J'ai 39 ans et je fais des menus travaux chez mes beaux-parents qui
n'habitent pas très loin de chez moi. Cela consiste à faire de la
tapisserie dans une chambre. Pour faire cela, ma belle-mère que
j'appellerai Rosa a décidé de m'aider, étant donné que mon beau-père
passait son temps au bistrot. On se retrouve seuls les après-midi. C'est
une femme de 73 ans pas très belle de visage, mais avec un très joli corps
et des seins extraordinaires, 95c, un peu lourds à cause des cinq
accouchements qu'elle a eus. Ce jour-là, il fait très chaud et elle n'a
mis sur elle qu'un tablier fermé devant par des boutons et descendant aux
genoux.
Elle encolle les lais et me les emmène pour être posés. Cela dure un
certain temps quand je m'aperçois qu'elle transpire et que son tablier
colle, dévoilant allègrement ses formes, aussi bien ses seins que son sexe
que je devine à travers une culotte blanche. J'ai une érection qui
est difficile à cacher et là, dans une semi-inconscience, je me mets
derrière elle pendant qu'elle encolle et je lui plaque les deux mains sur les
seins. Sa réaction ne se fait pas attendre et elle fait tout pour se
débarrasser de moi, qui reste collé derrière elle. Il faut dire qu'elle
mesure 1m70 et moi 1m85. Sentant que ses efforts n'aboutiraient pas, elle
se met à me faire des menaces, en disant qu'elle allait tout raconter à
ses fils, ainsi qu'à sa fille et que mon temps dans la famille était
révolu, mais je ne pouvais me détacher de cette femme, que ses mouvements
du bassin pour se débarrasser de moi me faisaient encore plus bander.
Je la pousse alors face au mur et, toujours derrière elle, je me mets à lui
caresser ses seins outrageusement, la tenant ainsi plaquée avec un genou
contre ses fesses. Après ça je ne peux plus revenir en arrière et je
dégrafe son tablier en commençant par le bas. Puis je colle directement une
main sur son sexe et là elle ne se défend plus, et j'en profite pour
insérer deux doigts dans sa grotte brûlante, les faisant aller et venir et
en les tournant chaque fois que je les rentrais. Cette femme qui
paraissait très froide de caractère se mit à onduler des bassins, et à
pousser des soupirs de plaisirs qui me firent penser que je pouvais aller
plus loin dans mes caresses. Je la tourne en face de moi, lui enlève
alors son tablier, défais son soutien-gorge et d'une main je lui pince
ses bouts qui étaient très gros, et de l'autre je lui caresse son petit
bouton, la faisant toujours gémir.
J'emmène Rosa au milieu de la pièce, la fais se courber sur la table à
tapisser et d'un seul coup je la pénètre. Et cette femme autoritaire,
froide même envers son entourage, devient une vraie furie bougeant dans tous
les sens, se caressant les seins plaqués sur la table et disant des mots
que je n'aurais jamais crus entendre d'elle, se traitant de salope, de
vieille truie. Elle se mit à jouir très fort et s'écroula sur la table,
moi je continuais à baiser et je la suivis dans son plaisir en déchargeant
violemment dans son sexe, ce qui lui procura encore un orgasme. Nous
restons un moment dans cette situation et je ressors d'elle toujours en
bandant ce qui fait un bruit de succion et fait ressortir un filet de sperme. Il
faut dire que je suis pas mal monté, vingt-deux par six, et que je lui
emplissais complètement son sexe. Je l'aidai à se redresser et lui dit
d'un ton ferme de ne rien dire aux autres, qu'elle était aussi coupable
que moi et que maintenant elle était ma chose, qu'elle devait être prête
quand je le voudrai et comme je la désirerai, dans les endroits et les
vêtements que je lui imposerai. Elle ne dit rien et alla dans la douche,
moi je continuais les tapisseries en pensant à la prochaine fois.
Romuald
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