins dans une espèce de "Halle aux chaussures".Rouges. 8 Cm de talons.
"Vient on va les essayer"

Un parking désert.
"Allez vas y, descend, tu vas sentir l'air sur tes cuisses, tu n as jamais été dehors"
Aline descend.Je démarre. Je fais une centaine de mètres. Elle avance maladroitement sur ses talons en essayant de se dépécher.
Quand elle arrive pres de la voiture,je vérouille les portes et je baisse ma vitre
"C'est combien ?"
"Arretes ce n'est pas droles"
"Attention Mademoiselle, si vous n'êtes pas gentille je men vais. alors c'est combien?"
"Je ne sais pas!"
"Hum Vous êtes jolies mais d'un autre côté vous n'êtes pas une femme, 30 euros pour une pipe d'accord?"
"Bon d'accord, je peux monter"
"Pas tout de suite ma grande" Je démarre. Direction le canal. Je me gare. Ca ne traine pas. Un homme s'approche.
"Combien ?"
"Gratuit, mais c'est pas pour moi, je dresse un travesti.Je vous donne 50 euros et vous la traiter comme une pute."
"C'est serieux"
"Qu'est ce que vous risquez, elle est sur le parking la bas. C'est éclairé et il n'y a personne d'autre"
"OK"
Je retourne au parking.
"Voila, tu es un pute à 30 euros la pipe. Un homme va venir. Il m'a payé. Tu le suces. De toute façon, que tu sois d'accord ou non, il te laissera pas"
"Ah toi de voir. Si tu es gentille aprés je te ramenne à la maison... Tient prend des capotes"
Je croise la voiture de l'inconnu. J'aimerais être une petite souris pour voir ça. Va t elle supplier ?. Va t elle refuser ?. Est elle déja résignée ?
15 minuttes plus tard, la voiture de l'inconnu reviend. Je fais un appel de phares.
"Alors"
"Elle a fait la méchante au début. Mais c'est qu'une pute. Je l'ai mise a genoux et elle m'a sucé. Si ca se trouve ca lui plaisait"
"Dites si vous voulez je peux vous envoyer d'autre gars. Gratos je veux dire..."
"Profitez ca durera pas."
"Je me doute".


Retour à la maison. Aline est effondrée.
Son maquillage est défait. Sa perruque de travers.
Elle vient de se taper une petite douzaine de types.Pas tous gentils si je peux juger par son état.
Elle pleure.
Je la prend dans mes bras. Je suis sa maman. Elle sanglote doucement
"Va te doucher"
Elle obéis.Pendant qu'elle se douche je dechire ses habits d'homme et je les jette.
Elle revient une demi heure plus tard. Travesti. Maquilléé. Perruquée.
"Ca va " je demande sans rire.
Elle ne dit rien.
"C'était un peu dur mais c'est pour ton bien tu le sais"
Non elle ne sait pas.
"Tu as eu du plaisir au moins?"
Elle ausse les épaules.
"Ca viendra"
"Pourquoi tu fais ca?" elle gémit.
"Mais par ceque ca m'excite de te voir humiliée, avilie, réduite à être un objet".

A SUIVRE

Florence

 

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