J'ai quarante ans et je me travestis depuis de nombreuses
années. Il y a un peu plus d'un an que je vis une aventure
peu banale.
A l'époque, j'étais au chômage depuis 6 mois et entre mes
différentes visites à des employeurs potentiels je passais
mon temps libre à faire quelques tâches ménagères et à pianoter
sur Internet habillée en femme, guêpière bas et minijupe
et à jouer avec mon gode.
Ayant ressenti des douleurs à la vessie depuis quelques
années, je me décidais à consulter un urologue et là après
quelques examens peu agréable j'appris que je devais être
opéré de la vessie. Malgré le soutien de ma femme, je sombrais
dans une angoisse atroce et des idées affolantes (ablation
de la vessie, plus de relations sexuelles etc..) assombrissaient
mes journées. L'envie de tenter des expériences inédites
avant d'en terminer une fois pour toutes me hantait tellement
que je pris le risque de prendre un rendez-vous sur internet
avec un homme de la cinquantaine, BCBG, PDG d'une petite
société, cherchant un travesti pour rompre son veuvage.
Cet homme habitant pas très loin de chez moi, je me dépêchais
de me maquiller, de brosser ma perruque et de me préparer
à le recevoir.
Je suis grande (1m80 et 75kg) mais l'homme qui se présenta
était vraiment immense la taille d'un basketteur et le poids
d'un haltérophile, costume bleu foncé, cravate cerise sur
chemise blanche. Je le faisais entrer et montais les escaliers
devant lui. Je sentis ses mains soulever ma minijupe et
il me complimenta sur mes fesses qu'il tapota légèrement.
Je l'invitais à s'asseoir sur le canapé. Sa main se posa
sur ma cuisse et il me caressa. J'étais complètement paralysée,
incapable de faire un geste je me mis a pleurer. Maurice
(c'est son prénom) me demanda ce qui se passait. Je lui
racontais tout : le chômage, la peur d'une opération et
mon envie de connaître un homme … mais que là, je
craquais et que je ne pouvais pas assumer.
A ma stupéfaction (mais je ne m'en aperçu que bien plus
tard), Maurice me caressa le visage et me dit que cela ne
faisait rien, que lui aussi avait eu des problèmes de vessie
et que cela s'était bien passé, qu'il en serait de même
pour moi et que dès que cela irait mieux je n'avais qu'à
lui envoyer un email et que nous ferions la fête. Il me
caressa encore une fois entre les cuisses et s'en alla.
Le 1er jour
Quelques semaines plus tard, l'opération s'étant bien passée.
J' envoyais un message à Maurice pour le tenir au courant
et lui annoncer que j'étais à sa disposition.
Il me répondit quelques heures après en m'envoyant une
offre d'emploi : " Cherche secrétaire particulière et responsable
informatique pour les agences de ma société". Je lui répondis
que certes je pouvais tenir ce rôle, mais qu'en ce qui concernait
ma "féminité" vis à vis de ses employés … cela laissait
plutôt à désirer. Pas de problème m'écrivit-il, on s'en
occupera si tu es d'accord pour commencer Lundi, j'ai un
petit studio à 2 pas du bureau, tu n'auras qu'à te changer
là !.
Le lundi, j'emmène avec moi, dans ma mallette de quoi me
travestir, je me gare place des Célestins et vais à coté
de la rue des monnaies dans un quartier qui est plutôt chaud
le soir ce qui me permettra au moins de rentrer en fille
en ayant juste à supporter quelques blagues de la part des
hommes en chasse. Je trouve l'adresse et monte les escaliers
jusqu'au au 2ème étage. Comme convenu la clef est sous le
paillasson. J'ouvre et entre dans un petit studio sympa
et je me retourne et me trouve nez à nez avec une femme,
jolie, la quarantaine, sportive, en tailleur gris. Je me
reprends et après un petit bonjour, je lui dis que j'ai
du me tromper d'adresse. " Pas du tout" me dit-elle "tu
es Bernard, enfin Barbara pour Maurice…" Je me sens
rougir jusqu'à la racine des cheveux. " heu.." " Ne t'inquiète
pas, je suis au courant et je vais t'aider à te préparer".
Je ne sais plus où me mettre. Son ton devient plus autoritaire
" Assez joué, déshabille-toi et montre ce que tu as amené,
de toute façon, Maurice a prévu plusieurs tenues. Aller
à poil ". Après tout je suis là pour cela, le seul problème
c'est que seule ma femme m'a vue travesti quand nous jouons
à des petits jeux, et me changer devant cette inconnue me
gène terriblement. Je tombe ma veste, enlève ma cravate,
ma chemise mon pantalon, mes chaussettes et enfin mon slip.
"Tu es rasé, ok pas mal…cambre-toi, ok belles fesses
très rondes." J'ose un compliment: " Pourquoi Maurice s'intéresse
à moi ? vous êtes bien plus belle". Elle éclate de rire
" ouais peut-être, mais moi j'aime les filles".
Elle sort d'une penderie un tailleur comme le sien mais
avec jupe plissée. Puis d'un tiroir une jolie guêpière dont
la vue me fait bander instantanément, elle se retourne et
donne sur mon sexe un petit coup sec. "pas de çà, la journée
tu es une fille… D'ailleurs entre femme on peut se
tutoyer, cela facilitera la vie au bureau, en effet, tout
le monde va te prendre pour ma copine et je jouerai le jeu.
De plus je suis la responsable du personnel, comme ça personne
n'osera te toucher et il n'y aura pas de problème pour ton
vrai nom. Mon prénom est Danielle".
J'enfile ma guêpière, m'assois et je remonte les bas sur
mes jambes en les lissant doucement. Je sors un string et
au moment de le mettre, Danielle s'approche et attrape mon
pénis pour le glisser dans un petit sac qu'elle resserre
autour de la hampe et avec un lacet, elle me le tire entre
les fesses et me fais signe de remonter mon string. Elle
m'indique une paire d'escarpins à hauts talons. Je glisse
les pieds dedans. Puis en titubant légèrement je viens m'asseoir
à coté d'elle face à un miroir et elle commence à me maquiller.
" Pendant quelques jours je vais te montrer comment cacher
tes traits masculins ensuite tu sauras te maquiller toute
seule."
Lorsqu'elle estime le résultat satisfaisant elle me demande
de me tenir devant elle. Je me dresse en guêpière, bas string.
Elle passe derrière moi et me dis : "Comme tu ne connais
pas encore Maurice il vaut mieux que je t'aide à le recevoir
dans les fesses" . Elle me fait pencher en avant, écarte
mon string et je sens soudain quelque chose de froid sur
ma rosette, c'est du gel. " Détends-toi, je te mets un plug
pour te dilater légèrement; de plus cela t'aidera à garder
les fesses cambrées" ricane-t-elle. Une poussée et je le
sens forcer mon entrée et presque aussitôt mon anus se referme.
Ce n'est pas désagréable et Danielle a raison cela me m'aide
à garder les fesses tendues. "Viens là " me dit-elle en
me tendant une perruque longue et bouclée de couleur rousse."
Houla je ne vais pas passer inaperçu avec cette couleur"
. "Ne t'en fais pas, les mecs regardent les fesses et les
cheveux, comme cela ils ne verront rien d'autres" Elle me
passe 2 faux seins à glisser dans ma guêpière; puis un chemiser
noir et un foulard qu'elle croise comme une cravate. Je
mets la jupe plissée qui s'avère un peu courte car lorsque
je me baisse un peu, je vois le haut en dentelle de mes
bas; enfin j'enfile la veste du tailleur. " T'es un peu
rapide, et les ongles ?" Je me rassois, et tout de suite
je sens le plug qui appuie et devient gênant, je me relève.
Danielle me fait rasseoir et éclate de rire. " Il faudra
t'habituer" "Bon aller, on va quand même travailler". Elle
me tend un petit sac à main et je récupère ma mallette.
Nous voici dans la rue, nous prenons le passage de l'Argue
( passage commerçant, couvert, entre 2 rues à Lyon) et débouchons
rue de la République, les bureaux sont à 2 pas. Je sens
quelques regards se poser sur moi, enfin surtout sur mes
fesses. Danielle me prend par la taille et nous voici comme
2 copines en train d'entrer dans l'agence. Maurice est là
et me regarde avec un petit sourire. "Bonjour, Barbara,
comment aller vous ? Pas trop le trac du premier jour? Venez
je vais vous présenter." Je le suis et me voilà en sa compagnie,
avec Danielle qui joue la lesbienne jalouse. Il y a 6 consultants
entre 40 et 50 ans et 2 secrétaires, plutôt mignonnes. Danielle
voyant mon regard, me pince le bras et les consultants se
regardent en souriant , se marrant du petit jeu des 2 lesbiennes
croient-ils.
Enfin me voici dans le bureau du patron, Maurice, il me
montre une petite porte qui mène à mon bureau et à celui
de Danielle. " J'ai un rendez-vous dans 10 minutes. Prends
possession de ton bureau et de ton futur travail."
Il y a une belle machine, écran 20 pouces gros processeur,
sur le bureau il y a le schéma des réseaux d'Agences, avec
ce que Maurice souhaiterait avoir comme remontée d'information.
Je me prends à mon travail et c'est avec surprise que je
sens une grosse main sur mon épaule. Je me retourne en sursaut,
Maurice est arrivé en silence. " Bon boulot, tu connais
effectivement bien l'informatique" me dit-il " Et si je
t'apprenais autre chose ?". je sens mon cœur battre
dans ma poitrine. Il me fait signe de le suivre dans son
bureau. Il me laisse debout au milieu et va fermer à clef.
Il me serre contre lui et me pelote les fesses en soulevant
ma jupe. Il tend sa bouche mais je n'ose pas l'embrasser.
Il s'écarte en riant et me dit : " assez joué tu es là aussi
pour être à ma disposition, déshabille-toi lentement". Je
fais tomber ma jupe, enlève mon foulard et mon chemisier.
Maurice s'avance et embrasse mon front. Il me prend la main
et la pose sur sa braguette. Je sens son désir se durcir.
Maladroitement j'ouvre sa ceinture et baisse son pantalon.
Son slip est distendu par une bosse énorme. Il enlève son
pantalon et baisse lui-même son slip. Son sexe est énorme
et je comprends soudain ce que m' a dit Danielle ce matin.
Voyant mon regard apeuré, Maurice me dit " Ne t'en fais
pas, c'est du 22x5, mais on ira tout doucement, viens vers
moi" Il me prend par la main et me tire vers on fauteuil.
Il s'assoit et me fait baisser vers son sexe. Je comprend
et ouvre ma bouche le plus possible. Il est propre, et sent
la savonnette. Je commence à le téter doucement et promène
son gland sur mes lèvres, j'ouvre ma bouche le plus possible
pour tenter de l'engloutir. Mes lèvres sont distendues et
je débute mes va et vient sur ce pieu. Soudain un flash
m'aveugle, je cherche à me relever, mais Maurice attrape
ma tête dans ses grandes mains et me rassure: " Danielle
prend quelques photos, mais c'est à notre usage intime à
tous les trois, toi même tu la prendras en photos avec ses
copines. Pour le moment je sens que tu suces bien mais je
veux autre chose et je suis sur que toi aussi. Danielle
va t'aider". Je sens les mains de Danielle sur mes épaules,
je me relève et elle me pousse à plat ventre sur le bureau.
Elle enlève mon string et posant sa main gauche sur mon
dos, elle fait tourner le plug dans mes fesses avec sa main
droite pour m'élargir me dit-elle. Elle enlève le plug puis
se place entre mes jambes qu'elle écarte. Je sens ses doigts
qui s'occupe de ma rosette, un peu de gel et un lent mouvement
rotatif, un doigt qui entre, puis un deuxième … Je
commence à sentir des frissons remonter ma colonne vertébrale.
Maurice a fait le tour du bureau et me prend par les mains
pour me tirer vers lui. Tout en me maintenant, il tend son
sexe de nouveau vers ma bouche. Je l'engloutis. Danielle
fait le tour du bureau et dit à Maurice : " Elle va bientôt
être prête ". Elle revient quelques secondes plus tard en
bas jarretière, soutien gorge pigeonnant avec un gode ceinture
fixé juste au-dessus de sa toison blonde. Je la sens passer
derrière moi et soudain un objet dur commence à s'enfoncer
en moi. Il ne passe pas. J'ai mal. Je vais hurler. Maurice
le sens et maintient ma bouche refermée sur son pieu. Danielle
se retire et remet de la crème puis recommence son approche.
Cette fois-ci je pousse en même temps que Danielle s'enfonce
en moi. Son gode rentre petit à petit. J'ai mal. Puis je
sens sa toison qui vient buter sur mes testicules. Ses mains
s'accrochent à mes hanches et elle commence un lent va-et-vient
entre mes reins. Doucement; puis de plus en plus fort. Elle
demande à Maurice de venir prendre sa place. Je frémis.
Elle fait le tour du bureau et s'empare de mes mains qu'elle
tire le plus possible j'en ai mal aux articulations. Pendant
ce temps Maurice a présenté son engin à l'entrée de mon
petit trou. Il commence à entrer doucement. Son gland énorme
me donne l'impression d'éclater ma rosette. Je pousse un
petit cri. Je me débats, mais Danielle me tient fermement
et Maurice maintient mes fesses ouvertes. Je me mets à transpirer.
Danielle se penche vers moi et m'embrasse à pleine bouche.
Elle attrape ma langue entre ses dents et la tire doucement.
Une de ses mains passe sous mon torse, et elle pince un
de mes tétons. Ses efforts portent leur fruit, sous la douleur
j'oublie un peu le pieu de Maurice qui semble m'éclater
l'anus. Enfin il est au fond. Il se retire un peu et vient
buter de nouveau. Je sens ses couilles battre contre mes
fesses. Il est donc complètement rentré. Il attend quelques
minutes, le temps que mon conduit s'habitue. J'ai peur que
mon anus ne se referme jamais plus. Puis il s'agrippe à
mes hanches et me pilonne lentement. Je tremble de la tête
au pied. Je sens un orgasme monter de mon ventre et je me
mets à gémir de plaisir comme une chienne. Danielle présente
sa chatte à ma bouche et je commence à la sucer. Ma langue
entre petit à petit dans son antre d'amour au gré des coups
de reins que Maurice me fait subir. Soudain je sens un poids
sur mon dos qui m'étouffe. Maurice s'est couché sur moi
et me prend aux épaules il va jouir. Il se retire d'un coup
et replonge d'une seule poussée en moi. Je sens sa purée
jaillir dans mes fesses. Il reste en moi et me fait doucement
tourner le visage vers lui. Là il glisse sa langue dans
ma bouche et m'embrasse tendrement. Je sens sa langue pénétrer
ma bouche pendant que sa queue reprend de la vigueur. Il
se retire néanmoins et me fait me retourner sur son bureau.
Je suis sur le dos et il relève mes jambes sans force sur
ses épaules. Je vois sa queue de nouveau bien raide se présenter
à mon petit trou. Subjuguée, je vois cet énorme pieu entrer
puis disparaître en moi. Pendant ce temps Danielle me caresse
doucement le visage. Puis elle reprend son appareil photo
et prend en gros plan la queue de Maurice entrant dans mon
intimité. Plus tard je verrais que mon anus était complètement
ouvert. Maurice se couche sur moi, son poids m'étouffe,
sa bouche se colle à la mienne. Mes jambes me font mal,
repliées entre lui et moi, mes pieds viennent toucher le
dessus du bureau. Je me sens ouverte comme une femme sa
queue glisse en moi et bientôt je ne ressens plus rien que
ce sexe qui me déchire mais me procure un plaisir intense.
Des heures semblent s'écouler seulement ponctuées par mes
gémissements, les flashs de Danielle et le souffle ahanant
de Maurice. Il jouit une deuxième fois en moi. Je sens mon
jus qui s'écoule de mon sexe ridiculement petit. Je tremble
des pieds à la tête, Maurice m'a transformé en femme. Nous
nous séparons et Maurice me prend la main pour m'emmener
vers une petite pièce à coté. C'est une salle de bains.
Je titube de fatigue et j'ai l'impression que mon anus est
grand ouvert, je sens le sperme s'écouler le long de mes
cuisses. Je me lave et rafistole mon maquillage. Danielle
entre et me tend une serviette hygiénique : "C'est un modèle
pour les strings, tu en auras besoin ce matin".
Je retourne dans le bureau où Danielle s'est rhabillée.
Maurice me ceinture au passage et m'annonce en riant: "
très bien mademoiselle votre travail est vraiment bien fait,
j'en suis très content, nous allons travailler longtemps
ensemble. En attendant, nous n'allons pas tarder à aller
déjeuner". J'en suis abasourdie, je pensais que cela avait
durer beaucoup plus qu'une petite heure! Puis il me donne
une tape sur les fesses pendant que je me penche pour récupérer
ma jupe et mon chemisier.
Je retourne à mon bureau et essaye de reprendre mes esprits
en me replongeant dans le travail. J'ai les fesses en feu
et la position assise n'est pas la meilleure façon de calmer
ma douleur.
Danielle entre et s'assoit à coté de moi. " Tu t'y habitueras,
dans pas longtemps cela deviendra un vrai plaisir pour toi
de te faire enfiler. Mais je te conseille quelques exercices
si tu veux éviter quelques fuites anales." Elle me tend
un objet en forme de stylo encre arrondi aux deux extrémités
et dans une matière au toucher huileux. " Oui ? " dis-je
"que dois-je en faire ?". " Tu es vraiment épatant, vraiment
innocent.. Tu te l'enfiles de temps en temps dans l'anus
et tu essayes de le retenir, cela va raffermir tes muscles."
Elle m'embrasse sur la joue et retourne dans son bureau.
La matinée se termine sans incident. Vers midi Maurice
vient nous chercher et nous partons déjeuner. Au parking
nous récupérons sa 607 et nous roulons le long de la Saône
vers un petit restaurant tranquille.
Maurice s'assoit à ma droite et Danielle à ma gauche. Nos
plats commandés, je sens la main de Maurice s'immiscer sur
ma cuisse droite et … celle de Danielle sur ma cuisse
gauche. Le garçon ramène nos assiettes et les 2 mains me
laissent. Maurice m'annonce alors : " tu vois, tu vas être
à la fois ma femme en-dehors du bureau et la copine de Danielle
pour le personnel. Bien entendu certains hommes te mettront
la main aux fesses, les machos pensent qu'une femme est
homosexuelle parce qu'elle n'a pas connu d'homme ….".
Nous partirons de temps en temps en tournée d'inspections
dans les agences et tu voyageras en femme, comme ma femme
" dit-il en m'embrassant sur le coté de la bouche. Pendant
qu'il parlait, sa main était revenue s'occuper de ma cuisse
en frôlant de temps en temps la main de Danielle. Le repas
terminé nous sommes repartis vers sa voiture. En chemin,
Maurice pris un petit chemin qui longe les berges de la
Saône et s'arrêta au bord de l'eau. " J'aimerais bien un
petit dessert supplémentaire" dit-il en m'aidant à sortir
de la voiture. Il m'embrassa puis me retourna et me plaqua
sur le capot sa main droite releva ma jupe et sa gauche
descendit mon slip. Je le laissai faire en ondulant des
hanches. " Tu es une vraie salope" me dit Danielle en s'allumant
une cigarette. J'entendis le bruit de la fermeture éclair
de Maurice, puis Danielle se glissa à coté de nous et sortit
un tube de gel de son sac elle enduisit ma rosette puis
en mit sur le membre de mon amant. Elle lui demanda de se
reculer et me prit en photo , les cuisses ouvertes, le string
au pied et le buste plaqué sur le capot de la voiture. Puis,
enfin je sentis la queue de Maurice hésiter à l'entrée de
mon orifice. Tout doucement son gland commença à m'ouvrir,
je me décontractais au maximum, sa queue s'enfila dans mon
fourreau, puis je le sentis buter au fond de mes entrailles.
Mon amant commença ses coups de reins de plus en plus fort
en m'écrasant sur le capot tout chaud de sa voiture. Comme
dans un rêve, je voyais les voitures filer sur le bord opposé
de la rivière et j'imaginais ce que les gens penseraient
en me voyant me faire prendre comme ça au bord de l'eau.
Danielle proposa à Maurice de me donner aussi du dessert.
Maurice se retira et vient à coté de moi. Il entra sa queue
dans ma bouche et je dû le nettoyer puis il attrapa ma tête
et la bloqua entre ses mains puissantes il recommença ses
va-et-vient en utilisant ma bouche comme mon cul, je le
sentis se raidir et grandes giclées vinrent s'engouffrer
dans ma gorge en m'étouffant. J'avalais sa liqueur et Danielle
me demanda si le dessert me plaisait.
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