Bien plus jeune,déjà, j'étais très attiré par les hommes,
et j'éprouvais un vif plaisir à porter des sou vêtements féminins...
La confirmation de mon penchant homo intervint très vite à
l'occasion d'une première étreinte avec un homme d'âge mûr
sur laquelle je ne m'attarderai pas aujourd'hui.
Les années passèrent rythmées par une boulimie de sexe,
alliant rapports hétéros, qui m'amenèrent au mariage avec
enfants (puis au divorce), et rapports homos avec des amants
éphéméres qui me familiarisèrent à tous les plaisirs et
confirmèrent mon goût pour le travestissement...
En tout cas, l'influence de ma 1ère expérience et des aventures
qui suivirent me firent préférer les hommes d'âge mûr (voire
très mûr) que je trouvais plus patients, plus calins, mais
aussi plus vicieux...
Au hasard d'un contact minitel, j'ai rencontré Robert,
à priori passif, avec qui j'entamai une relation "gouinage"
en marge de ses liens avec son ami actif... Sexagénaire
affamé de sexe, mais néanmoins très correct et soft, nous
eûmes des étreintes torrides alliant interminables caresses,
fellations, et jeux de godes.
Cependant, tout passif qu'il puisse être à la base, mon
côté chienne soumise était tel lorsque je me donnais à lui,
travesti dans des tenues plus sexy les unes que les autres,
qu'il finit par se prendre au "jeu" au point de devenir
ponctuellement actif, et de prendre plaisir à me défoncer
à grands coups de reins avec sa vaillante petite bite!...
Bien que notre relation soit de qualité, son sexe de petite
taille me laissait un peu frustré, jusqu'au jour où Robert
me proposa un trip à 3 avec son ami actif... Un peu effrayé
au premier abord, je devais admettre que je fantasmais depuis
longtemps sur ce genre de situation et j'acceptai très vite...
Le rendez-vous fut fixé et il fut convenu que j'arrive chez
Robert en premier vers 19h, pour avoir le temps de me préparer,
et que son ami Michel n'arriverai que vers 20h...
Ce jour là, je soignai particulièrement ma tenue et mon
maquillage, et je pus voir le regard approbateur de Robert
ma sortie de la salle de bain, finement maquillé sous ma
perruque longue et brune, vêtu d'un chemisier noir en dentelles
et d'une jupe claire légère, courte et évasée, sur un corset
et un string assorti, bas up et escarpins... A présent,
j'étais Gaby, la salope docile...
Michel sonna à ce moment. L'arrivant, sexagénaire lui aussi,
était très différent de mon amant et me plut immédiatement:
grand, charpenté, visage viril et cheveux gris, il avait
très belle allure... Lorsqu'il me vit, son sourire me rassura
mais, malgré ses sages baisers sur mes joues en guise de
salut, son regard dur et fixe me parut inquiétant... Après
tout, je verrai bien!...
Le ton fut très vite donné: il s'affala dans le canapé
avec Robert en m'ordonnant , sur un ton sec ne souffrant
aucune contradiction, de leur servir l'apéritif, puis il
enlaça Robert pour un baiser où leurs langues se mêlèrent...
Lorsque je revins avec verres et bouteilles, Michel m'attira
vers lui et , me tenant par la nuque, me dit en me fixant
de ses yeux durs; " Robert m'a beaucoup parlé de toi, et
je sais ce que tu aimes, alors tu vas bien m'obéir et tu
passeras une très bonne soirée". Ce disant, il lacha ma
nuque et passa sa main sous ma jupe pour malaxer fermement
mes attributs à travers mon string. Je me sentis fondre
sous cette caresse virile. " Maintenant, sers nous!"...
Je m'exécutai docilement pendant que Michel et Robert recommençaient
à s'embrasser tout en se caressant... Les verres n'étaient
pas encores vides que Robert était allongé de côté sur le
canapé, et suçait avidement Michel qui, pantalon aux chevilles,
avait sorti un sexe de fort belle taille et appréciait la
caresse en respirant bruyamment les yeux mi-clos; il les
entrouvrit pour me commander de sucer son acolyte en laissant
mon cul à sa disposition.
Obéissante et excitée, je m'installai à 4 pattes au pied
du canapé et me mit à pomper la fine bite de Robert, alors
que Michel relevait ma jupe jusqu'à ma taille et glissait
sa main sous mon string pour branler mon sexe déjà bandé
et malaxer fermement mes testicules... "Cambres bien ton
cul de salope et continue de sucer!" me dit-il d'une voix
sèche, et ses caresses se concentrèrent sur ma raie, titillant
mon trou, puis, après avoir largement écarté le tissu qui
le génait, il me planta un doigt mouillé de sa salive qu'il
fit aller et venir, puis en rajouta un deuxième... J'étais
dans un état d'excitation énorme d'être ainsi la chose de
ces 2 hommes, à leurs pieds, soumise à leurs moindres désirs,
une bite dans la bouche et 2 doigts fouillant mon cul, si
bien que je gémissais crescendo...
La voix de Michel claqua:"Suffit salope! Maintenant tu
vas nous faire jouir... pour toi il est encore trop tôt!"...
Ils se réinstallèrent côte à côte, la bite dressée, afin
que je les suce à tour de rôle agenouillée à leurs pieds.
Après un bref instant de frustration de voir mon cul aussi
vite abandonné, je savourai enfin le plaisir de remplir
la bouche avec la belle queue de Michel que je commençai
à pomper énergiquement, mais... "Arrête" dit Michel "Je
veux que tu nous lèches comme la chienne que tu es, en sortant
bien ta langue!"...
Je leur léchai donc avec application et force salive le
gland, la hampe, les couilles, glissant parfois jusqu'à
leurs anus palpitants jusqu'à ce qu'une pression sur la
tête ne m'invite à pomper... Après quelques instants où
l'on n'entendit plus que leurs râles et mes gémissements
étouffés, ils me déchargèrent leur sperme sur le visage,
y essuyant jusqu'aux dernières gouttes dont certaines finirent
leur course sur mon chemisier... J'étais dans un état second,
à la fois surexcitée et fustrée de ne pas avoir pu sentir
la belle bite de Michel forcer ma rosette, mais la soirée
n'était pas finie...
Après avoir rafraichi mon maquillage, je dus assurer le
service du diner dans une tenue plus légère: je ne portais
plus que mon corset mes bas et mes escarpins et dus rester
debout, ne mangeant que ce que mes amants me présentaient
dans leurs doigts que je devais ensuite sucer ou lécher
afin qu'aucune souillure n'y subsiste...
Le repas fut vite expédié, et le "pousse-café" se passa
cette fois dans la chambre, ou, dans un premier temps, je
dus seulement regarder mes "maitres" à présent totalement
nus, ne devant intervenir qu'à leur demande. Après les nombreuses
caresses qu'ils s'administrèrent, ils passèrent en 69 pour
se dévorer mutuellement la bite, et Michel, qui était dessus,
me commanda (enfin!) de lui lécher le cul. Je me retrouvai
à nouveau à 4 pattes, le visage engoui entre ses fesses,
le léchant avec application des couilles à l'anus, lui enfonçant
parfois la langue, mon menton frottant le front de Robert
qui engloutissait avec entrain la belle bite dont il me
tardait de me régaler encore...
Soudain, à ses soubressauts, je compris que Robert était
en train d'éjaculer, et, libérant la bite qu'il suçait,
il se mit à pousser un énorme cri de jouissance.
Michel, lui, en voulait encore: il bascula sur le dos et
m'attira vers lui pour que je reprenne la fellation abandonnée
par son ami; ce fut un régal que de lui obéir, et d'autant
plus intense lorsqu'il fit entreprendre à Robert, revenu
à lui, la préparation de mon cul sur lequel il s'activa
de la langue et des doigts.
"Maintenant, montre moi comment tu baises cette pute pendant
qu'elle me pompe" lui dit-il... je crus défaillir de plaisir
quand, pour la 1ère fois de ma vie, je me retrouvai entre
2 hommes, en levrette, le cul cambré à fond, avec un sexe
dans la bouche et un autre me fouillant les entrailles...
mon baiseur eut quand même quelques difficultés à me pénétrer
à cause d'une raideur vascillante due à son préservatif
et à ses 2 précédents orgasmes, mais mon cul affamé et bien
préparé se chargea de lui faciliter la tache... Un moment,
je peinai un peu pour synchroniser les 2 mouvements, mais,
après un bref temps d'adaptation, je pus pomper correctement
la belle tige qui étouffait mes cris de plaisir tout en
envoyant mon cul à la rencontre de celle qui me baisait...
Robert n'en pouvait plus, mais Michel était prêt pour la
relève:"Viens sur moi salope, et empales toi de façon à
ce que je vois bien ton cul..."
Robert me libéra, et j'enjambai son ami qui enfilait une
capote lubrifiée. Mes cuisses gainées de bas bien ouvertes,
je descendis sur lui jusqu'à ce que son gland butte sur
ma rosette... Il ne bougea pas. Il était bien plus gros
que Robert, mais mon trou bien assoupli n'en était pas à
son coup d'essai: je me relachai bien, poussai pour bien
m'ouvrir, et son gland gorgé de sang entra sans trop de
peine, puis, tête levée et bouche ouverte dans un cri d'extase
muet, je m'empalai très lentement sur cette colonne de chair
dressée pour moi, jusqu'à ce que mes fesses s'écrasent sur
le ventre de michel qui gémit d'aise... je restai ainsi
un moment, immobile, afin que mon conduit prenne bien la
mesure de l'engin, et Robert à 4 pattes devant moi en profita
pour gober ma queue et la faire durcir dans sa bouche. Je
remontai lentement le long de ce pieu délicieux, jouai un
moment à faire entrer et sortir le gland gainé de latex,
puis m'empalai à nouveau jusqu'à la garde avant d'aller
et venir de plus en plus vite, en proie aux sensations mêlées
de l'intromission et de la fellation que je subissais...
On n'entendait plus dans la chambre que halètements, râles
et gémissements, ponctués des encouragements de mon baiseur
à continuer ainsi, auxquels je répondais par des phrases
hachées, lui disant que j'aimais sa bite, que je voulais
qu'il me baise encore, qu'il me défonce, comme une chienne,
ou encore... je ne sais plus...
Enfin, Michel, malgré son étonnante résistance finit par
céder oà la montée de sa jouissance pour un final fabuleux:
il m'agrippa par la taille, ses doigts plantés dans mon
corset, et me baisa comme une brute, me défonçant en mélant
ses cris de plaisir aux miens, alors que Robert, qui ne
pouvait plus tenir mon sexe en bouche, me léchait tant bien
que mal jusqu'à ce que je sente Michel jouir dans mon cul
avec un cri de fauve, déclanchant chez moi un orgasme inouî
qui me fis lacher une quantité énorme de sperme... Je me
suis effrondrée sur le côté, terrassée, et il me sembla
perdre connaissance un instant...
Michel a approché son visage du mien, avec un regard cette
fois étonnament doux, et a déposé un léger baiser sur mes
lèvres avant de me dire que j'avais été super, mais qu'il
voulait finir la soirée seul avec Robert... Je ne me vexai
pas de me voir ainsi mis à l'écart, car je savais que je
n'avais été pour eux qu'un jouet servant à pimenter leur
relation, et c'était pour moi la véritable révélation de
cette soirée: j'aimais qu'il en soit ainsi!...
J'aimais être une salope soumise et un objet de plaisir...
je les laissai donc, me lavai et me changeai rapidement
pour redevenir l'homme "normal" que mes proches connaissaient,
et je repartis discrètement.
Si ce récit vous inspire, faites moi part de vos impressions
et peut-être vous confirai-je quelques autres de mes aventures.
Auteur
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